Petite sortie pour le Seigneur Néron

Avant de se rendre au lieu où elle avait fixé rendez-vous à l'humain, elle jugea qu'elle avait le temps de se divertir un petit instant. Son divertissement n'était pas du goût de tout le monde mais elle pensait qu'il l'a détenderai comme elle l'espèrait... Elle était habillée sobrement car elle n'avait pas eu l'intention de sortir... Ca lui était venu comme ça, au feeling. Elle était très friande de se genre d'endroit bien que son accoutrement, ce soir, la rendait totalement transparente. Elle se fondait totalement dans le décor. Mais bon, après tout, ce soir, un bon verre de vodka devrait lui suffire. Elle passa sa commande au bar complètement bondé, se débarrassant au passage de quelques mains baladeuses... Les femelles humaines et vampires en ruth se frottaient à toutes les peaux masculines (parfois féminines) en collant royalement leurs mains aux culs de de leur victime... "Crétines !" songea-t-elle en les observant. Abby était d'une grande classe et elle savait faire passer clairement le message qu'elle avait envie de faire des cochonneries sans se discréditer de cette élégance... Et la bête à queue en face d'elle n'était généralement pas déçu. Quand le barman se décida enfin à lui tendre sa Smirnnoff, elle s'assit dans un des fauteuils de la boîte pour réfléchir tout en matant les spécimens masculins à demi-nus qui l'entouraient...

[Mais avec Néron, la soirée finie toujours en cochonnerie ]

Et là, une sombre beauté vint à mes yeux qui étaient pourtant déjà fort occupés avec les formes d'une petite latine fortement excitée. Mais cette fille que j'avais remarqué, semblait plus sobre, ce genre de filles qui passent pour des saintes ni touches en premier temps et se montre en étant de vrais cochonnes lorsqu'elles sont plus proches de moi. De plus, elle était vampire, c'était bien mieux. Peut-être qu'elle tiendrait plus longtemps que les autres humaines et humains ayant succombés à mes tortures perverses proche du masochisme.

Je commençai donc à l'observer, sensuellement et avidement. Elle ne semblait pas me remarquer, du moins, c'est ce que je pensais. Je regardai ses jambes, ses yeux, ses seins, tout chez elle. Même si elle avait encore ses vêtements, je ne pouvais m'empêcher de l'imaginer nue entre mes jambes en train de se faire violement fouetter par mes objets de tortures. Elle était d'une beauté enfantile. On aurait put croire à une jeune adolescente toute fraîche et encore vierge. Je décidais de prendre mon verre et de me lever afin d'aller voir d'un peu plus près cette charmante demoiselle qui, j'en suis sûr, n'attendais qu'une chose, c'est qu'un homme vienne la voir et la séduise...

Me faufilant entre les danseurs et danseuses présents sur ma route, je continuai de l'observer sans cesse de mes yeux bleus luisant dans le noir parfois présent. J'étais désormais à quelques mètres d'elle. Je prenai une gorgée de ma boisson, puis j'avançais jusqu'à être face à elle. Lui souriant, dévoilant légèrement mes crocs acérés, je lui demandai d'une voix sensuelle :

"Mademoiselle, puis-je m'assoir ou préfèrez-vous continuer de vous rinçer l'oeil sans pour autant approcher l'un de ces charmants jeunes hommes ?"

Abbigail s'enfonça un peu plus dans le fauteuil de cuir et observa attentivement le vampire en face d'elle, ses vêtements déchirés ne lui firent ni chaud ni froid et elle sourit lorsqu'elle vit la coquille sado-masochiste. Elle allait peut-être s'amuser un petit peu, qui sait ? Elle portait un corset en satin et une jupe longue, droite. Tout en noir. Elle se demandait comment il avait fait pour la voir... Il semblait direct et sûr de lui. Bien que ce regard délavé l'aurait certainement refroidie en temps normal, ce soir il lui était attirant et même, excitant. Elle aimait se sentir sans défense, dominée avec le sentiment de ne pouvoir s'échapper. Et elle semblait avoir trouvé le dominateur idéal pour ce soir. Avec son index, elle fit tourner la vodka dans son verre et lècha son doigt avec gourmandise sans quitter le vampire des yeux... Elle sentait que le voyage qu'il lui proposerait serait douloureux mais, ça lui plaisait. Elle croisa ses jambes et massa langoureusement sa cuisse en descendant progressivement vers son entre-jambe avant de répondre :
- Assaiez-vous, voyons. En temps normal, l'un de ces charmants jeunes hommes, comme vous dites, serait déjà en train de jouir entre mes cuisses si ma sortie avait été prévue.

Aussitôt m'a t'on proposé de m'assoir, aussitôt je m'exécuta en prenant place face à la jeune vampire déjà très envieuse de ma personne vu ses caresses personnelles. Je souriais de plus belle, ne pouvant m'empêcher de regarder là ou cette petite perverse se carressait langoureusement afin d'étendre encore plus ma libido déjà presque à son comble. Il n'y avait pas de doute, je transpirait l'envie à vu d'oeil et cette vampire l'avait bien compris. Elle me voulait et je la voulait aussi. Seulement, elle me désirerais encore plus si elle savait le vampire qu'elle avait en face d'elle. Un vétéran sadique et luxueux presque aussi vieux que les deux maîtres vampires actuels. Je me permettais de lui faire un baise-main afin de me présenter dans les règles de l'art :

"Je me nomme Néron, grand empereur Romain déchu afin de devenir ce que je suis aujourd'hui...Et vous ma chère beauté glaciale, comment vos parents on décidé de batiser votre petite croupe ?" Dis ai-je d'un fortement interressé.

Je n'hésitait pas même, à garder sa main dans les miennes, et à la carresser doucement, et sensuellement pour encore plus l'exciter. C'est ce que je préfèrais faire avec mes proies, les exciter à un point inimaginable, à un point, qu'elles n'attendent qu'une chose, me chauvaucher violement afin de satisfaire leur besoin sexuel. Et ensuite, je satisfais...mon propre plaisir. Mais d'une autre manière...

Abby se laissait toucher par les mains expertes du vampire en face d'elle, alors donc il se nommait Néron... Empereur Romain ! Rien que ça ! Intéressant comme affaire... Mais, pour le moment, elle mit ses projets entre parenthèses, elle cherchait autre chose ce soir... Elle se leva, s'avança de sa démarche féline et s'assit sur les genoux de Néron, face à lui, son visage à 2 centimètres du sien... Elle délia le ruban de son corset et desserra légèrement le vêtement. Pendant la fraction de seconde où Néron s'était attardé sur son décolleté, elle eut le temps de dégainer sa dague et d'en enfoncer légèrement la pointe dans la chair de son bras... Une toute petite égratinure, pas très profonde, de laquelle une petite goutte rouge s'échappa... Elle la ceuillit du bout des doigts et s'en régala comme pour la vodka avant de répondre :

- Je m'appelle Abbigail Sciuto, mais on m'appelle Abby... Je suis enfant de rebelles...

Qu'allait-il tirer de ce passé ? Allait-il lui poser des questions ? Pfff... Peu importe !

Les caresses du vampire lui plaisant tout particulièrement, Abby n'hésita pas longtemps a plaquer les mains du vampire sur ses fesses... Puis, elle fit descendre sa main droite le long du torse masculin et se loger contre sa braguette. Elle lèchait doucement ses lèvres sans quitter Néron des yeux, elle répondit calmement à sa froide plaisanterie :

- Tu peux tripler la mise... Charge-moi, je n'attends que ça !

Ses doigts droits s'agitèrent soudain contre le cuir du pantalon noir sans pour autant bouger toute autre partie de son corps. Le regard vert de la vampire restait fixe tandis qu'il s'extasiait du prénom Abbigail... Il finit par lui demander de passer aux choses sérieuses... Elle n'attendait que ça.

- Oui, j'aime ce plaisir tout autant que ce que tu vas me faire subir... Mais j'y consenterai uniquement si tu renonces à Abbigail pour Abby... imposa-t-elle.

Abbigail jeta un oeil à sa montre et ne s'était pas rendue compte que l'heure tournait, son rendez-vous approchait... Si elle arrivait en retard, elle pouvait dire adieu à ses projets machiavéliques contre la cour des Jumeaux. Néron allait trouver qu'elle se dégonflait ou bien qu'elle était bien mauvaise joueuse. Elle proposa alors une alternative :

-Mon cher Néron, le temps m'est juste pour ce soir. Retrouvez-moi dans deux jours à 22 heures dans ma dépendance au château. J'y serais, ne vous inquiètez pas. Selon mes désirs, vous m'avez dite Abby et donc, je suis à vous et je n'ai qu'une parole.

Sur ces mots, elle tourna les talons et se rendit au vestiaire, attrapant son manteau et son écharpe pour partir vers l'église où elle devait attendre l'humain.

[ Laboratoire]

Je n'ai pas trouvé ma petite partenaire, cela ne sert a rien de continuer à chercher, elle va sûrement ce rendre au laboratoire à un autre moment. C'est bien dommage j'avais quelques idées à lui proposé, nous verrons cela demain, après tout les expérience que nous faisons peuvent attendre, aucune démonstration n'est prévus pour l'instant. Quoique, nous devons voir les jumeaux dans deux jours, c'est sûrement pour cela qu'ils nous ont convoqué... Enfin nous verrons bien le moment venu. La ville est animée ce soir, il est encore assez tôt, il doit être une heure avant minuit, mais qu'importe, nous sommes pratiquement prête.
Mes talon résonne à chacun de mes pas sur le sol dallé, j'avance à pas lent, regardant autour de moi et essayant de repérer mon dîner. Les rues sont animé ce soir, bien que les humains ne se montre peu, à part quelque passants qui se dépêche en empruntant des ruelles sombres pour ne pas se faire attrapé et servir de repas, il n'y a que très peu, pour ne pas dire du tout, de mets de choix dans les rues... Peut être que je devrais changer de lieu pour trouver de quoi me mettre sous la dent où plutôt sous mes canines.

Cela fais un moment que je n'y suis allé, la 8éme porte, la boîte la plus fréquenté, autant pour les humains que pour nous être de la nuit. C'est l'un des lieux ou l'on peut trouver de quoi nous abreuvé sans chercher. Nous avons juste à amener l'infortuné humain, entré dans cette boîte, vers nous. J'arrive près de la porte, le vigile me reconnaît, ce doit être à cause de mon regard indifférant, qui pourrait oublier des yeux glaciale comme les miens ? Personne je le crains. J'entre, dépose ma veste aux vestiaires, lisse doucement d'une main, mon pantalon noir serré, ainsi que mon corset bleu nuit, qui épouse parfaitement mes formes. Je passe la seconde porte qui me mène à la salle où sont réunis vampires et humains, une bouffée de chaleur m'atteint avec force. L'ambiance dans la salle est à son comble, la musique, la chaleur, les lumières, les humains, les différents partenaires féminins, masculins ou humains finissant leurs soirées dans un coins sombre, à moins que ce ne soit que pour s'amuser... l'alcool qui coule à flot, il y a vraiment tout pour mettre en ce lieu une ambiance qui respire la débauche... Chose que la plupart des gens apprécient en général.

Je me dirige vers le bar, c’est avec regard indifférents et un sourire énigmatique que je frôle les corps, tout en marchant avec une certaine lascivité. Comme toujours des hommes et des femmes se tourne vers moi, j'aime ce moments où mes yeux que je veux glaciale plongent dans ceux qui m'entoure, les électrisants, leurs exhortant de ne pas s'approcher mais qui à la fois leurs dit tout le contraire.
J'arrive devant le barman et commande un rhum, je me tourne et m'appuis au bar pour ainsi mieux regarder qui se trouve en ce lieu. Je vois si et là quelques nobles que je déteste passablement, quelques personnes encore que je connais. Mes yeux s'arrêtent alors sur lui... Néron... Je ne l'avais encore jamais vu, certaines personnes m'en ont parlé, je n'ai que très peu d'information sur lui cela dit. Cependant il faut dire que je n'ai pas vraiment cherché à savoir... Je prends mon verre qu'à poser le barman près de moi et porte à mon verre à mes lèvres sans quitter le lieu où est assis Néron des yeux...

Je ne savait vraiment pas quoi faire,encore une fois,lorsque j'entrais,presque inconsciament dans ce bar bourré de monde surexcité se chauffant mutuellement. Peuh!qu'ils sont pitoyables!à chercher la chaleur l'un de l'autre comme si c'étais existenciel!

Enfin....ce monde est si ennyueux!si monotone!et si stupide!
Je comandais un verre,peu importe l'alchool qu'ily vait dedans,tant que ça se buvait,et puis,pensivement,je m'assit sur un fauteuill un peu à l'écart de toute cette foule,entirtillant machinalement une de mes mèche blanches qui mettait en valeur ma peau métissée et mes yeux émeraude.

J'aperçevais quelques spécimens purement masculins qui me lançaient des coups d'oeil envieux et les fissillaient du regard aussitot.
Bah,de toute façon,si ils auraient eu l'audace de venir se présenter devant moi...je me serais fait un plaisir de les rabaisser avant de les virer aussi dignement qu'ils le méritaient. Ou alors...j'en aurais fait quelques petits pantins que je jetterais plus tard...

Après un court instant nos yeux se croisent, nos regard s’intensifie de seconde en seconde, il se lève, le verre à la main, apparemment il se dirige par ici. Je regarde à nouveau autour de moi, repérant les nouveaux arrivants, je vois non loin de moi une jeune femme, une humaine aux cheveux blanc comme la neige, a la peau métissée, au regard émeraude, jouant avec l’une de ses mèches, un verre à la main et assise sur un fauteuil non loin de moi. Je la regarde avec une certaine intensité, il faut dire qu’elle est le genre de femme à attirer mon regard, jolie mais épineuse… Le genre de fleur que l'on aimerait cueillir et laisser doucement ployer sous votre volonté sans pour autant l'écraser, lui laissant ainsi les coudée franche pour se redresser de temps à autre, mettant ainsi un peu de piment dans cet "relation". Je me vois déjà enfoncer mes crocs dans sa peau douce et tendre m'abreuvant avec délectation de son sang qui, je l'espère, doit être délicieux. Néron s'approche d'elle, lui relève le menton et s'adresse à elle... Dommage je me suis fais devancé, ce sera pour une autre fois... peut être... Je me mets face au barman, ne regardant plus dans leur direction, portant une nouvelle fois mon verre à mes lèvres et laissant mon imagination retomber, en espérant qu'il ne l'a tue pas...

Je sens un regard assez insistant posé sur moi... Je n'y prête pas attention, à quoi bon, c'est toujours comme ça dans ce lieu. Néron s'accoude au bar près de moi, je pose mon regard qui ce doit comme toujours d'être semblable à l'antarctique. Et moi qui pensais qu'il dégustait joyeusement, la jeune fleur que j'avais repérer tout à l'heure... Je vois qu'il préfère affronter les icebergs. Il s'adresse à moi de sa voix grave, un sourire en coin se dessine sur mes lèvres. Je le regarde de haut en bas, mon sourire s'élargie lorsque j'aperçois la coquille sado-masochiste que porte mon cher interlocuteur. Voila quelque chose qui me donne une idée des tendances de ce cher Néron. Je me tourne pour me retrouver ainsi face à lui et lui répond :

"Je suis froide en tout lieu messire. Que l'endroit soit, chaud, froid ou tiède, cela n'a aucune importance... Je suis certaine que les nobles de la cour vous l'on déjà signalé messire Néron..."

Mon regard doit avoir à présent légèrement changer, il se doit d'être froid et malicieux a la fois, je porte mon verre à mes lèvres buvant une petite gorgée du liquide ambrée. Je vois que notre cher Néron n'est pas du genre impressionnable comme certain de la cour par mon regard de glace, dans ce cas j'espère que la partie qui va commencer sera des plus agréable, je n'aimerais pas qu'il abandonne en cour de route comme certain noble qui sont venu, on vu et on été vaincu... Peu on réussi à m'atteindre, sera t-il dans le lot ? Vu l'individu il sera amusant de le découvrir.

"Et bien messire, qu'est ce qui vous a amenez en ce lieu ? Et surtout par qu'elle miracle n'avez vous pas fuit en me voyant ?"

Une teinte d'ironie se fait entendre dans ma voix, me moquant comme toujours de ses vautours que l’on nomme nobles, puis je le regarde une nouvelle fois de haut en bas en attendant sa réponse...

Froide en tout point, c'est ainsi que j'ai toujours été, c'est naturel chez moi et je ne le dément pas, chacun peut ainsi voir cette délicieuse partie de moi. Un endroit chaud ? Le seul qui aurait pût le renseigner est partie, mais il en aurait voulu à notre cher empereur de s'être approcher de moi. N'est ce pas Amour chéri ? Enfin tu es parti et en cette instant tu ne peux faire valoir aucun de tes soit disant droit. Le regard que Néron pose sur moi est confiant et... Dangereux, je le sens d'ici, cependant j'ai toujours aimé lorsqu'une dose de danger flotte dans l'air... J'ai entendu parler de ses pulsions meurtrières qui sont peu commune et je pense qu'en retour on lui a fait part des miennes, je n'en doute pas...

"Des endroits plus chauds que d'autre chez moi... ? Peut être bien que oui, peut être ben que non, à vous de le découvrir..."

Il s'approche de moi, humant doucement mon parfum, mes yeux ne le quitte pas, bien que je reste stoïque, son sourire s'élargie, comme-ci il avait enfin trouvé quelque chose d'intéressant, ce n'est ni un sourire enfantin, ni anodin... Il veut jouer et cela ce voit. Combien on jouer à ce jeu avec moi et on sentit leurs sangs se glacer dans leur veine ? Beaucoup... Ce qui a toujours été décevant. Je sens alors sur mon bras son doigts, caressant ma peau en douceur, testerait-il la marchandise comme dirait les vampires non noble... Oui je pense que c'est ce qu'il fait...
A sa réponse, je pose furtivement mon regard sur la foule et le ramène ensuite sur lui... je penche alors légèrement ma tête de côté et lui réponds :

"Un ou une partenaire pour la nuit hum... Comme c'est intéressant...
Moi messire, je suis juste venue pour me changer les idées, il y avait bien longtemps que je n'avais pas posé les pieds en ce lieu et l'envie de pourrir la soirée de quelques vampires nobles de ma connaissance m'est venue... Mais à présent j'ai changé d'avis... Je n'ai pas vraiment besoin d'aller les voir, ma présence même détruit déjà leurs bonne humeur..."

Et si vous regardez bien mon cher Néron, vous verrez que quelques nobles m'observent, attendant que je vienne jusqu'a eux pour les provoqué, leurs rabattre leurs caqué ou les rabaissés. Le plus drôle dans tout cela c'est que je le fais sans leur manqué de respect, je fais tout cela avec une certaine finesse et surtout ils savent que je suis sous la protection des jumeaux. Enfin à présent ils m’indiffèrent...
Ce qui m'intéresse en cette instant c'est le défit que vous venez de me lancer, je m'approche de vous, frôle doucement votre joue et murmures a votre oreilles :

"Attention à force de relevez les défis on risque de se brûler les ailes... Où plutôt devrais-je dire de se gelée les ailes ?!"

Je me redresse, prenant mon verre en main, je fais doucement tournoyer le liquide ambré qu'il contient, tout en vous regardant avec un air ironique... Oh oui, le jeu ne fais que commencer, espérons qu'il dure un bon bout de temps, et qu'il en vaille la chandelle...

"Le diable n'a pas d'ailes Eterna..." Lui dis-je d'un air mystérieux en la regardant dans le fond de ses yeux.

Il est vrai que cette femme était spéciale. Introvertie mais n'ayant pas sa langue dans sa poche. Elle devait sûrement faire partit de ce genre de personnes solitaires et maîtres en tout sortes d'armes...Tout comme ces maudits assassins. Enfin, ils m'ont aidés par le passé alors, ils ne sont pas si maudits que cela...
Elle vint à parler de ses ennemis, ces vampires nobles qu'elle n'aimait pas et qu'ils n'aimaient pas. Et ce petit passage eveilla en moi une sorte de plaisir malsain. La haine était l'un des facteurs principaux de ma folie et donc, entendre parler de rivaux, ennemis, guerres ou tout ce genre de chose, me procurait comme une affreuse satisfaction et des visions cauchemardesques pour certains, merveilleuses pour moi. Moi, me voyant frapper des hommes dont je ne connaissais pas le visage, mais que je frappais, que je torturais sous ma force, impussants et surtout pétrifiés par la peur. Le sang coulant sur le sol, giclantcontre les murs, les têtes tombant par terre et les cadavres s'entassant les uns sur les autres. Alors, je ne tardais pas à lui demander :

"Vous avez donc des différents avec quelques...Vampires prétentieux hein ? Pouvez-vous me les décrirent ou...m'en parler un peu ?"

Je la regardais cette fois-ci, plus attentivement, étant évidement, plus interresser par la violence que par le sexe. J'avais hâte de savoir si elle me laisserai massacrer l'un d'entre eux. Mais peut-être préférait-elle les garder pour elle et donc, je m'éforcerai de les tuer dans l'anonyma et l'ombre d'une ruelle à l'aide de mon gant ayant déjà éventré bien des bidons. Je me frottais même déjà les mains avant qu'elle ne puisse répondre...

Perdue dans mes pensées,je sentit un regard insistant sur moi...bah,surement un de ces types que j'allais me faire une joir de rembarer! et puis je vis un vampire s'aprocher dangeureusement et me susurer quelques mots à l'oreille:

"Prend soin de ton visage, car quitte à l'abîmer, que ce soit moi le dégradeur..."


Nan mais il se prend pour qui lui!!!Certes il à lair assez noble,mais juste comme ça,je le suis aussi(même si ça ne se voit plus trop),j'allais lui faier payer son culot en lui balancant une phrase bien sentie,controlant mes nerfs pour ne pas risquer de me faire mordre immédiatement,quand il partit vers une autre cible,une vampire...

BAh,tant pis...je haussait les épaules et retournais à mon verre,presque finit

Un léger rire franchis mes lèvres, à sa réponse, ce cher Néron est plein de ressource… Je plonge mon regard dans vos yeux d’un bleu limpide, un sourire ornant mes lèvres, je vous réponds :

"Le diable n’a pas d’aile hum…
Comme c’est dommage, cela lui irait si bien…
Enfin nous pouvons toujours lui gelé autre chose… N’est-ce pas ?"

Votre regard change une nouvelle fois à l’évocation de ces vampires nobles de bas étages, il me le dit vous voulez vous occupée de certain d’entre eux… Cette pulsion meurtrière ce lit dans vos yeux, de plus le fait que vous vous frottiez ainsi les mains montre bien votre intérêt . Mon sourire s’élargie, un certain noble, qui à mes yeux ne mérites pas de l’être, à la langue trop bien pendu à mon goût, pensait-il vraiment que tout ce qu‘il raconterai sur notre soit disant aventure d‘un soir ne parviendrai jamais jusqu’à moi ? En plus de mentir, il me sous-estime, c‘est bien mal me connaître. Je me demande si cela vous plairai de vous occupez de lui, à partir du moment où vous me laissez regarder le massacre bien entendu…

"Pas avec quelques, je dirais même plusieurs… Mais ces derniers temps il y en a un en particulier que j’aimerai voir souffrir…"

Je désigne d’un signe de tête un noble dans un coin de la boîte, assit sur l’un des fauteuils en cuir rouge, celui-ci est près d’une femme blonde et pulpeuse, c'est vraiment le genre de vampire qui n’a, à mon humble avis, aucun intérêt. Encore un noble qui est né pour mourir… Quel gâchis…

"Vous voyez le noble là bas… Et bien c’est lui…
On m’a dit que si je voulais voir quelqu'un se faire torturer, il me fallait m’adresser à vous…
Est-ce une rumeur ou bien...?
Enfin je ne veux pas non plus vous dérangez avec ces histoires..."

Mes yeux ne doivent plus être indifférent en cette instant, je sens mes lèvres se retroussé sur un sourire sadique… Je pense mettre adresser à la bonne personne…

"C'est donc un de ces porcs qui osent perturber le bon déroulement d'un esprit sain, de plus, d'une vampire et noble ! Quel genre de vampire pourrait bien s'adonner à ce genre de pratique malsaine ?" Dis-je avec un ton ironique.

Mais dans le fond, ce petit meurtre était positif dans les deux sens. Je pourrais tuer sauvagement un vampire qui ne méritait pas de l'être, et Eterna pourrait se rinçer l'oeil en regardant cette pourriture mourrir entre mes mains expertes. Je me sentais de plus, fortement inspiré ! Mais quelque chose n'allais pas, je ne pouvais tuer personne sans mon fidèle gant ! Je le pouvais, mais ça n'aurait aucun interêt, aucune jouïssance de pouvoir ou de sentiment de douleur. Alors que si j'avais mon gant, je pourrais pousser mon sadisme à un point culminant de ma folie, à un degré si élevé, que personne ne pourrait le dépasser, pas même khéops. Mon gant était en quelque sorte mon objet fétiche lors des meurtres. Je trouvais cette arme plus amusante que les autres et aussi, hautement plus perverse. Le toucher tranchant...Incapable de toucher, sans déchirer, couper la chair. C'était une des plus grandes armes que j'ai put voir.

Eterna me posa une question sur mes tortures, sur ma violence particulièrement excessive et poussée que certains comparaient à un abbatoir, et je lui répondis d'un air désinterressé :

"Je ne fais pas dans la torture lors d'un meurtre, je fais pire que ça...C'est une mort très lente, très douloureuse, agrementée par mes petites touches personnelles...Mais la torture est réservée à mes partenaires de nuit et aux humains, aussi faibles soit-ils, quel race inutile..."

Je restais accoudé au bar, le regard constament dirigé vers le vampire en question, observant le moindre détail de sa corpulence, de son physique, dont la façon dont il marchait ou les gestes qu'il faisait en parlant. Tandis que je l'examinais, je disais à Eterna d'un air passif :

"Oui, mais...Sans mon arme je ne pourrais tuer cet ignorant avec du plaisir. Il me faut mon gant, sinon il n'aura pas ce qu'il mérite, et tous ceux qui passent sous ma main, méritent une mort atroce !"

Pfff...personnelement,je m'ennuyait....mon regard était passé de fusil à mitraillette et mes muscles étaient crispés....Il fallait que je me trouve une victime à torturer.

Je finit mon verrer et le posait sur une table,puis me levait,lissai un plis de ma jupe,resserait un peu mon corset qui se désseait de temps en temps,et me mis à herrer au milieu de cette foule déchainée et brulante,j'apercut le vampire de tout à l'heure dans je ne sis quelle discution avec l'autre vampire et vérifiait en même temps de ne pas y retrouver la vampire psychopate que 'avait énervé dans les ruelles. Les gens autours étaient fades,d'une chaleur tellement superficielle,et en plus,la moitié ne tenait plus debout sous l'effet de l'achool.....il ne fut pas en boir si on ne tient pas!quelle bande de crétins!ils me parraissaient vraiment pitoyables et aucun d'eux ne valait la peine que je m'y intérresse.

Ma main se porta machinalement au pendentif en forme de rose en argent: Ah Lya,ma chère soeur,si tu savait comme les gens du commun son ennuyeux!

je me dirigeais vers la sortie tout en réflechissant à un endroit où aller

[---->foret d' Amylune]

"Ce qui s'adonne à cette pratique sont du genre vampire se prenant pour des nobles, alors qu'en faite il n'entre dans le théâtre qu'est la cour d'Ambrelune que pour une seule chose... Nous donner la satisfaction de les torturer et de les voir mourir..."

Je dis cela avec un sourire des plus suave, tout en regardant le noble condamné, ma voix est teintée d'ironie. Mon regard reviens sur vous, je porte mon verre à mes lèvres, tout en vous écoutant, bien que vous parlez avec indifférence, je sais que vous êtes intéressé par le massacre que nous fomentons en cette instant, Je dois avouer que c'est avec une certaine impatience que j'attends de voir votre savoir faire. Mes yeux son posé sur ma nobles victime, nos regards se croise, je lève mon verre dans sa direction comme pour le saluer, un sourire sur les lèvres, le pauvre je le plains vraiment, la prochaine fois il fera attention à se qu'il dit ou fait et y réfléchira à deux fois... Quoique, il n'y aura sûrement pas de prochaine fois...
La torture est donc pour ses partenaires et les humains... Devrais-je lui offrir une humaine pour le service qu'il va me rendre...? Où lui trouver une partenaire pour la nuit... ? Je verrai bien parmi mon entourage en attendant... Il n'a pas ce qu'il faut pour commencer...

"Ce n'est pas bien grave, je peux attendre vous savez... Prenez votre temps, vous me ferez signe lorsqu vous voudrez commencer... Je suppose que vos attendez quelques choses en échanges ?"

Je fini mon verre et le pose sur le comptoir, j'attends votre réponse, reprenant un air indifférent, je rapproche mon visage du sien, mes yeux plongé dans les votre, puis je penche légèrement la tête sur le côté, un sourire en coin sur les lèvres. Voyons voir quelle proposition vous pouvez bien mettre sur la table...

"Je vous laisse réfléchir..."

Je me dirige vers les danseurs et me mêle à eux, restant cependant dans votre champ de vision, je commence alors à danser, je ferme les yeux et me laisse emporter par la musique, s'accordant à la musique, mon corps ondulant sur un rythme à la fois lent et sensuelle. Les yeux mi-clos je les pose sur vous cher empereur Néron, un sourire qui se doit d'être énigmatique cette fois sur les lèvres. Tout en dansant je vous fais signe de me rejoindre...

Vos yeux son rivé sur quelqu'un d'autre apparemment, je regarde dans la même direction, vous observer le noble que je vous ai montré il y a un instant, après un instant vous vous mêler à la foule, mes yeux vous suive, cherchant à voir ce que vous aller faire... Vous arrivé derrière ce stupide noble, vous l'observer un moment, et tandis qu'un sourire que je connais bien car il orne souvent mes lèvres apparaît sur les vôtres, vous saisissez à ma grande surprise le tête de l'imbécile qui est devant vous que vous entraînez violement contre la table, je suis au milieu des danseur, pour ma part j'ai arrêté de danser vous observant maltraité le noble, sans que je m'en rende compte mes lèvres ce sont retrousser sur un sourire... Ce spectacle me plaisait, certes sa dette n'était pas encore complètement payer, mais le voir ainsi au sol, se traînant comme ce qui le représente le mieux, un vers de terre, me procure une certaine joie dirons nous... Vous m'observez à présent, après avoir au préalable bourré de coups de pieds le vers qui est à vos pied et je lis sur vos lèvres ce seul mot que vous prononcé à mon intention. Je m'avance, passant entre les danseurs, puis devant la foule qui s'est à présent attroupé pour regarder la déchéance de cher Esteban... Sans que je n'aie prononcé mots, vampires et humains s'écartent afin que je l'atteigne, pour mettre un point à cette soirée édifiante, tout savent que pour cela on peut toujours compter sur moi... Ce qui les amuse toujours, mes yeux se pose sur le noble, mes yeux et mon sourire doivent être très ironique, je pose mon regard sur toi Néron, puis une nouvel fois sur ce bon à rien sur le sol... Je m'accroupis près de lui, retire délicatement deux, trois bouts de verres qui ce sont bien enfoncé dans sa chaire et lui dit :

"Tiens, tiens, on dirait que tu viens de subir un retour de bâton mon cher... Et par la même occasion tu t’es fait un nouvel ennemi… Tu devrais faire plus attention... Cher Esteban..."

Je me relèves et m'approche de toi, je me penche légèrement, mes lèvres près de ton oreille, ma main sur ton épaule, c'est d'une voix calme et suave que je te réponds enfin :

"Contente...? Nous dirons que je suis satisfaite...
Du moins presque autant que vous... Du moins pour l'instant"

Je suis assez satisfaite du résultat, je m suis effectivement adresser à la bonne personne, j'espère que la mort d'Esteban sera tout aussi amusante, il me reste plus qu'a attendre, dans ce cas...
Je laisse glisser ma main le long de ton bras, tandis que je m'éloigne tranquillement dans un déhanché sensuelle, sans qu'il soit pour autant vulgaire, retournant danser parmi les autres vampires et humains présents, sans te quitter du regard, vas-tu me rejoindre à présent cher empereur déchu ?