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 Chambre de Camil

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AuteurMessage
Alaïs
Invité




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MessageSujet: Chambre de Camil   Chambre de Camil EmptyVen 13 Oct - 16:02

[Détails de la vision qu'a eu l'humain : /!\Ce post retrace une séance de torture, il peut donc heurter la sensibilité des plus jeunes. /!\

A cette époque, la jeune vampire Alaïs est âgée de moins de deux mois. Les vampires pour lesquels elle a le plus de considération l’accompagnent cette nuit, le petit groupe est composé d’une dizaine d’êtres nocturne, leur cible est le château qui domine la petite cité voisine de Zauberwelt (le village natal de la jeune fille). Les vampires ont carte blanche, ils peuvent faire ce qu’il veulent de tous les mortels que renferment ces murs, à l’exception de Lennard, le promis d’Alaïs, homme odieux et prétentieux, qui approche la quarantaine, avec lequel ses parents s’étaient arrangé pour une noce forcée. Il ne sera pas déçu de voir sa fiancée réapparaître.

Camil vit se souvenir comme une personne extérieur à la scène, ce qui ne sera pas toujours le cas.]


Nuit 1 : Pour un sourire


Nous voilà face à face dans la pénombre, moi et celui qui aurait dû être mon époux, il cherche vainement à me raisonner, il ne comprend pas ce qui se passe, la rapidité avec laquelle nous l’avons enchaîné au mur de ce souterrain ne lui a pas laissé le loisir d’assimiler ce que nous sommes et cela me plait. Il pourrait penser que je suis soumise à mes instinct vampirique, mais je sais ce que je fais et j’ai déjà rêvé de cette nuit avant qu’elle ne se réalise, fantasmant sur les châtiments que je pourrais lui infliger, lui qui croit que les sentiments s’achètent et que l’amour s’écrit avec un grand A, comme Argent.
Je ne sais comment il a pu penser qu’un jour je serais à lui, peut-être espérait-il avoir des rapports intimes avec ma personne et je ne suis pas assez mauvaise pour refuser les requêtes d’un homme sur la fin de sa vie… Notre relation de bourreau à martyr sera au summum de l’intimité.
Un sourire béant fend mon visage, je sais que mes yeux brillent d’une lueur malsaine quand ils se posent sur ce corps où la lumière tamisée des bougies dansent. Je vais prendre énormément de plaisir à le voir souffrir, j’espère que je serais en mesure de prendre mon temps, j’ai tellement hâte de voir cet être que je répugne rendre son dernier soupir…

William, le vampire pour qui j’ai le plus de respect vient de descendre au sous-sol, il dispose mes instrument sur la console que nous avions descendu et se retire lorsque sa tâche est finie, il sait que ce soir, je veux rester seule, en tête-à-tête avec notre charmant hôte.
Les cris des humains qui se font saigner à l’étage est une excellente mélodie pour débuter les préliminaires, je m’approche lentement de celui qui sera ma victime.
Je pose la main sur son torse dénudé et commence à parcourir son corps, tâtant sa chair, il est tendu, les lames rentreront moins facilement mais lui arracheront une douleur plus grande, il faut que je veille à l’effrayer continuellement mais… Outch ! Ça brûle !
Je retire ma main avec empressement, je la regarde, rougis et fumante, son collier est fait d’argent pur et je n’ai pas prit mes précaution, il vient de comprendre que je ne suis plus tout à fait humaine et le fait que ce soit le tortionnaire qui souffre le fait sourire.
Je le gifle, violemment, avant de tirer d’un coup sec son collier et d’abîmer un peu plus ma main délicate, mais je ne laisse rien paraître, pas même une petite grimace.
La jolie et jeune vampire que je suis allume une cigarette, dévisageant celui qui aurait pu être mon amant, je m’approche à nouveau de lui, le gratifiant de douces caresses avant de déposer le côté incandescent de la cigarette entre ses pectoraux, laissant au passage, une jolie brûlure d’un rouge vif. Je continue sur ma lancée, rejoignant, très lentement son nombril.
Il serre les dents mais ne cri pas, cela m’irrite profondément, pour la deuxième fois, je viens cogner sa joue, avec le poing cette fois, je vois apparaître, à la commissure de ses lèvres, un filet de sang, ainsi qu’un sourire, je le vois même tourner son visage, j’hallucine, ou est-ce qu’il me présente l’autre joue ?
Je préfère tirer quelques bouffées de ma cigarette, plutôt que de répondre à cet acte de provocation, il a bien comprit que mes nerfs sont à fleur de peau et qu’il ne suffirait pas de grand chose pour que je le saigne sur place, mais j’ai assez de self-control pour m’empêcher d’écourter cet échange.
A la place, je vais à sa rencontre, lui souffle la désagréable fumée au visage, lui caresse, amoureusement, la joue que je viens de martyriser puis mes doigts pénètrent dans sa bouche, avant qu‘il ne puisse réagir j‘en sors sa langue et écrase mon cylindre blanc à peine consumé sur sa langue.
Cela lui arrache une vive réaction et quelques larmes s’échappent de ses yeux mais lorsque la douleur est passée, je l’entend émettre un rire, d’abord discret pour ensuite laisser place à une totale hilarité, je ne me savais pas si drôle…

Je sens mes entrailles se tordent, mes poings se serrent, je suis très énervée, mais le voir ainsi sourire me donne une très bonne idée, il ne devrait pas me provoquer, cela est bien plus dangereux pour lui, car je suis résignée à prendre mon temps pour l’envoyer parmi les morts.
J’ôte le poignard de son fourreau qui pend à ma ceinture et saisit la main de mon cher ami, je suis décidée à entendre sa voix, surtout s’il compte s’en servir pour crier.
Je place la fine lame sous l’ongle de l’index droit et commence à le décoller, lentement, du reste de la peau, faisant grimacer l’humain sans lui extirper le moindre cri, pourquoi refuse-t-il de me satisfaire ?!! Je m’en prends alors aux neuf ongles restant, agissant sur les premiers avec autant de lenteur mais me laissant gagner par l’énervement, je bâcle l’arrachage des derniers.

Je respire profondément pour me calmer et ne pas succomber à l’envie d’éventrer l’homme sur place, je m’approche de la console où reposent mes instruments et en retire un écarteur fait de solides fils de fer -qui ne manqueront pas de blesser les lèvres de l’humain- et d‘un davier, un grand sourire sur le visage que Lennard me rend. Je me déplace rapidement, passant mes jambes autour de son buste, l’un de mes bras en appuie sur son épaule, je place avec agilité l’écarteur pouvant travailler ainsi avec plus d’aisance et approche le davier de sa dentition pour en prélever une grosse molaire bien enracinée que j‘arrache sans ménagement, suivit d’une autre dent et encore une autre, jusqu’à ce que le sourire de l’être soit complètement édenté, ce qui lui donne l’air nettement moins malin. J’ai réussi à obtenir un hurlement de la pauvre créature à chaque dent arrachée et c’est maintenant à moi de rire aux éclats.

Satisfaite de cette première séance avec mon ex futur époux et complètement détendue, je quitte provisoirement les souterrains, laissant l’homme la bouche pleine de sang à ses jérémiades dont j’ai finit par me lasser.
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