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 Edwene Istynne

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2 participants
AuteurMessage
Edwene I
Invité




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MessageSujet: Edwene Istynne   Edwene Istynne EmptyMar 10 Oct - 23:36

Nom : Istynne

Prénom : Edwene

Sexe : Féminin

Age réel : 23 ans

Race : Humaine

Caste : Esclave mais anciennement Bohémienne…

Fonction : Humaine de Khéops

Description physique : Frêle et assez pâle naturellement, je me trouve d’une assez bonne taille. Du moins pour une Humaine : Ni trop grande, ni trop petite. Je suis mince, mais sans pour autant être maigre, et ce, malgré le manque de nourriture. Je ne suis pas de celle que l’on peut apprécier pour leurs corps magnifiques, et leurs courbes convoiter de nombreuses femmes. Je ne suis pas dépourvus de formes, mais ma poitrine est assez « médiocre » comme le dise les hommes, et elle tiendrait dans une main. Mais cela m’est égale. Le corps n’est qu’une enveloppe, et celle-ci ne me sert pas à charmer les hommes, mais à vivre comme je le peu.
Mon visage, assez mince lui aussi est gracieux mais très fin. J’ai les yeux entre le bleu foncé et le noir. Beaucoup de gens mon dit ne pas savoir différencier les deux couleurs lorsqu’ils regardait mes prunelles, et d’autres se son plein de mon regard, qui mêle sans cesse la colère au calme et la joie au désarroi. Quand à ma bouche, elle est simple, assez pleine mais toujours gercer à cause du froid. Mes pommettes et mon nez sont en général presque toujours rosis par le froid. Et ma peau étant très pâle, elle marque facilement et reprend difficilement ses couleurs d’origine.
Quand à mes cheveux, je ne les coupent que rarement, et ils me descendent jusqu’au bas des reins. Ils son quelque peu onduler, et d’un brun très foncer…

Description Mentale : Comment me décrire mentalement sans me tromper ? C’est une tache difficile, mais je peu d’hors et déjà affirmer que je suis une caractérielle, même si cela fera sourire des gens. Certes je suis d’apparence frêle, mais le physique ne reflète nullement le mental d’une personne. Je ne suis ni douce, ni drôle, ni raffiner… Mais cela est certainement du à la vie que j’ai mener jusqu’à présent. On ne nous à pas laisser le choix, il à fallut se forger un caractère…
Je peu aussi dire sans hésiter que je suis impulsive et colérique. Je tiens la promesse que j’ai faite et je ne m’incline devant rien ! Même si cela doit signer mon arrêt de mort… Je pense donc avoir un esprit non pas rebelle, mais avide. J’aime la vie malgré ce qu’elle me fait endurer, et je suis bien décider à la protéger…
Mais contrairement aux apparences, j’ai toujours donné de l’affection, et de la tendresse à ceux qui le méritait. L’humanité étant une chose que je me permet d’avoir, je peu être vraiment patiente et aimante envers ceux qui en on besoin.
Les autres… je ne les traiterais que comme ils s’amusent à me traiter !

Style vestimentaire : Comment puis-je avoir de style vestimentaire si je n’ai pas le choix ? Mais il est certain que je me plairais à me vêtir de jupons de couleur et de belle robe de dentelle…

Objet fétiche : Mon journal (ou plutôt une épaisse liasse de feuilles), ce que j’ai de plus précieux après ma vie. Mais je garde aussi une longue et épaisse cape d’hivers, vêtements que je garda de ma mère et auquel je tien comme à la prunelle de mes yeux.

Equipement : Une petite dague argenter que je garde toujours cacher dans mes jupons, et que j’avais trouver par hasard dans une ruelle…

Style de combat : Aucun, je ne sais pas me battre avec un style particulier puisqu’on ne m’a jamais rien apprit de tel. Je me défends toujours comme je le peux, ce qui est assez difficile.
Particularité : je me fis toujours à mon instinct, ce qui me vaut parfois chance mais aussi malheur…forcément. Mais je tente toujours de me sortir des mauvaises passes en suivant sa voix intérieure.

Talents : Je n’ai certainement qu’un talent, celui de l’écriture. Mais ce talent est avant tous une passion, que l’on m’a transmise très jeune et que je tente tant bien que mal de faire vivre…

Histoire : Extrait du Journal d’Edwene :

Comment pourrais-je commencer ce journal avec tant de choses à dire ? Mon esprit bouillonne depuis plus de deux heures à présent, et je tourne, retourne sans cesse chacune de mes pensées pour y méditer.

Aujourd’hui, jour de mes dix-sept ans, je détiens enfin le cadeau que j’attendais depuis mes plus tendres années : de quoi pouvoir écrire. Entre mes mains, de nombreuses feuilles rattachées, des plumes et des fioles d’encre noire, le fruit de plusieurs années de travail et de patience. Enfin je vais pouvoir raconter ce qu’il se passe dans cette maudite Cité bien que tout le monde le sache déjà. Mais je veux que les êtres Humains qui vivrons après moi connaisse la vérité, et la connaisse par la plume d’une des leurs, d’une personne qui comme eux plus tard, tentais de survivre au mal qui rongeait la ville d’Ambrelune.
Je serais peu être la seule, mais je voie déjà ce journal comme un trésors…

Puisque j’ai toujours vécut à Ambrelune, je peu dire que je connaît bien son mode de vie, son histoire et sa situation qui me fait chaque jour frémir un peu plus. Et aujourd’hui il s’agit plus d’un tremblement hystérique. On me dit que je suis encore trop jeune pour comprendre, mais c’est faux. J’ai des yeux et des oreilles, cela me suffit pour tout savoir et tout analyser. Ma mère, celle qui ma donner la vie malgré la misère de notre famille a toujours su m’écouter. Et le soir, c’est elle qui me protège, me répétant sans cesse que cette nuit encore, le mal n’entrera pas dans notre demeure car « le seigneur nous protège ». Petite, j’aimais le seigneur et sa bénédiction de tout mon être. Je vivais top inconsciemment, heureuse de sentir chaque jour ma mère me protéger et me raconter les si belles choses que l’unique avait toujours fait. Les miracles comme ma mère appelait cela. J’ai passé mon enfance à attendre l’un de ses miracles…mais jamais aucun ne se fit voir ou sentir. La Cité a toujours été le lieu choisit par la perdition, et il y a belle lurette que je ne crois plus au Dieu de ma très chère mère.

Quand à mon père, je ne l’ai connu que trop peu. Car ici, une vie prolonger est exceptionnel et celui qui vit jusqu’à ses 50 ans peu se vanter, et clamer haut et fort qu’il est un être épargner. Il est mort comme beaucoup d’autre, vider de son sang…
[…]

La nuit a été particulièrement dure. Depuis quelques temps nous vivons avec des gens comme nous, ou plutôt comme moi, car ma pauvre mère semble avoir perdu toute envie de vivre, tout espoir s’est envolé. Je le voie bien dans ses yeux et je pense vraiment qu’elle ne se ressaisira pas comme elle l’avait déjà fait plusieurs fois. C’est vraiment terrible de la voir pleuré matin, midi et soir, trembler la nuit et gémir au petit jour … Elle voudrait mourir, elle le dit sans cesse, mais est terrorisé à l’idée de devoir franchir le dernier cap de sa vie.

Même si je tente maladroitement de comprendre, son attitude me déçoit, et je ressens maintenant à son égard comme une sourde pitié, et un écoeurement qui me dégoûte et trahie une véritable haine naissante. Depuis le temps que nous cherchons à survivre ensemble, qu’elle m’apprend et me reprend pour que je devienne une femme libre malgré les oppressions des vampires et qu’elle cherche à m’éduquer comme si j’avais ce droit incontesté, cela me rend plus folle de rage que folle de tristesse.

Au lever du jour, je l’ai donc laissé à l’un des habitants de notre petite cache. Nous sommes 5 au total, car deux son déjà mort. Il est incroyable de voir avec quel soulagement, quel bonheur les pauvres Humains voient le jour ce lever sur la Cité, chassant pour moins de 8 heures les créatures néfastes. Ah ! Si au moins le Printemps pouvait un jour chasser cet Hivers ! J’ai entendu parler des quatre saisons, mais cela n’est que mythe. Pourtant, qu’elle belle légende !
De toutes, c’est l’automne qui me plait le plus […]

Ce matin, je suis donc sortit dès l’aube. Je ne supporte plus les crises d’angoisse de ma mère qui semble avoir prit dix ans moins de deux semaines. Les personnes que je côtoie ne me croient pas une seule seconde quand je parle de ma mère. Eux qui l’on toujours connu vive et heureuse de posséder la vie, ils me prennent pour une menteuse, et finalement, si je ne l’avais pas vu de mes propres yeux, je me serais moi-même démentit.
Pourtant, il n’y à rien à chercher…ma mère est devenu folle…
[…]

C’est fini, elle est morte ce jour en plein milieu de l’après midi. Elle ne voulais pas voir la tomber de la nuit, elle avait tous abandonner, et elle a réussit à mourir… Cette volonté qu’elle mettait à protéger sa vie et la mienne, elle la mit dans sa mort, et je trouve cela révoltant !

Oui, j’ai pleuré. Malgré la haine que je consumais nouvellement à son égard, je l’aimais. Et comment que je l’aimais ! C’était ma mère, et qui ne peut pas aimer une mère qui vous à donner la vie, choyer et élever dans une Cité telle que Ambrelune ?
Je la respect, et la respecterais toujours pour cela, mais il est une chose que je n’accepterais jamais.

En ce jour de deuil, je promets que jamais je ne finirais comme ma mère. Aussi forte était elle, elle à faiblit et la faiblesse est un luxe que l’on ne peut pas s’offrir, nous autre Humain.
Je promets donc de ne jamais me laisser abattre devant ces abjectes créatures. Nous avons tout de même la force de vivre et surtout le droit !! Je sais pertinemment que les Vampires seront toujours maître, et je traite de fou ceux qui tente de les combattes, même si leur courage est exemplaire. Survivre est notre seul avantage et cela me fait vomir.

Le sang est notre et ils nous le vole ! Est-ce cela leurs forces ? J’ai peine à le croire et pourtant c’est une réalité. Ils se nourrissent de nos vies, nous qui avons déjà tant de mal à survivre au froid que la Cité semble garder égoïstement. Faut il aussi lutter contre ces démons ? Oui…

Aujourd’hui je pleure, et ce n’est ni la première ni la dernière fois. Pourtant ces larmes qui coulent et qui exprime la souffrance d’une âme…ce liquide est aussi précieux que notre sang, et pourtant il reste inconnu. Qu’est ce qui les pousse à nous ôter la vie ?
Je ne connais rien de ses créatures, mais je les haies, car elles son à l’origine de notre souffrance…
[…]

Je n’est rien comprit à ce qui viens de se passer. Mais je suis toujours en vie et je pense que c’est le principal. Ce que je pense ? Franchement je ne le sais plus. Je n’est même plus la force de comprendre et l’envie de chercher me manque cruellement. Finalement je crois être presque aussi décourager que ma mère à la fin de sa vie.

Ils son tous morts, les 5 compagnons qui me restait. Je me sens sales, crasseuse ainsi éclabousser de leurs sang. J’ai vu les Vampires arriver et la peur ma saisit aux tripes. J’ai crié et je me suis battu comme je l’ai pu. Ils mon fait regarder le carnage, me disant que je serais la dernière puisqu’ils gardaient « le meilleur pour la fin ». Je les aie vu mordre et boire le sang, arracher la vie de mes compagnons. Ils n’on même pas épargner l’enfant. Ces monstres sans vergogne… je les haie !

Je ne sais pas pourquoi je suis encore en vie, mais je pense que c’est la dernière fois que je prend la plume. Ils ne m’on pas tuer, et je ne sais pas se qui m’attend à présent. Ils mon regarder en riant, et mon traîner jusqu’au dehors, me jetant ensuite dans une sorte de chariots étroit ou je ne peu presque pas m’assoire. Si j’ai encore mon journal, ma plume briser, l’encre et mes membres geler ne m’aide pas à écrire. Je vais mourir, j’en suis presque certaine. Que ferons ils de moi autrement ?

La neige tombe cette nuit et j’ai froid.
Je suis partie avec la cape épaisse que ma laisser ma mère mais cela ne suffira pas. Je tremble de tous mes membres, non pas de peur, car à présent je ne redoute plus rien. Pourtant je pleur encore, songeant que je vais certainement perdre ma vie, ce que je n’ait eut de cesse de défendre jusqu’à présent… la chose que les Humains on de plus précieux d’après moi. Mais mon jugement n’intéresse personne je le sais…

J’ignore ce qui va m’arriver, mais je tiendrais la promesse que j’ai faite lorsque j’avais 18 ans. Je me fléchirais pas, peut importe ce que cela donnera je ne veut pas m’incliner. Le prix à payer pour vivre me semble si chère. Mais je ne m’inclinerais pas.
Je ne crains plus rien…
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Khéops
En attente de rang

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Grimoire
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MessageSujet: Re: Edwene Istynne   Edwene Istynne EmptyMer 11 Oct - 0:24

J'attends les modifs demandées par mp pour valider.
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Thétis
Maîtresse Vampire

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MessageSujet: Re: Edwene Istynne   Edwene Istynne EmptyMar 17 Oct - 22:37

Une semaine sans réponse pour une fiche, FICHE REFUSEE.
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MessageSujet: Re: Edwene Istynne   Edwene Istynne Empty

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Edwene Istynne
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