==> D'alessandro Dante <==

Nom : D’Alessandro
Prénom : Dante
Sexe : Masculin
Race : Humain
Caste : Rebel
Fonction : Tueur de vampires
Age réel : 22 ans
Clan politique : Conspirateur

Description physique : Le plus simple serait de dire qu’il a ce qu’il faut là où il le faut (Phrase à prendre telle qu’elle est écrite et pas autrement…), mais cela ne suffirait à décrire le physique du jeune homme. A l’origine celui-ci était brun, il finit par teindre ses cheveux en bleu nuit (Crise d’ado ??? Oo) histoire, comme il le dit souvent, de marquer le pas. On dit que le caractère d’un individu peut-être deviné par les traits de son visage. Si cette phrase reflétait réellement la réalité, on pourrait dire que le regard du jeune homme est du à son coté antipathique et beaucoup trop sérieux. Ses yeux qu’il maudit, sont d’un marron tirant vers une sorte de rouge carmin, lui ayant souvent valut l’honneur d’être traité de démon, de faire frémir de peur moult personnes l’ayant croisé de nuit. Le sport est à ce jeune homme ce que la nourriture est à une personne très gourmande, ou ce que le sexe est à tout homme (Ben oui faut savoir dire la vérité parfois…). C’est pour lui quelque chose de vital, dont il ne peut se passer. De ce fait, la musculature de Dante semble comme être taillée dans la pierre par un sculpteur de renommée, avec justesse et précision… Ni trop grand ni trop petit, du haut de son mètre 83 Dante semble à la fois imposant et discret. Toutefois, dante n'avait rien d'un géant mais n'avait rien a envié d'un homme trop musclé.

Description Mentale : Le mental… C’est le point qui, chez lui est le plus à craindre… S’il avait à faire a un psychologue ,celui-ci le définirait comme un maniaco-dépressif asociale, avec pour finir se tableau écoeurant, des penchants suicidaires. Son histoire l’a amené à refuser la compagnie de qui que ce soit, il en est venu à aimer la solitude, à éviter le contact avec les autres. Peu sociable, antipathique et surtout froid… Les rares personnes qui l’ont côtoyé l’ont quand à eux qualifié de machine de guerre. Il tue sans sourciller, il semble dénué de sentiments et de bon sens. Casser les autres moralement, c’est une sorte de passe-temps pour lui. Bien qu’ayant un faible, voir minime sens de l’humour, celui-ci se plaît à se moquer des autres tout en se servant ingénieusement de cette perle qu’on appel ironie. Insolent et effronté, provocateur et téméraire, il est en effet bourré de défaut… Mais sous cette carapace de titane se cache un enfant, un enfant qui ne demande qu’a grandir et à s’épanouir, d’une fragilité comparable à celle d’un verre fait de cristal. Si certains aiment se montrer en spectacle ou se faire remarqué, les choses sont malheureusement contraire en ce qui le concerne. Il ne cesse de s’effacer, déteste parler pour ne rien dire et esquive le plus souvent possible les conversations. Il ne sourit pas souvent et se plaît à rêver très souvent. Côté intelligence, Dante est un être cultivé, qui aime la lecture. Bien qu’il n’ait jamais été à l’école, il s’est efforcé de travailler de manière à être autodidacte, cherchant la connaissance dans les nombreux livres qu’il n’a eut de cesse de voler durant ses années d’errance. Côté femme… Pour ainsi dire il n’a rien d’un Don Juan et rien non plus d’un Roméo. Il est romantique, attentionné, doux… Mais n’a de cesse de fuir aussitôt que le premier rayon du soleil eut effleuré sa peau, laissant la belle demoiselle seule en compagnie de ses propres coussins. Ce qui saurait expliquer cette manie ? La peur d’être dangereux pour la personne « aimée », ou bien le simple fait qu’il est un homme, un vrai ? Les deux peut-être… Pour finir, et avec le plus beau, on peut parler de sa rancune. Ce jeune homme est rancunier jusqu’aux os et ne connaît point le pardon. Il se refuse de s'adonner à ce qu'il considère comme étant un geste de faiblesse, cette pensée révélant un aspect plutôt idiot de sa personne.

Style vestimentaire : Le cuir est et restera selon lui la seule chose qui mérite d’être portée. Chez lui tout est de cuir, le noir est la couleur par excellence. Sa tenue est celle d’un soldat, mais avec en plus sa touche personnelle. Les bottes parfaitement lustrés, les manches retroussés et le pantalon assez remonté pour ne pas être en contact avec ses bottes, objet révélant chez lui une sorte de côté maniaque…

Objet fétiche : Une chaîne qui appartenait à sa mère, avec pour pendentif une croix en argent.
Équipement : Une épée du nom d’Abel et un revolver .454 Casull

Style de combat : Épéiste
Particularité : Un tatouage sur le côté droit de sa nuque, représentant le chiffre 7 écrit en chiffre romain.
Talents : Doué pour certains sports tels que la natation, le basket et la gymnastique. Outre le sport, il a un certain don pour le dessin.

Histoire : Une histoire simple et assez commune pour un humain, on pourrait comparer le début de sa vie à celui de Candide jeté brutalement hors du château où il vivait. A 7 ans, Dante avait tout d’un gamin ordinaire dont les parents étaient plus qu‘aisés, fils d’un père expert comptable et d’une mère sans emploi, Dante était un enfant choyé, câliné, gâté jusqu’à la moelle par ces derniers. Sa chambre était pleine de peluches de toutes tailles, de multiples couleurs et de jeu, dont un train qui en faisait le tour continuellement. Dante était un enfant qui n’avait jamais connu les coups, jamais connu les hurlements ou les réprimandes venant de ses parents. Toutefois, il se montrait bien élevé, calme, polit et toujours souriant, ne manquant pas une seule occasion pour montrer sa rangé de jolies petites dents blanches. Dans la maison familiale l’enfant dormait paisiblement au milieu de ses nombreuses peluches, dans son lit beaucoup trop grand pour un seul, recroquevillé sous sa couette. C’était un soir de novembre, l’hiver était rude dans la ville de Turin, ville située au nord de l’Italie. Les parents du petit garçon discutaient dans le salon de choses et d’autres, éclairés par la lumière de la cheminée, devant une tisane. La neige tombait paisiblement dehors et les rues étaient désertes, personne n’aurait eu l’idée et ni même le courage de dormir dehors par ce temps là. Toutefois, il fallait croire que non. Quelqu’un frappa à la porte. Au début les deux adultes n’y prêtèrent pas attention, puis on frappa à nouveau. Le père se leva alors et alla ouvrir la porte. Personne, il n’y avait rien dehors. Il crut à une blague, mais celle-ci fut de courte de durée. Monsieur d’Alessandro eût à peine le temps de se retourner, surpris par le bruit d’une tasse se fracassant au sol, pour voir sa femme agoniser devant la cheminée, mordue au cou par un homme d’une trentaine d’année en apparence. Il ne put bouger lui-même, quelque chose, ou plutôt quelqu’un, l’agrippa et le tira vigoureusement vers le sol. Un cri de douleur se fit entendre à travers la maison, réveillant l’enfant qui dormait paisiblement. Celui-ci sortit de son lit et s’approcha à petits pas de la porte de sa chambre. Il l’entrouvrit et put apercevoir du haut des escaliers à travers la porte entre baillée, sa mère recouverte de sang, allongée au sol, des larmes coulant de ses yeux à présent inanimés. L’enfant referma la porte de sa chambre. Il était effrayé, Mère était morte. Il courut se cacher sous son lit, l’endroit où tout enfant serait parti se cacher. La porte s’ouvrit alors, trois personnes étaient entrées. Les deux individus se dirigeaient vers le lit, portant quelque chose que l’enfant ne pouvait voir. C’était comme mettre un enfant de 7 ans devant un film pornographique, il n’y comprendrait rien. Le lit bougeait dans tous les sens, quelqu’un jouissait, une femme probablement, la cadence des bruits de ressorts s’accélérait, et les cris de plaisir de la femme avec. Soudain, sans que l’enfant ne s’y attende, quelque chose tomba au sol… C’était la tête de son père, les yeux et la bouche grands ouverts, recouverte de sang. L’enfant hurla, si fort que les vitre auraient pu se briser. Puis tout devint noir. L’enfant se réveilla dans la neige un matin, au milieu de nulle part, une morsure au cou. Il ne savait pas ou il était, mais se souvenait de ce qui s’était passé. Il se mit à pleurer, inexorablement hurlant de douleur et appelant ses parents. Au bout de plusieurs heures il finit par comprendre que ceux-ci ne reviendraient jamais, que tout «était réellement arrivé. Il se leva et marcha, c’est ainsi que commença le périple de l’enfant. Tout d’abord il trouva refuge chez un chasseur qui tenta de le violer au bout de deux semaines. Lui enfonçant sa fourchette dans les parties, l’enfant parvint à s’enfuir et continua de marcher, dans la neige toujours. Où allait-il ? Il s’en fichait en fait, Père et Mère n’étaient plus, il n’y avait dés lors plus rien d’important. Il traversa plusieurs villes, y vola le nécessaire pour survivre, reçu des coups, se blessa mais réussissait toujours à s’enfuir. Finalement il arriva à Parme. Au début personne ne prêta attention à ses vêtements sales et déchirés, mais une femme le vit. Elle était belle, bien vêtis et sentait bon. L’enfant s’évanouit face à elle. Prise de pitié, elle porta le garçon jusqu’à l’endroit ou elle travaillait et vivait… Une maison close… L’enfant y resta deux ans, cachés par les prostitués de la maison et fut envoyé à Gènes peu après le jour de ses 9 ans. Il fut alors recueillit par un homme assez curieux nommé Alexandre Mac Arthur. Cette homme était un riche propriétaire de chevaux, mais avait, par le plus heureux des hasards, un passe temps sortant de l’ordinaire, il chassait les vampires. Il lui apprit tout ce qu’il devait savoir et lui avoua que c’était un miracle qu’il ait survécu après avoir été mordu. L’enfant n‘y prêta pas attention, il ne rêvait que de se venger et attendait patiemment le moment opportun pour se lancer à son tour dans cette sorte de « chasse ». 6 années plus tard, Alexandre mourut, lors d’une de leur virée nocturnes, Dante était à nouveau seul, riche héritier. Pas si longtemps finalement, quelques semaines plus tard, le fisc vint et emporta tout ce que le vieil homme possédait. Dante eut tout juste le temps de garder avec lui le revolver de son père adoptif, un .454 Casull, et de l’argent, assez pour acheter une arme et vivre décemment. Il put ainsi acheter l’épée nommée Abel, réputé pour porter la mort à son possesseur mais aussi se faire teindre les cheveux et se faire tatouer se chiffre 7 sur la nuque. Dante étant assez superstitieux il pensait que disposer d’un triple 7 lui apporterait une chance suffisante pour ne pas subir la malédiction que portait cette arme. Il était le 7eme mois de la 7eme année, ainsi le chiffre 7 tatoué sur sa nuque portait tout son sens. Dante traversa l’Europe, chassant toujours autant comme son père adoptif lui avait appris et se découvrant une nouvelle passion : les femmes. Quelques années plus tard, le jeune homme du haut de ses 22 ans marchait à nouveau dans la neige en direction de ce lieu , dont la position lui avait été révélé après avoir pris le soin de torturer de nombreux jeunes vampires. Il marchait, dans le froid, puis sous la neige, en direction d’Ambrelune, le fief des si réputés vampires jumeaux …

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