:: Eléa ::

Nom : Mc Miller
Prénom : Eléa
Sexe : Féminin
Race : Vampire
Caste : Noble
Fonction : Ecrivain - Musicienne
Age en apparence : 22 ans
Age réel : 72 ans
Clan politique : Fidèle

Description physique : Eléa est une vampire de 1m70. Elle pèse environ 55 kilos. Elle a des cheveux longs, noirs, dont elle prend extrèmement soin. Eléa aime les peigner, et faire de jolies coiffures. Un visage qui paraît profondemment sage, illuminé par ses grands yeux noir, et un sourire discret. Une peau blanche, depuis sa tendre enfance, des lèvres naturellement bombées, à la couleur et au goût de la framboise. Un nez ravissant et des soucils fins venant soulignés ces grands yeux noirs si expressif. Elle a un de ces visages qui fascine, qui attire et qui marque. Un ton sérieux vient contraster ses traits. Sa peau est fine et douce, elle aime en prendre soin, crèmes, lotions, bains, tout y passe. Ses mains sont celles des artistes, assez fines, pas très habimées, elle en prend soin, c'est son outil de travail. Adepte des sports de défense (Aïkido) et des sports d'arme (Kendo- Escrime), elle est assez endurante et cela se ressent sur son physique dynamique et ferme. Ses gestes peuvent être à la fois gracieux et élégant, comme quand elle fait de la musique. Mais ils peuvent parraître rudent et vif, comme quand elle se bat. Elle a toujours la marque de sa morsure, un peu en dessou du cou, à la naissance des épaules. Eléa aime être classe, bien habillée, non pas pour les yeux des autres, mais pour les siens. Se sentir noble, propre, élégante lui permet d'être sûr d'elle. Si on n'y fait pas attention, Eléa n'a pas l'apparence d'une vampire, juste d'une femme, noble, aux goûts étranges, une artiste dit-on.
Description Mentale : Elle aime écrire, lire, et faire de la musique. Elle joue du violon et du piano. Aimant faire passer des émotions dans son art. Ceux-ci lui permettent aussi de canaliser ses états d'âmes. Quand on la regarde, à première vue, on jugerait qu'elle est douce, et calme. Mais quelque chose en elle, nous fait dire, qu'elle se cache derrière ce physique si tendre. Comme une rose qui sait se montrait attirante, qui attend qu'on la touche pour ensuite enfoncer ses épines profondemment. Elle écrit depuis ses 12 ans, poète, philosophe, sophiste, musicienne. Elle a toujours eu une personnalité bien à elle. C'est une personnalité qui sait s'affirmer ou se taire quand il le faut. Eléa a toujours eu confiance en elle. Petite, elle s'avait déjà qu'elle allait avoir un destin prometteur, avec l'argent de ses parents, elle ne manquerai de rien, et aurai toujours ce qu'elle désirerai, pouvant faire le métier et accéder à ses rêves facilement. Elle aime le rouge, depuis sa naissance, le rouge c'est la passion, c'est l'amour, c'est le sang, le rouge c'est donc la vie. Eléa parle peu depuis qu'elle est vampire, elle se ratrappe en écrivant. Les gens s'attachent à elle, veulent la découvrir, et sont presque ravis d'avoir pu lui faire dire un mot. Mieux encore, avoir pu retenir son attention quelques minutes. Elle a ce léger côté narcissique, mais Eléa est loin d'être imbue de sa personne. Elle n'aime pas trop la foule, les grands bals de vampire ne la mettent pas très à l'aise. Elle a lu toute l'histoire des vampires, toute sa littérature, jusqu'à l'origine. Elle a un besoin de savoir, de comprendre, de transmettre, d'exprimer, d'écrire.

Style vestimentaire : Eléa aime se faire plaisir, avoir des vêtements de luxe, être bien habillée. Sa garde robe est immense. Ses vêtements sont sur mesure, et c'est elle la créatrice. Elle dessine ses habits, qu'elle fera ensuite fabriquer. Amoureuse du style gothique.
Objet fétiche : Un petit cahier, en cuir noir, où elle y note ses idées. Ses dobermans.
Equipement : Deux dagues, une épée légère dessinées par ses propres soins. Deux Smith & Wesson. Un Beretta 92. Deux chiens, Abysse et Morphé, dressés au doigt et à l'oeil, notamment à l'attaque. Aaron, son renfield.

Style de combat : Elle aime les arts martiaux, plus particulièrement ceux de défense (Aïkido) et ceux d'arme (Kendo). Eléa aime tuer en silence. Mais le bruit d'une balle de révolver l'attire tout autant. Elle n'a pas de style particulier. Eléa tue et elle le fait bien.
Particularité : Sa musique fait naître d'étrange émotion aux gens.
Talents : Elle écrit et joue de la musique divinement bien. Même quand elle tue, c'est de l'art.

Histoire : Voilà que maintenant c'est mon histoire qui doit être racontée. Je suis né de deux parents notables, fille unique, je m'en porte mieux. Mon père aimait voyager, et vivre dans différentes ville. L'argent nous le permettait. Soit, grâce à cela, j'ai pu voir beaucoup de pays. On me demande souvent d'où je viens ? Qui je suis ? Quelles sont mes racines ? Et j'aime répondre, que mes racines : c'est la littérature, c'est les livres... Voilà d'où je viens, voilà qui je suis. Je suis un puis littéraire, et c'est de l'encre qui coule dans mes veines.

J'ai appris à lire très tôt, de là, j'ai commencé à dévorer des livres, bien plus que la riche nourriture qu'on me servait à table, c'est peut-être pour cela que j'ai un physique acceptable et que je n'ai jamais eu le ventre et les seins de ma mère. Je préféré la dorure des romans, à celle des assiettes. Mais c'est à l'âge de 12 ans que j'ai décidé de faire devenir cette passion en véritable métier. On me nomma l'Artiste des Ombres. La première fois que je suis tombée amoureuse, ce fut de l'art gothique, à 14 ans. Voilà pourquoi, le titre 'des Ombres' me revient de droit.

Pendant 4 ans, j'ai vécu paisiblement, je me suis cultivée, je me suis améliorée. Je suis allée dans de bonnes écoles, je n'étais pas si studieuse que cela, j'avais juste des notes convenables pour faire plaisir à mes parents, l'école et tous ces gens prétencieux ne m'ont jamais attiré. Moi je voulais vivre de ma passion, faire quelque chose de ma vie, quelque chose qui me plairait. A mon époque, les hommes, les bals, l'argent, c'était ce qu'il y avait de plus important. Pour moi, c'était mes livres, mon violon et mes parents. Parce que sans eux, au final, je ne m'en serais jamais sortie.

Et est venu le jour de mes 18 ans. « Ma fille, il va falloir te trouver un mari » Telle fut l'horrible phrase prononcée par mon père. Un mari ? A 18 ans ? Je ne connaissais rien aux hommes, sauf qu'ils ne cessaient de me coller en permanence afin d'acquérir quelque chose, je n'avais pas alors compris que la chose qu'il voulait, c'était moi. Un noble, il me fallait un noble, mon père l'avait dire. Alors si mon père l'avait dit...il vallait mieux que je l'écoute. Mais voilà, je n'avais jamais eu l'intention de me marier. Pendant 2 ans, j'ai vu des centaines d'hommes venir me pleurer, me courtiser. Je ne fut conquise par aucun, ni même touchée, ni même attirée. Pourtant, j'étais noble, c'était ça le problème, à 20 ans, je ne pouvais pas ne pas avoir de mari.

Mon père me maria. A un beau jeune homme, notable, 25 ans, cheveux bouclés, blonds. Hautain, méprisant les pauvres et de surcroit mon métier. Dans les soirées organisées, j'avais le droit à deux choses, être belle et me taire. Il ne fallait surtout pas que les gens sachent pour mes activités. Mes livres étaient vendus, l'éditeur sous serment : personne ne devait avoir connaissance de l'identité de l'écrivain. Et l'Artiste de l'Ombre ne m'eu jamais aussi bien collé à la peau qu'à cet instant. Je suis devenue encore plus célèbre grâce à ce côté mystérieux. E.M.M, je n'avais le droit qu'à des initiales, les gens ont souvent cru que même les initiales étaient fausses.

Je n'ai jamais aimé mon mari, je pense qu'il ne m'est jamais aimé lui aussi. Ce qu'il aimait, c'était les compliments qu'il recevait d'avoir une femme si belle et si disciplinée. Il a consommé le mariage, sans même me demander mon avis, dans ses moments là, je jouais un jeu, lui aussi, je pense qu'on jouait aux mariés amoureux, se faisant l'amour. Mais il n'y a jamais eu d'amour entre nous, il n'y avait rien de tout celà, on assouvissait juste une envie de chair et de plaisir.

Et puis, à 22 ans, au détour d'une promenade nocture, je fis la plus belle rencontre de ma vie. Je n'ai jamais eu l'envie ou le besoin de connaître son nom. J'ai vu dans ses yeux, une nouvelle vie. Une nouvelle vie, tout simplement parce que je suis morte le jour où on m'a passé la bague au doigt. Depuis deux ans, je n'étais qu'un cadavre, à défaut d'être une mariée. J'ai sentit ma peau se déchirait sous ses canines, et mon sang coulait sur la peau de mon cou. Quand j'ai avalé le sien, j'ai aimé cela. Il cru bon de se faire pardonner, pourquoi ? Pensait-il vraiment que je lui en voulais de m'avoir donné un second souffle, un nouveau départ ?

Le vampire m'a expliqué qu'il fallait que je bois. Du sang, de toute évidence. J'étais noble, il me fallait du sang noble. Pour mieux commencer une nouvelle vie, il me fallait être veuve. Ma première victime fut donc une évidence : mon mari. Je l'ai tué au moment où je l'aimais le plus : quand il dormait. Il n'a pas crié, c'était si facile...

Le sang de ma mère fut plus délicieux que le sang de mon père. Je jurerai qu'elle avait un goût de pèche. J'ai brûlé le théatre, où je venais de boire le sang de mes parents. Ils ont tous cru que c'était un fatal accident. Une centaine d'humain venait de brûler, à cause d'un simple mégo de cigarette. Je suis devenue la pauvre veuve orpheline. Quelle joie, quel bonheur, j'étais enfin libre. Et j'avais l'éternité devant moi.

Pendant 50 ans, j'ai découvert les plaisirs de l'immortalité. Je me suis nourrie de sang noble, et j'ai eu quelques renfield, jamais âgé de plus de 18 ans. Mon préféré reste celui que j'ai en ce moment. Aaron, il a 13 ans, et son sang est délicieux.

Je suis Eléa Mc Miller, E.M.M, pour mes lecteurs. Cela fait maintenant 50 ans que je suis un vampire. Et je compte bien le rester.

Autre : Autour de son cou, un pendentif, contenant quelques gouttes de sang de sa première victime.

Ok ok, c'est bon. Re-Bienvenue. Tu es validée !