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 Sha'Aara Nenfis

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Sha'Aara
Invité




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MessageSujet: Sha'Aara Nenfis   Sha'Aara Nenfis EmptyMar 6 Fév - 17:15

Nom : Nenfis
Prénom : Sha’Aara
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Caste : Esclave
Fonction : Esclave de Kanefer
Age réel : 18 ans
Clan politique : Elle respecte le clan de son Maître

Description physique : Sha’Aara ? Une personne qu’on ne remarque jamais. Toujours cachée dans l’ombre ou le visage masqué par ses doux cheveux de feu, elle ne demande rien. Rares sont ceux qui ont déjà entendu sa voix au tintement de cristal, et elle ne s’en soucie pas plus que cela. Elle préfère tant la tranquillité que ça la rendrait presque antipathique au premier abord ! Et pourtant, rien ne vaut l’éclat d’océan de ses yeux, même si les nuages les assombrissent ostensiblement. Et que dire d’elle lorsqu’elle sourit ? Jamais de malice, jamais de froideur ou de moquerie, ce n’est que la douceur et la tendresse qui étirent ses lèvres fines à la couleur rosée. Ne vous méprenez pas, bien sûr, Sha’Aara n’est pas une belle fille. Tout au plus pourrions nous dire qu’elle est jolie avec son mètre soixante et un et son poids plume. La seule chose qui pourrait la démarquer et peut-être son pas léger, voir même altier, comme si elle était une jeune princesse d’un autre temps que rien ne pourrait atteindre, ou qui pourrait tout vous pardonner. Ses formes s’arrêtent à la simplicité même d’ailleurs ; Sa poitrine n’est pas bien grosse, et admettons sans problème que cela ne la dérange pas plus que cela puisque ça leur permet de rester fermes et ronds comme sa prime jeunesse. Non pas qu’elle soit vieille, bien sûr. A vrai dire, on peut même encore discerner à son visage ovale les rondeurs de l’enfance, ce qui est probablement le seul obstacle à sa beauté discrète mais rayonnante. Oui, Sha’Aara ressemble en bien des points à une enfant avec son manque évident de courbes et ses cheveux toujours décoiffés, mais son charme ne réside pas dans son physique, bien loin de là. Mais de toute façon, qui s’en soucie ? Elle préfère se cacher.
Description Mentale : Un ange passe. La lumière se fait dans ce monde de ténèbre. C’est du moins l’impression que laisse le sourire rare mais présent de Sha’Aara lorsqu’elle se décide à lever son visage sur vous. Elle semble gentille et son air doux ne le dément pas, et quant à parler de son esprit, on peut le trouver aussi lumineux que si elle avait apprit à le maîtriser durant des années. Elle n’aime pas blesser les gens, de peur de se blesser elle-même, ce qui s’avère chose facile lorsqu’on la regarde bien. Mais elle le montre si peu, elle qui est si triste ! Elle ne voudrait en aucun cas causer du soucis au gens qu’elle apprécie. Ni même à ceux qu’elle n’apprécie pas, si il faut dire la vérité. Elle n’est pas rancunière et ne juge pas vite, voir même pas du tout. Tout ce que l’on peut dire de sa personne est marqué dans son regard comme si vous veniez d’ouvrir un livre. Nulle pitié, nul mauvais sentiment. Sha’Aara est d’une pureté innocente que l’on ne trouve plus de nos jours, une sorte de perle rare pour ceux qui savent la trouver. Surtout que la jeune femme se trouve être d’une timidité presque maladive qui lui vaut de parler peu et d’éviter au possible de regarder les gens. Oui, elle est discrète, mais plus par envie que par nature ou par curiosité. Ce n’est que pour rester dans le calme de ses rêves qu’elle l’est, des rêves plus agréables que ce qu’elle a vécut jusqu’ici. Mais contrairement à ce que vous croyez, sa gentillesse n’est pas si facile à décrire, car elle est bien plus profonde que les mots. On peut mettre des mots sur le Mal. Pas sur la Bonté.

Style vestimentaire : On ne peut pas dire qu’une esclave peut se permettre d’avoir un style particulier. Ainsi donc, nous pouvons nous arrêter à la limite de la simplicité pour ce qui est de Sha’Aara, bien que ce soit en grande généralité des robes longues d’un blanc pur… Qui restent rarement blanc.
Objet fétiche : Elle ne possède qu’un seul objet qui soit cher à son cœur ; une petite chaîne dorée au bout de laquelle pend un pendentif en forme de croix possédant un lys à son pied. Il faut noter d’ailleurs qu’il est souvent caché sous sa robe, pour faire bonne mesure.
Equipement : Elle possède une simple petite dague rouillée qu’elle garde toujours à sa ceinture et son fameux collier. Soit pas grand-chose.

Style de combat : Sha’Aara n’a rien d’une combattante. Quel intérêt de décrire sa façon de fuir ou de se recroqueviller ?
Particularité : Elle n’en possède également aucune. Sha’Aara est une fille on ne peut plus banale.
Talents : Une seule chose reste remarquable chez la jeune fille lorsqu’on a l’occasion de le savoir : Sa voix. Douce et cristalline, il lui arrive souvent de chanter pour calmer ses pleurs, et son chant est aussi enivrant que le plus doux des nectars, soignant les cœurs les plus durs.

Autre : La jeune femme est fragile et ne sait absolument pas se défendre, que ce soit par les mots ou par la force. On peut également se rendre compte qu’elle est facilement blessée et extrêmement facile à manier à cause de sa naïveté.
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Sha'Aara
Invité




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MessageSujet: Re: Sha'Aara Nenfis   Sha'Aara Nenfis EmptyMar 6 Fév - 17:16

Histoire




Cela fait 18 ans que je suis née. 18 ans que je parcours ce monde comme ma mère avant moi. En esclave. Dès ma naissance, ce fut mon statut. Quant à mes parents, je ne les ai pas connus. Un esclave ne pouvait toucher un autre esclave dans la famille Nenfis. C’était ainsi qu’allait le monde. Cela me semblait naturel. Et j’ai grandis dans cette ambiance. Froideur, douleur, malheur. Là-bas, on apprenait vite à se tenir à l’écart. A se taire. A fuir lorsqu’on en avait l’occasion. Mais peu y arrivaient vivants. Pour ne plus être au service de cette famille… Mieux valait mourir. Moi, je voulais vivre. Ce n’était peut-être pas la meilleure solution à l’époque, mais je l’avais décidé ainsi.

Servir un vampire, c’est servir la mort. Je l’avais appris très tôt également. Nous n’étions pas ses serviteurs. Pas vraiment ses esclaves. Nous étions tous son garde manger. Certains étaient ses jouets. Des divertissements qui contribuaient à sa survie contre la leur. Nous étions une décoration de plus. Une parmi tant d’autres. Si il nous venait à l’esprit de mourir ? Peu importait. Le lendemain ou le surlendemain, une nouvelle décoration prenait la place de l’ancienne dans la demeure.

Nous n’étions plus humains. Nous n’étions pas vampire. Nous étions des fantômes. Des images, en fait. Des choses qui n’avaient pas leur mot à dire. Et nous nous en contentions. Certains en étaient même fiers. Ils se disaient ses favoris. Mais il n’aimait aucun d’entre nous. Ils étaient naïfs. Ils se montraient plus audacieux que les autres. C’était ceux qui partaient les premiers.

Moi dans tout ça ? Je restais à l’écart. Je restais silencieuse. Je restais douce et humble alors que je n’avais qu’une envie. Ne plus paraître devant lui. Ne plus sentir mon regard sur moi. Très tôt déjà, il m’avait remarquée. Pas comme un homme remarque une femme bien sûr. Mais je crois qu’il avait dans l’idée de me prendre en tant que poupée. Marionnette. Chose. Et qu’il attendait. Pourquoi attendre ? Il aimait les femmes mûres. Celles qui ont tellement à cacher que ça en devient impossible.

J’avais quinze ans lorsqu’il décida que j’étais prête. Je crois que je n’avais jamais eus aussi peur. Pas la peur de perdre quelque chose d’important. Non, j’ignorais les détails de ce à quoi servait ses jouets. Mais c’était son regard. Encore une fois. Et sa façon de se comporter. Jamais je n’avais été aussi près de lui. Et je ne voulais pas l’être. Il me dégoûtait. M’effrayait. Il me tuait sans réellement le faire. Mais j’avais eus de la chance cette nuit-là. Si s’en était vraiment.

Il avait décidé de m’affaiblir. Le plus possible. Ce n’était pas vraiment pour m’empêcher de me défendre, j’en étais incapable. Mais plus le sujet est faible et plus on peut lui faire tout ce que l’on désire. C’est ainsi qu’il croyait voir les choses fonctionner. Lorsqu’il se nourrit, c’était dans ce but. Plus, toujours plus. Et je sombrais. Je le sentais jusqu’à mes os. Mes membres tremblaient. Et quelqu’un frappa à la porte de sa chambre.

- Maître ! Maître !

Il c’était redressé, le visage déformé par la haine et la colère. Vaguement, j’avais pensé qu’il allait me tuer. Mais il c’était précipité sur la porte et l’avait grande ouverte sur une servante qui devait avoir mon âge. Mais je voyais si flou ! Tellement flou…

- M-M-M-Maaaaître… Il y a un homme à la po-po-porte !

Il n’avait pas posé de question. Il n’avait rien fait qui aurait put la prévenir. La seule chose que j’avais vu clairement, c’était ce sang qui tâchait sa tunique noble tandis qu’il revenait vers moi, furieux. Meurtrier. Et c’est là qu’il avait commencé à me frapper. Je ne pouvais pas pleurer. Je ne pouvais pas crier. Je ne pouvais pas bouger. Mais lui pouvait faire tout ça.

- C’est de ta faute ! Avoue-le ! Tu lui as demandé de venir, hein ? Espèce de petite traînée !

Les coups ne tardaient pas à faire leur apparition sur mes bras nus. Sur la naissance de ma poitrine. Sur mon visage pâle. J’allais mourir, je le sentais bien. Il allait finir son travail. Mais quelque chose lui avait fait relever la tête à ce moment là. Quelque chose qui semblait le détourner de moi. Et aussitôt, il était sortit. Moi, j’étais restée meurtrie sur ce lit de soie toute la journée qui avait suivit. Sanglotant lorsque l’air me venait pour m’étouffer juste après.

Mais le jour était notre domaine. Le seul moment de liberté que nous avions. Et je n’étais pas restée seule très longtemps. Je ne me souvenais pas de qui avait prit soin de moi. M’avait nourrit. Soignée. Bandée. Calmée également, me permettant de respirer. Mais j’étais prête pour la nuit suivante. La nuit… C’était le seul moment de ma vie ou je pensais vraiment à fuir d’ici. D’une façon comme d’une autre.

Et pourtant, c’était avec un calme déconcertant que j’étais rentrée dans le grand salon. Il était encore vide, mais le Maître allait arriver. Et son invité également. J’avais appris cela avant qu’on me mette le plateau dans les mains. C’était ça qui m’avait sauvée. Il avait sentit quelqu’un de son sang. Ou en tout cas, de sa race. J’avais posé sur la table de marbre les deux coupes de cristal remplie du sang d’un des esclaves avant de me retirer dans un coin sombre de la pièce, gardant le plat contre mes genoux, les mains croisées dans une attitude sage devant mes jambes, la tête baissée.

Puis je les avais entendu, parlant avec une discrétion déconcertante pour une humaine comme moi. Ils étaient entrés. Et je l’avais sentis pour la première fois. Son regard. Un regard différent de celui de mon Maître. Un regard qui avait attiré le miens comme la lumière attire un papillon.

Il était grand, beau. Je n’avais jamais admiré un visage aussi fin, des cheveux aussi doux… Et des yeux aussi clairs. Ce n’était pas courant chez les vampires. J’avais cligné des yeux, il avait détourné les siens. Et je la vis également. Discrète, effrayée, elle se raccrochait au pantalon du nouvel arrivant. Et je sus immédiatement que j’avais affaire à une humaine. Une très jeune humaine, qui devait être ma cadette de bien cinq ans, voir plus.

J’avais été troublée par cette vue, il est vrai. Etais-ce elle, son esclave ? J’avais serré les poings et plissé les yeux de rage en rebaissant la tête. Malgré son regard, je l’avais crus pire encore que mon Maître. Une esclave aussi jeune ! Je ne pouvais décidément y croire.

- Quelle délicieuse enfant… Je ne doute pas que vous l’ayez gardée vierge pour garder son sang pur ?

Je m’étais mordue avec légèrement la lèvre inférieure à ces paroles. Je ne pouvais croire décemment que des êtres pareils puissent exister. La pureté du sang ! Rien que ça ! J’avais penché la tête de côté et relevé à peine les yeux pour regarder la scène aussi discrètement qu’une esclave pouvait se le permettre.

- Non.
- Non ? Vous voulez dire que vous avez déjà accomplis le plus délicieux des sevrages ?

J’avais fermé un cours instant les yeux, déconcertée et dégoûtée par cette discussion. Je m’étais attendue à tout. Sauf à ce qui c’était passé.

- Non. Vous vous trompez lourdement. Cette enfant est ma propre enfant et je ne la toucherais en aucun cas.

J’avais rouvert les yeux et croisé aussitôt l’océan clair de ceux de la dite enfant. Elle me regardait d’une façon curieuse, à la fois effrayée et rassurante. Je devais avoir l’air surprise et choquée par ces paroles, je n’en doute plus aujourd’hui. Mais elle avait confirmé de cette seule façon que ce n’était pas mon manque de force qui m’avait joué des tours. Elle était sa fille. Et il ne la maltraitait pas. C’est ce qu’elle voulait me dire. C’est ce qu’elle avait vu au fond de moi.

- Hum. Esclave !

J’avais sursauté, quittant les yeux de l’enfant pour ceux, froids et cruels, de mon Maître. Il semblait à nouveau en colère. Sûrement à cause des paroles de son invité. Invité qui me regardait à nouveau à cet instant, bien que je ne m’en étais pas rendue compte. Je m’étais avancée en baissant à nouveau les yeux, esquissant la légère révérence que le Vampire avait ordonné d’adopter face à lui.

- Maître ?

J’avais hâte de sortir. Je ne voulais plus entendre un mot de plus. Et à la fois, je désirais tout savoir.

- Ressers-nous !
- Bien.
- Et avec un sang plus féminin cette fois-ci. Celui-ci était infect. Tu pourras d’ailleurs préciser à celui qui l’a fournit que j’aimerais le voir dans mes appartements avant l’aube.
- O-Oui. Maître.

Je m’étais retournée sans manquer de le regarder. L’autre vampire. Et j’avais noté sa réaction dans mon esprit. Il serrait les poings et son regard si clair c’était refroidit. Et j’en venais à espérer de tout mon cœur qu’il ne se retienne pas. Mais il y arrivait. Du moins, il y arrivait pour cette nuit.

La nuit suivante, c’était de moi-même que je m’étais proposée de servir à nouveau le Maître et son invité. Mais tous étaient, au fond, rassurés. L’un d’entre nous avait disparut. Tous savaient lequel. Tous savaient pourquoi. Et à nouveau, je m’étais trouvée dans le salon bien avant l’heure de leur arrivée. Lorsqu’ils arrivèrent, il n’y eut qu’une seule chose pour me frapper. L’enfant. Elle n’était pas là.

Y avait-il une raison ? J’avais regardé le visage du vampire à l’apparence si jeune et je m’étais effrayée moi-même de le voir bien plus froid et distant que la veille. Je pouvais même le voir presque… Meurtrier. Ce que j’avais vu avait-il été, finalement, une simple illusion ? Un rêve fou libéré par l’impression que tout pouvait changer avec ce nouvel arrivant ? J’avais serré mes doigts à m’en faire pâlir les phalanges sur le bord de mon plateau, évitant de les regarder alors qu’ils parlaient de tout et de rien avoir une froideur décuplée.

L’air de la pièce était devenu lourd. Je n’avais plus l’impression que mon Maître considérait le vampire comme un invité. J’avais l’impression qu’il le prenait maintenant pour un adversaire. C’était cela.

- Esclave !

Je m’avançais de quelques pas discrets et légers sans relever la tête et sans rien dire. J’avais peur. Peur de cette ambiance menaçante. Etais-ce moi qui allait en faire les frais ?

- Sers nous.
- Oui, Maître.

Je m’apprêtais à partir lorsqu’il saisit mon bras à une vitesse terrifiante. Ca avait eut comme résultat de me faire lâcher le plateau, qui était tombé comme sonnait le gong. Je regardais mon Maître avec une mine terrifiée. J’étais toujours blessée, mes bras bandés. Je n’étais pas encore remise. Que comptait-il me faire ?!

Je n’avais pas eus le temps de réagir que la peau de mon poignet était ouverte et que mon sang se déversait dans son verre. Il souriait froidement, méchamment. Il se vengeait.

- Le sang d’une vierge. Et des plus délicats. Vous allez aimer, très cher. C’est un miracle qu’il soit encore de cette qualité après tout, puisque j’ai faillis lui prendre sa pureté le soir même de votre arrivée…

Il avait éclaté de rire en me lâchant. J’étais tombée. Et tout avait été vite. Il c’était tût. Lui c’était levé. Son bâton était tendu, et il le foudroyait de son regard clair. Si clair. Et il avait frappé. Quant à moi, j’étais tombée. C’était la fin. C’était ainsi que je le voyais.

J’avais ouvert les yeux sur le visage enfantin de l’Egyptienne. Elle avait sourit et tourné la tête, murmurant quelque chose au vampire. Il fronçait les sourcils en me regardant. Il me couvrait de ce regard. Puis il c’était levé, me forçant à faire de même en m’attrapant par la taille. Et les sons étaient revenus m’assaillir.

- Nous partons.

Je ne pouvais pas partir ! Mon Maître… Il allait tous les tuer dans sa rage ! Il allait me retrouver. Il allait… Je n’allais pas aller bien loin dans mes pensées. Je ne l’avais pas été. J’étais à nouveau retombée dans l’inconscience. Et lorsque je m’étais réveillée pour la seconde fois, nous étions déjà bien loin de mon ancienne demeure… Et j’avais un nouveau maître.
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Thétis
Maîtresse Vampire

Thétis


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MessageSujet: Re: Sha'Aara Nenfis   Sha'Aara Nenfis EmptyMar 6 Fév - 18:35

Bienvenue ! =]

Très belle fiche. Tu es validée. Bon jeu. =]
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