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 Amandine

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Amandine
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MessageSujet: Amandine   Amandine EmptyMar 23 Jan - 23:39

Nom : Mélidon
Prénom : Amandine
Sexe : Fille
Race : Vampire
Caste : Noble
Fonction : //
Age en apparence : 13 ans
Age réel : 129 ans
Clan politique : Fidèle

Description physique :

Amandine a toute l'apparence d'une fillette qui grandit, dû à l'âge jeune où elle fut mordue. Ainsi, pour l'éternité, elle conserve un corps menu, une poitrine encore douce, des jambes longues et grêles.
Son visage innocent cache, tel un masque, bien son rôle. Ses cheveux, bruns, sans particularité, lui arrivent jusqu'au milieu du dos. Ils sont légèrement ondulés. Amandine les entretient avec soin. La plupart du temps, ils sont laissés libres, mais souvent, elle prend deux mèches à l'avant, dont elle fait des couettes hautes surmontées de chouchous (ou de fleurs, si elle en trouve), ou elle en fait de fines nattes mêlées de rubans. Elle porte une frange qui lui balaie les yeux, des yeux verts, qui sans pourtant avoir une forme particulière, captivent. L'iris d'un vrai vert mais la bordure plus sombre. Amandine les cerne de noir, et quelquefois s'amuse à créer des motifs autour, barre verticale ou motif floral dépassant du coin des paupières.... Elle porte une petite bouche qui ne bouge pas. Une bouche qui quelquefois s'anime d'un sourire qui soulève juste les coins, discret, malicieux. Un nez qui ne mérite pas des pages entières de description. Une dentition très, très solide. Des oreilles un peu décollées, qui dépassent de la masse des cheveux telles des oreilles elfiques….
Cet air enfantin, ce visage angélique, c'est celui d'Amandine.
Elle n'est pas très grande : la vampirisation l'a figée à un mètre cinquante environ. Elle a des mains petites, mais agiles, exercées à mille et une occupations. La jeune fille a un aspect frêle : elle est très souple, cela grâce à la gymnastique autrefois, et maintenant l'exercice de vampire qui nécéssite de savoir courir...! Des jambes donc douées à la course. De petits pieds qui savent danser. Des bras qui serrent souvent une poupée de chiffon usée. Son cou n'est ni trop long, ni trop épais ni trop fin. Supposons qu'il doit être apétissant vu qu'Amandine le vit un soir orné de deux jolis petits trous. Une taille fine, fine, fine... On croirait qu'elle pourrait s'envoler...

Description Mentale :

Amandine est une fillette, et elle le sait parfaitement. Elle profite à fond de cette aubaine, en cultivant cet aspect de petite fille qui lui restera, le meilleur des pièges pour s’alimenter.
Elle est rusée. Très imaginative. Rêveuse. Elle peut passer des heures dans un coin, prostrée, à fantasmer… « Si cette feuille prenait vie ? Que me dirait-elle ? Danserait-elle avec ce caillou ? » Il ne suffit que de ça pour que un jeu prenne vie, dictée par l’imagination profonde de la fillette. Cette personnalité reste telle quelle, car figée, Amandine ne grandit pas, et bien que le temps ait aiguisé sa ruse, lui ait donné de la maturité et du sens (car il en faut pour survivre…) on verra toujours la fillette sauter de pavé en pavé, dans les ruelles froides de la nuit, ignorant que cette apparition étrange, un fantôme d’enfant, est là pour attirer les imprudents dans un piège impardonnable.
Outre cela, Amandine est une penseuse accomplie. Ayant l’éternité devant elle, il lui est tout à fait possible de passer le temps qu’elle souhaite à réfléchir. Les grandes question existentielles -enfin, existentielles… C’est une existence, ça ?- elle y a de maintes fois réfléchi répondu avec plus ou moins d’exactitude, pour elle-même. Amandine aime la nature, et les choses simples. Attendre vingt minutes immobile pour qu’un oiseau nocturne saisisse la miette de pain posée à trois pas de là, et prendre le loisir de l’observer. Renverser la tête en arrière, et passer la nuit assise dans l’herbe à contempler la lune d’argent, les étoiles qui sont comme aiguilles d’argent croisées, scintillantes. Plonger un petit bateau en coque de noix dans un ruisseau, de nuit, qui produit un glouglou rassurant. Compter jusqu’à dix, sauter pour attraper quelque fruit abandonné à un arbre. Soupirer de sa solitude, se poser mille questions, assise sur un rocher. Ou même se cacher derrière une caisse, près d’une taverne, et compter toute la nuit combien d’imprudent, d’ivrognes ou de troubles-fêtes se font éjecter. Poursuivre les hérissons. Caresser la mousse.
C’est pas la belle vie, ça ?
On en a de la chance, quand on a treize ans, et l’éternité devant soi…

Style vestimentaire : Petite fille, ancien. Socquettes blanches dans des souliers noirs vernis, chemise noire ouvragée de dentelle, jupe noire plissée. Quelquefois, les couettes. De noir et de blanc. Ne la quitte jamais : une besace. (voir équipement)

Objet fétiche : Sa poupée de chiffon qui a résisté au temps. Elle s’appelle Amélie Mélo, a un sourire quelque peu effacé sur sa tête molle, raccommodée de maintes fois, rembourrée à la hâte. Souvenir d’une enfance lointaine….

Equipement : Tout est dans sa besace : sa poupée, une sucette, une canne à sucre, des feuilles de papier et un crayon, d’autres feuilles couvertes de dessins et poèmes. Un poignard en bronze. Un mouchoir en tissu. Elle porte au cou un collier d’or blanc.

Style de combat : La ruse et l’expérience lui ont appris que les petites filles sont des proies très appréciées des messieurs, d’où l’importance qu’elle porte à y ressembler. Tactique commune de chasse, qui marche depuis 116 ans : attendre en ville, dans une rue, tracer à la craie sur le pavé nocturne une marelle, sauter de case en case, jouer à la corde à sauter. Il y a toujours un moment où un pervers s’approche, un sourire de requin aux lèvres. Qui demande où on habite. Qui vous suit, dans le noir… Mauvaise idée, papa. Croque.
Hormis cela, Amandine n’a rarement eu à se battre, elle n’a eu recours que deux fois à son poignard et ce fut si confus qu’elle ignore comment elle s’y est prise, elle sait seulement qu’elle a misé sur son agilité et sa petite taille.

Particularité : Comme on a pu le voir, elle est extrêmement jeune…! C’est sur quoi elle va baser tout.

Talents : Ceux qu’elle aura développé durant son éducation de petite fille : chant, couture, danse, un peu piano… Oui c’est pas très utile mais bon des fois ça peut quand même sauver, qui sait ?

Histoire :

Le 16 mai 1878. Dans une maison douillette, du nord de la France, une mère accouche : il s’agit de Madeleine Mélidon. Son enfant, une fille, est baptisée Amandine. L’enfant, après avoir bien crié, agite ses petites menottes, et ainsi commence les premiers jours d’Amandine Mélidon.
La maison était située à Lille. En entrant dans le salon, en ouvrant un meuble, on trouvait un album rempli de lettres de félicitations à l’adresse de Mme. Mélidon. Quelques années plus tard, on pouvait admirer le portrait de la demoiselle, accroché dans la bibliothèque rose. Peint par un inconnu, un tableau avec peu de valeur. Pourtant, pourtant… En approchant, on pouvait voir, au fond des yeux de l’enfant, une lueur que le peintre avait su rendre à la perfection. C’est-ce que un visiteur contemplait, un beau jour. Plongé dans les yeux verts de l’enfant, se désintéressant des livres, l’invité était coupé du monde. Son regard parcourut la toile à la recherche de la signature du peintre, lorsqu’un ouragan noir lui tomba dessus. Sursautant, se retournant, secouant la tête, il ne tarda pas à voir… La petite Amandine écroulée de rire par terre. Amandine, les mêmes yeux du tableau, si rieurs ! Dans une petite robe noire ourlée de blanc, les petits souliers de cuir noir vernis, socquette blanches. Couettes sur la tête. Ca, une enfant ? Amandine grandit ainsi, au milieu de facéties, chouchoutée, sous une apparence de petite fille bien élevée.
À six ans, ses parents se mirent en tête de l’éduquer. Amandine apprit la couture, la broderie, le tricot, le chant, la danse, le latin, le français… Ses parents remarquèrent bien vite son attrait pour le chant plutôt que le reste. La couture ? Amandine était certes douée mais préférait nettement bouger. Les langues ? Cela ennuyait au plus haut point la fillette, de rester sur place pendant des heures à faire de la grammaire, apprendre des déclinaisons. Elle possédait une voix correcte, sans attrait particulier mais qu’elle savait manier.
A dix ans, Amandine était toujours une joueuse inconditionnelle, qui savourait plus que jamais les mille et un petits plaisirs de la vie, mais qui consacrait également une majeure partie de son temps à la lecture, pour laquelle elle s’était prise de passion, au chant, et pour une nouveauté dans sa vie : le théâtre. C’était qu’elle était douée… Alors, naturellement, par ses goûts réunis de la comédie et du chant, Amandine chanta à son premier opéra, à onze ans. Elle avait grandi en un ange maudit, une farceuse au caractère des plus sadiques, qui vous charmait de sa voix, de sa comédie, de ses simagrées qu’elle simulait à merveille.
Puis sa vie prit un tournant. Ou plutôt, l’ultime ligne droite.
Un soir, alors qu’elle avait treize ans, Amandine sautillait sur le pavé en chantant, tantôt jouant à la marelle, tantôt à la corde à sauter. Elle ne vit pas la nuit tomber, une nuit d’hiver. Celle qui s’abattait d’un coup sur la ville sur les coups de dix-sept heures. Amandine, dans le noir. La rue la séparant de chez elle lui semblait un gouffre. Elle fit un pas. Puis un deuxième. Et sentit un souffle sur sa nuque. Un souffle étonnamment froid, qui pétrifia sur place la jeune fille. La personne, car c’en était une, souffla dans son oreille :

« - Perdue ? »

Mots fatidiques. Mots désespérants. Pas perdue, coupée du monde ! Dans les griffes de l’homme à la voix rauques, qui se refermaient déjà autour de sa taille. La fillette se laissa faire, terrorisée. L’inconnu lui posa un délicat baiser dans le cou. Bizarrement, cela plût à Amandine. Et puis l’homme mordit Amandine, la figeant pour l’éternité à ses treize ans : chiffre de malheur ?

L’homme devint le « père » d’Amandine, son tuteur. L’enfant ne se posa pas de questions concernant sa famille et le monde mortel dont elle était définitivement coupée. D’ailleurs, le monde d’à côté lui convenait bien mieux. Désormais, son tuteur, nommé Henri Sanssont, perfectionnait son éducation suivant l’étiquette qui lui convenait, et faisait prendre part à sa novice aux réceptions merveilleuses et riches qu’il organisait dans son manoir. De temps en temps, Amandine chantait pour les invités d’honneur. Elle était gâtée, possédant sa propre chambre, sa bibliothèque personnelle emplie d’ouvrages de valeur, et deux humains personnels. En outre, elle possédait une liberté dont elle pouvait jouir comme bon lui semblait. Ainsi, Henri négligea de lui apprendre à chasser, insouciant des sombres évènements qui se préparaient, allant les plonger, lui et Amandine, dans une misère des plus sordides.
C’était en rentrant d’une promenade nocturne, nuit durant laquelle la pleine lune invitait à la flânerie. Au retour au manoir, tout était dévasté. Des chapelets suspendus un peu partout dans la maison. Les deux vampires n’en pouvaient plus de douleur, se précipitant en dehors de la maison, Henri finit sa « vie » tué par une balle en argent en plein cœur, à l’âge de 346 ans. Amandine, agile, petite et preste, put fuir. Elle commença une existence de misère… Mordant des vagabonds très peu souvent, vivant en haillons et cachée, elle avait le plus grand mal à ne pas se faire découvrir durant la journée. Elle ne pouvait pas s’éloigner de la civilisation, quand à s’approprier un humain, elle ne pouvait y penser. La survie s’améliora quelque peu lorsqu’elle rencontra Émilie, une vampire gitane, qui l’accueillit dans sa famille une trentaine d’années. Des années d’intimité, une relation gaiement féminine, deux copines. La vie était simple, la tâche de manger était ardue, mais à deux, cela amusait Amandine et Émilie. Les filles possédaient les mêmes centres d’intérêts : les choses simples, dont on ne pouvait profiter le jour. Souvent, elle s’offraient des excursions dans la nature, cheveux au vent et pieds nus, la légèreté les transportant.
Les vampiresses ne se contentaient pas de profiter pleinement de leurs années de joie et suspense. Elle voyageaient, cela leur permettant de ne pas se faire repérer et attraper par les humains. C’est ainsi qu’une nuit d’hiver, Émilie et Amandine vinrent à traverser une bourgade. Un village entier en deuil. Cause : une attaque de vampire, une vengeance entre villageois et les vampires qui durait depuis plus de cent ans. Cela fut fatal à l’amitié des jeunes filles : elle durent, par sécurité, se séparer et partir.

Voilà comment Amandine s’est retrouvée là.



Autre : En somme, la gamine débarque !


Dernière édition par le Mer 24 Jan - 0:03, édité 1 fois
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Thétis
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MessageSujet: Re: Amandine   Amandine EmptyMar 23 Jan - 23:45

Bienvenue ! ^.^

Ecoute, ton personnage est super en fillette, alors c'est accordé ! =) Edites ça correctement puis je te validerai. ^.^
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MessageSujet: Re: Amandine   Amandine EmptyMer 24 Jan - 0:04

Est-ce correct ainsi ?
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Thétis
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MessageSujet: Re: Amandine   Amandine EmptyMer 24 Jan - 0:21

C'est tout bon ! =)

Tu es validée ! ^.^ Bon jeu.
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MessageSujet: Re: Amandine   Amandine Empty

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