Nom : Spartas
Prénom : Cassandra
Sexe : Féminin.
Race : Humaine
Caste : Esclave
Fonction :esclave de Rachel (on s'est arrangés)
Age réel : 19 ans
Clan politique : -
Description physique :
Cassandra Possède une longue chevelure lisse et légère d’un gris nuancé. Ses yeux grandement expressifs sont trompeur car malgré la pureté de leur couleur, ils parviennent à masquer le mensonges de Cassandra, la rendant encore plus crédible. Cette chevelure descend jusqu'à ses hanches et quelques mèches plus courtes encadrent son visage pâle et fin. Elle a tout le temps en morceau de tissu blanchâtre dans les cheveux retenant une mèche du côté gauche. Il est rare qu’elle les attaches.
Elle est, dans l’ensemble, bien proportionnée. Sa silhouette est fine, un peu trop même. Cela est dut aux mauvais traitement qu’elle subissait, elle est très mince et n’a pas une force physique développée. Chacun de ses membres sont fins et agiles et donne une fluidité à ses mouvement et la dote donc d’une grâce particulière.
Ayant vécu en Russie, son pays d'origine, elle résiste bien aux intempéries que la neige et le froid profèrent. Sa peau est d'un blanc quasi spectrale et d'une finesse extrême, la rendant vulnérable à tous objets contendant. Malgré la sa fragilité certaine, elle garde tout de même un caractère qui lui attire beaucoup d'ennuis.
Elle utilise le plus souvent son physique et son expressivité pour rendre ses mensonges plus plausibles.
Description Mentale :
Cassandra est lunatique et aussi paradoxale. Il lui arrive souvent de tenir tête à certaine personne et l’instant d’après pliés sans rien dire, serai-ce l’instinct de survie ou un éclat de bon sens ? Nul ne le sait. Elle est donc très flexible, mais loin d’être stupide. Elle possède une grande intelligence et une mémoire photographique, ce qui compense sa faiblesse physique et morale. En effet elle est assez sensible, elle a du mal a accordé sa confiance aux gens. Elle sait pertinemment qu’elle s’attache rapidement à quelqu’un qu’elle apprécie, c’est pourquoi elle essaye d’éviter les contacts mais une vie seule est inimaginable pour elle.
Les psychiatres ont aussi distinguait une maladie mentale qui sévissait chez elle, rien de grave : la mythomanie. Elle est prédisposée à mentir, ment naturellement et très bien et c’est un besoin qu’elle a. Il lui est impossible de ne pas mentir à une personne qu’elle ne connaît pas ou qu’elle n’aime pas. Tous les sujets de conversation sont en proie à cette mythomanie, de son nom à une discussion philosophique en passant par de soit disant souvenirs.
Elle a un goût pour le gore et l'humour noir. Elle manie admirablement l'ironie et à un franc parlé quand il s'agit des impressions qu'elle à sur les gens, elle est loin d'être hypocrite.
Style vestimentaire :
Elle porte le plus souvent des vêtements gris ou noir de styles très différent les uns des autres, cela peut aller du débardeur glamour au tee-shirt manche longue colle roulé frigide.
Objet fétiche :
Elle possède un collier particulier, il est épais et en métal, un ras du cou, et au bous d’une petite chaîne se trouve deux grelots dorées, nul ne connais le sens particulier de ce collier, pas même sa propriétaire.
Equipement :
Rien en particulier à part son collier.
Style de combat :
Elle est rapide et vive, elle est agile mais aussi souple qu’un manche un balai pourrait l’être. La seule défense qu’elle a est minime : ses ongles pour griffer et ses dents pour mordre, c’est qui le plus souvent inutile. Elle ne sait pas se battre et, de toute façon, en à une sainte horreur. Elle déteste la violence et cède souvent quand elle est utilisée comme argument.
Particularité :
Elle a un accent Russe assez marqué et à du mal à lire certaine chose à cause de l'alphabet différent. Elle à tatouage code barre sur le haut du bras gauche.
Talents :
Comprend rapidement et à une mémoire photographique (n’oublie jamais ce qu’elle voit)
Histoire :
En Russie, durant l’âge d’or de la mafia, deux grandes familles se partageaient le pouvoir à Moscou et tentait de répandre leur influence en minimisant celui de l’autre. Afin de calmer l’impitoyable bataille qui sévissait, ils mirent une règle en place : Dans chacune des deux familles se trouvait une femme enceinte. La première de deux familles comptant un membre masculin dans leur foyer aurait le quartier de la ville disputé.
Il semblait que la première femme qui donnerait un enfant se trouver dans la famille Spartas, et c’est ainsi que dans une pièce de la grande demeure que naquit le futur malheur de la famille : une jeune fille, Lida Spartas la future Cassandra Spartas. Les femmes ne comptaient pas dans le pacte et une naissance d’un garçon venait d’être annoncée, venant de la famille rivale. Les parents de la malheureuse nouveau-né furent sauvagement assassiné.
Le fait qu’une fille sois né avait provoqué la ruine de la famille. Lida fût donc élevé dans la douleur, elle grandit dans une haine ambiante qui lui était adressé. Elle fût battu et séquestrer et ainsi de suite durant onze longues années.
Suite à la dissolution quasi-totale de la mafia, Lida fût placé dans un foyer avec un suivit psychologique. Elle ne parlait pas, ne divulgua pas une information sur elle, pas même son nom. Toutes informations la concernent avait brûlés avec la maison des mafieux. C’est durant cette période que l’on apprit qu’elle était atteinte du « syndrome de cassandre » c’est à dire de mythomanie. Cassandre, ce nom l’inspira et prétendit s’appelait « Cassandra », prénom qu’elle conserve encore maintenant.
Suite à cela, elle commença à s’ouvrir aux autres, mais sans pour autant parler d’elle et de son passé. Elle commença à s’attacher à ses gens, fus scolarisé et rattrapa peu à peu la scolarité qu’elle aurait dû avoir. Elle s’épanouie rapidement et était promis à un avenir certain, rien de passionnent mais qui lui permettrait de vivre sa vie sans histoires.
Elle devait aller à présent étudier à l’étranger, elle ne se doutait pas encore qu’elle avait vu pour la dernière ces personnes avec qui elle avait grandit, pour la dernière fois le ciel de sa chère Russie. Mais la neige, elle n’allai pas en manquer, ça c’est sure.
Elle avait pris successivement divers moyens de transports, c’était long. Elle était à présent dans un train qui aller l’emmener dans une gare où elle en prendrait un autre. Il lui restait encore 4 heures de voyages jusqu'à ladite garde. Tandis qu’elle s’assoupissait le train dérailla, c’est tout ce qu’elle sue, les raisons lui sont encore inconnus. Elle se trouvait dans le compartiment de queue, ce n’était pas un de ces trains spécial fait pour transporter des passagers, ils étaient 4 sans compter le personnel et, de toute ces personnes, elle fût la seule à survivre.
Elle s’extirpa du wagon laborieusement. Il n’y avait que de la neige, et des rails. Il était irresponsable de suivre les rails, les gares sont bien trop loin, elle serait morte de froid avant. Elle avait l’habitude du froid, mais quand elle avait des vêtements adéquats. Elle avait juste un pull à colle roulé, totalement insuffisant. Elle aperçut, au loin, des choses caractérisant une vie probable. Etait-ce un mirage ? Ce qui était sure c’est que c’était sa seule piste et que la nuit tombait. Elle décida donc d’aller vers ce qu’elle pensait être son seul espoir de survie. Elle marcha longtemps. Elle avait faim, soif, froid, mal aux jambes et était épuisée. Elle espéré, cru pouvoir s’en sortir mais cela ce passa autrement, elle perdit connaissance, dans la neige, seule, la nuit était tombée.
Elle battit des paupières plusieurs fois, éblouie par la lumière artificiel. Elle pencha la tête vers la droite, elle ne vit que des barres verticales et ne chercha pas plus loin durant quelques minutes, le temps de recouvrer un minimum ses esprits. Il faisait moins froid, beaucoup moins mais elle avait d’atroce douleur dans les jambes et le flan, suite à l’accident et à la marche forcée. Elle ne put se redresser et replongea dans les bras de Morphée tout en étant, sans le savoir, dans une cage pendant qu’on lui cherché un acheteur potentiel.
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