Nom : Dichvasgori.
Prénom : Vanina.
Sexe : Féminin.
Race : Humaine.
Caste : Bohémienne.
Fonction : Je ne pense pas qu’elle en ait une.
Age réel : 21 ans.
Clan politique : Apolitique ? ^_^
Description physique :
Vanina possède des cheveux longs d’une blondeur pâle et luminescente, ce qui offre l’impression en sa présence qu’une douce lueur émane depuis sa personne. Sa coiffure tombe juste au bas de son buste et est soignée et ravissante. Elle est pourvue de grands yeux d’un brun si clair qu’on les croirait d’or lorsqu’un eclairage flamboyant est de mise. De connivence avec ses fins sourcils, on en tire un regard qui, de par sa profondeur, nous noie de gentillesse, tant on y perds pied. En contrepartie, Vanina a de petites et fines lèvres qui de rares fois dessinent un sourire aux qualités plutôt mélancolique et mignon que charmant et enjoleur, et de ce fait, il n’echappe pas d’éveiller sympathie et compassion au sein de son destinataire. Son visage aux traits simples et fins témoigne d’un paraître élégant et sincère.
Vanina affiche une physionomie élancée, elle mesure en effet 1m74 pour un poids de 57 kg. Son buste, de proportion correcte pour sa taille, affirme une poitrine avantageuse sans pour autant s’entacher dans le grotesque de la proéminence.
Vanina, au-delà de sa situation miséreuse, n’est pas une personne belle mais plutot élégante et qui a su préserver un certain raffinement, ce qui suscite un rapport protecteur auprès des hommes et jalousie voire de la haine auprès de quelques femmes impulsives. Mais globalement, son apparition invoque un certain respect ou évoque un élan de sympathie ou de compassion.
Description Mentale :
Vanina est une personne bienveillante et compatissante pour tout individu que ce soit. Peut-etre est-ce ici sa fibre maternelle qui s’opère à son insu, ou c’est alors son caratère fondamentale ? Peu importe, elle est d’une gentillesse quasi-constant. Son origine lui a inculqué l’effacement de sa personne et l’obeissance pour le bon soin de sa survie. Cet effacement est tel qu’elle est prete à effectuer tout par servitude, dans le respect et l’effort absolu du devoir, mais sans pour autant sacrifier ses sentiments. Dans ces cas-là, elle peut se montrer très stoïque. Elle connaît à la fois le fait d’etre bohémienne et esclavage et par conséquent son esprit est affuté à la culture du genre humain et vampirique.
A 21 ans, la maturité de Vanina est étonnante. De par la culture qu’elle a reçu, elle peut faire une bonne conseillère. Lors de moments critiques, elle n'hésitera pas cependant révéler sa franchise quant à sa perception de la réalité, des jugements qui peuvent la mettre en péril mais qui ne trahirait pas la sincérité sentiments, et c'est pour cette pureté sans retenue qu'elle trouve aux yeux de certains un respect réciproque.
C'est en cotoyant les mondanités vampiriques que Vanina sous la tutelle de Nikita a pu prendre connaissances des bienséances de la cour mais aussi des machiaveliques complots qui peuvent salir les esprits. Elle a dû rapidement développer sa perspicacité pour ne pas se faire fourvoyer à de vils fins par des individus peu enclin à la noblesse. Depuis, elle analyse avec discernement avec quel position adopter face à tel individu pour toujours préserver une relation respectueuse.
Pour ce qui est de l'exercice des Tarots, il en va tout autrement. Loin sont les bassesses de l'intelligence à discerner les interets de chacun, place à un climat de confiance et d'engagement dans des prédictions agencées par la nécéssité de la main et du coeur.
Quant à son coeur, il a su inscrire les bons loisirs d'un amour aujourd'hui consumé. Elle ne le renie point, mais Vanina a su tourner la page sans trahir la noblesse des émotions passés. Elle reste libre du coeur, mais ne saurait néanmoins s'enticher d'une relation sans subtilités.
Style vestimentaire : Vanina revête souvent une longue robe vermillon, qui se tient par deux fines bandoulière aux épaules, ceinturée à la taille d’un ruban noir et qui exerce sur le bas de soyeux plis. Dessous, elle porte une chemisier blanc aux manches mi-longues. La plupart du temps sa coiffure porte un accessoire. Elle peut porter un chal vert mousse sur ses épaules lorsqu’il neige.
Equipement : 1 poignard. Porte toujours les Tarots de sa mère.
Style de combat :…Vanina étant une femme plutot introvertie, elle ne se bat pas, ou du moins ne s’est jamais battu jusque là. Cependant, on lui a ordonné de s’affubler d’un petit poignard qu’elle cache dans ses vetements, mais on ne pourrait même en dire qu’elle est novice dans l’art du maniement du poignard tellement c’est éloigné de sa pratique. En revanche elle arrive très bien à s’inscrire dans une relation qui lui donne faveur.
Talents : Taromancienne en puissance. Analyse psychologique.
Histoire :
Vanina est issue d’une famille de bohémiens. Elle eut des parents très pauvres et, de ce fait, elle fut leur seule enfant. Elle garde d’eux une image de parents qui la chérissaient affectueusement, et c’est surement par eux qu’elle conserva cette valeur de compassion et cette tradition maternelle des Tarots. Malheusement, bien qu’elle en préserve un souvenir morale positif, ses parents sont nés dans le pire des milieux. Ils devaient souvent fuir leur nouveaux logis et se cacher dans les bas-fonds insalubres et enneigés pour eviter que leur jugulaire ne rencontre les crocs d’une troupe de vampires. Mais vînt où le jour de la rage de vivre dépassa celui de survivre pour rejoindre celui de la mort. Effectivement, désespéré par les fuites inutiles, son père décidat de se lever face à un vampire solitaire pour sauvegarder la chaleur de son foyer. Mais naturellement, de par sa force surpuissante, le vampire à l’aide de ses ongles fit gicler le sang des parents de Vanina avec un flegme de tout ce qu’il y a de plus noble. Durant quelques minutes, dans l’ambiance tamisée de la pièce éclairée au feu de cheminée, le vampire et la petite fille se firent face dans un silence lourd d’inquietude. Le vampire, la bouche ensanglantée, hésitait à s’en prendre à la fillette malgré la loi qui l’interdisait. Mais plus encore, il était concerné par le regard qu’elle lui adressait. Elle se tenait debout, jambe quelque peu tremblante, poupée plaquée contre son buste avec ses deux bras,face à la créature au semblant d’humain. Une posture d’effroi mélée à un regard incriminant, fusillant de questionnement(et quelque part d’étonnement) et de pitié pour un être intelligent mais qui devait se réduire à une pratique si bestial. Devant cette pureté, le vampire se rechigna à s’abreuver et décidat de quitter les lieux. Mais à sa surprise, il fut retenu par la main, Vanina la suppliait, genoux au sol de la prendre sous son aile.
- S’il vous plait, je vous l’implore…Je me retrouve à présent seule, sans foyer et démunie... Pour le prix de mes parents et de mon absolu dévouement, auriez vous le cœur à…m’adopter ?
Le vampire fronçat les soucils et ses longues dents se mirent à luire quand il desserra la machoire : il se sentait insulté. Il serra son poing autour du cou de la fillette, la rage le reprit. Seuls les crépitements du feu et les ébruitements buccaux de la petite, dont les jambes se débattaient dans le vent sous l’effet de l’etranglement, interrompaient le silence assassin. Vanina posa ses petites mains sur le poignet féroce du vampire avant de s’évanouir.
Pris au dépourvu, le vampire fut pris de désarroi : que veniait il de faire ?
Inquiet que les autorités le trouve dans une telle situation, il prit la fillette et la ramena chez elle.
A son reveil, Vanina se retrouva dans une chambre et un manoir sompteuse mais néamoins de taille moyenne. Le vampire se révéla être un noble jeune( dans les 130 ans pas plus) de petite réputation et décidat de prendre Vanina comme esclave. Il se disait que dans quelques années sous son entretien, le sang de Vanina serait un très bon nectar vampirique. Leur relation ne se limitait qu’au cadre du service. Il l’entretenait et en echange elle le servait et lui offrait quelques délices charnels, ceci dès le premier soir où elle dormit là-bas et donc très jeune. Au début, elle ne pouvait pas quitter le manoir ou se déplacer sans son maitre à ses cotés, mais avec le temps leur relation évolua : le vampire eut plus de considération à l’egard de Vanina et se fit moins froid quand il se rendit compte du respect que témoignait cette dernière en sa faveur. Depuis leur première rencontre, elle ne le respectait pas comme une servante habituelle, qui se soumet à un rapport de domination, mais elle le respectait comme une personne, elle le mettait sur le meme plan que toutes les personnes qu’elle pouvait cotoyer, le respecter autant que ses semblables et non comme une être dominant et terrifiant. Alors il lui laissa acceder à sa bibliothèque et la laissa plus libre dans ses déplacements. L’esprit de Vanina s’enrichisa de culture et elle commença à s’entretenir un peu plus longuement avec le vampire. Il developpait des points communs sur des sujets contrairement à d’autres où leur position était différentes. La passion de la discussion s’amplifia et les premiers rires s’échangèrent. Le vampire pris une deuxieme esclave pour passer plus de temps avec Vanina. Et bientôt, il l’amenait à certaines festivités vampiriques auxquelles s’exhibaient certaines célibrités de la communauté vampirique. Tout allait tendre vers le mieux quand Nikita(le nom du vampire) fut affecté par le terrible virus qui décimait les vampires lorsqu’ils revinrent d’une soirée.
Le desarroi de Nikita se fit sentir dans tout le manoir. Lui qui descendait d’une ancienne famille de noble, devoir se nourrir de ses semblables c’était comme etre encore plus bête qu’une bête…inacceptable ! Désoeuvré, il tentait de lutter contre son instinct en essayant de rester cloitrer dans son manoir. Son maitre occupé par son désir de resistance, l’esclave attitrée, profitant de l’occasion, s’enfuit malgré le discours de Vanina.
Par une nuit de pleine lune, Nikita partit en bondissant de sa fenetre à la recherche d’un des siens, cultivant un mince espoir de préserver sa conscience de la folie qui le gagnait. A son retour au manoir éteint de toute part, dans le hall éclairé par la seule lueur bleutée de la nuit, l’attendait seule Vanina debout au milieu de la grande salle habillé de milles peintures, de tapis et de banières. Quittant l’antre de l’entrée, il compris, il su et il se dirigea sans hésitation vers elle pour l’embrasser fougueusement d’un amour volontaire et reciproque.
Il passa ses derniers jours auprès d’elle, à profiter de cette pureté qui s’était enfin de compte occupé de lui depuis toutes ses années jusqu’à tous deux cultiver une relation d’interdépendance. Et c’est encore une fois de plus l’affreuse malédiction de la soif du sang qu’allait scéllé tragiquement une période de la vie de Vanina, la libéra cette homme qu’elle avait apprit à aimer et qu’allait devoir à présent à désapprendre. Nikita mourra en cajolant Vanina, la neige venant comémomrer le défunt. Quelques jours plus tard, un ami de Nikita retouva le manoir vide de présence, seul le corps de Nikita les yeux fermés et allongé dans son lit sous son plus beau costume habitait les lieux. Comme le présageait Vanina, le manoir fut remis en vente, sa parole n’étant qu’aux yeux de la communauté vampirique équivalent à celle d’un paquet de chair délicieusement sanguignolante.
Cela fait maintenant 2 ans que Vanina a rejoint les siens, elle s’occupe à présent de la suvie d’un groupe d’enfants orphelins.
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