Histoire

-Il fait nuit, tes pas résonnent dans le silence de la brume,
Tes beaux yeux emplis de larmes brillent par les lumières de la lune
Alors que les monstres d'esprit s'éveillent, ton chagrin n'est point amène
Vois tout ces yeux, vois la lune qui dans ce triste chagrin t'emmène !

Oui prends garde, il rôde déjà autour de toi, attendant son heure !
Rebrousse chemin, ne soit pas l'amante de plus, l'amante de la froideur !
Il guette, il rôde, jamais las, jamais fatigué, éternel insatiable !
Tu es un met de choix, il n'y a plus doux crime que vierge, géniale !

Mais drame!Il vient de sourire et de son doux regard, te fait docile !
Il s'approche le malin, ses lèvres sont si attirantes, péché de luxure débuté !
Ton parfum enivre ses narines pendant que ses mains t'épousent, habile !
Ton péché va consommer ce triste chagrin et d'une autre âme il s'est encombré.

Douce fille, tu vas nous quitter, douce fille, triste chagrin qu'est l'amour.
Pauvres enfants qui m'écoutez, voici l'amante éplorée à jamais souillée !
Pauvres enfants ne laissez le chagrin diriger vos pas vers cette fin tragique.
Il n'y a pire mort que l'amour d'un inconnu, inconnu mystique.

Voilà ma fin, cette jeune enfant séduite dans la forêt des brumes,
Trouva en l'inconnu la douce chaleur de l'amant attendrit
Mais aussi la douce délivrance de notre amante à tous,
La si belle, si tentante amante à la quelle personne ne résiste qu'est la faucheuse.

Du plus droit des hommes au plus vicieux, femmes et enfants
Elle nous prend tous contre son sein et de ses douces lèvres nous enchante,
Personne ne la repousse, tous l'attende, car elle est habile et vous emporte au moment dit !
Jamais en retard, jamais en avance toujours à l'heure et au lieu dit !



Le conteur fini le poème, chacun l’applaudissaient avec ferveur, même le seigneur Raphaël apprécia et il est donc convenable d’aller dans le même sens que lui, c’est sans doute pour cette raison que le patron de l’auberge alla jusqu’à proposer à notre compteur une chambre pour la nuit ! Mais dans cette petite joie populaire, 2 personnes ne prêtaient guère attention aux autres…

« -Comme ça tu te crois suffisamment importante pour que je demande à ton père de me donner ta main ? Mais ma pauvre fille, tu n’es qu’une petite histoire dans ma vie ! Je n’ai jamais eu l’intention de t’épouser !
-Mais ! Mais tout les mots que tu me disais avec tendresse !
-Sottise pour réchauffer ton cœur !
-Mais ! Mais cette bague ! »

Dit elle en levant sa bague devant les yeux de son compagnon, elle tremblait, la rage montait de plus en plus en elle, comment l’homme qu’elle aimait tant, comment celui qu’elle aime depuis sa tendre enfance, comment lui peut il agire ainsi ? Comment peut il l’abandonner ainsi ? Elle l’aime au plus profond d’elle, chaque une de ses pensées de puis le premier jour qu’elle l’avait vu étaient tournées vers lui ! Comment pouvait il après tout ce qu’il lui avait fait miroiter devant les yeux la laisser seule ?

« -Une bague que j’avais trouvé à terre, elle n’a même pas de valeur, à peine une piécette.
-Je….je croyais que tu m’aimais !
-Oh ! Mais je t’aimais ! Je t’aimais le temps que ton père avait de l’argent, son commerce ne fait plus d'argent, comment pourrais-je tirer profit de ta dote ? »

Et il conclu sa tirade par un rire mauvais, cynique et moqueur, il se jouait d’elle ! Lui qui avait si subtilement glisser les mots qui chauffe l’âme et le cœur, donne à l’esprit de beaux rêves tous vêtus de « nous », tous remplis d’images de ballades en couples, elle avait déjà songer aux noms de leurs enfants ! Elle s’imaginait déjà, comme le faisait sa mère, assise dans un fauteuil, surveillant une ou 2 jeunes têtes blondes. Comment se pouvait il que si rapidement tout ce qu’elle rêvait depuis si longtemps tombent ainsi en poussière ? Pourquoi elle ? Pourquoi la vie lui jouait ainsi ce perfide tour ? Elle questionnait Dieu comme le font tout cœur en peine, pourquoi ? Pourquoi moi ? Trop de questions sans réponses, trop de peines pour ce petit cœur fracassé par 4 petits mots : Je ne t’aime pas ! Elle avait cru avoir mal attendu, pourtant il le lui avait répété et à chaque fois le sourire de son tendre apollon s’élargissait à mesure que son cœur se fracturait.

Ne pouvant supporter cela, Rose pleine de colère se leva, envoyant sa chaise à terre et sa main sur le visage de son amour perdu ! Et elle s’enfuit. Pendant que le rire de cette homme résonnait dans son esprit, ce fut la dernière fois qu’elle entendit sa voix !

Furieuse et pleine de tristesse, elle s’enfuit vers la forêt, elle ne s’en rendait pas vraiment compte, car ses yeux embués de larmes ne lui donnaient pas le loisir de réellement choisir sa route. Elle alla tout droit, pour mettre autant d’écarts qu’il lui était possible entre elle et la source de sa douleur. Elle s’enfonçait ainsi dans le cœur même de la forêt. Sans doute ne le vit elle pas, sans doute ses sanglots et la colère lui brouillèrent le son, pourtant il la suivait !
La forêt se couvrait d’un léger manteau de brume, couvrant ses pieds jusqu’aux chevilles.Son chagrin s’apaisa un peu. Elle avait enfin comprit, la source de sa douleur ne s’éloignerait pas même si elle traverserait la mer, non la source est au même endroit que sa colère en elle ! Elle dû l’accepter et se jura de faire plus attention la prochaine fois, pourtant Sabine, sa meilleur amie, l'avait pourtant prévenu, mais Rose se croyait plus maligne plus forte et bien entendu l’amour pour son chère et tendre l’aveuglait au plus haut point !

Elle se laissa choire au milieu de la petite clairière, cœur de cette forêt brumeuse. Ses larmes pourtant ne voulaient cesser. Les sanglots, eux, se calmaient peu à peu, il n’eut bientôt plus que ses larmes silencieuses, perles dans cette nuit mal éclairée par la lune et une bise froide qui la faisait trembloter. Pourtant dans ce silence, les habitants de cette forêt n’étaient pas tous endormis. Des buissons par-ci par-là tenait la jeune fille en proie aux monstres de son imaginations. Elle faisait son possible pour se rassurer, mais seule, tremblant de froid et le cœur brisé, il est dur de rester rationnelle et de ne pas retomber en enfance !

« C’est comme dans le poème que le compteur nous à raconté, oui ça n’est qu’un compte »

Elle se répéta cette phrase plusieurs fois de suite pour elle même, tentant ainsi de rassurer sa petite personne. Pourtant quelque chose en elle voulait la ramener à sa petite enfance, certes loin des soucis du cœur, mais non des peur absurdes de l’esprit…

« -Il n’est pas prudent de se balader toute seule la nuit dans la forêt »

Rose sursauta, en un bond elle était débout! Les poings serrés le long de son corps. Elle tournait la tête à l’allure typique des craintifs, s’attendant à voir le diable surgir de n’importe où, à qui appartenait cette voix ? Où se trouve t’elle ? Pourquoi reste t’il caché ? Et que diable pourquoi voulait elle à ce point voir la personne qui possède cette voix ?Elle devrait se sauver, courir à toutes jambes, sans regarder dans son dos, pourtant elle reste là droite, affolée !

« Tu devrais rentrer chez toi ma petite, les loups sont des animaux nocturnes »

A nouveau cette voix, encore plus…envoûtante ! Oui c’était ça, voilà pourquoi elle ne voulait partir, elle était envoûtée par cette voix douce et chaude, à l’instant même où elle entendait la voix, elle avait l’impression qu’elle était toute proche, presque dans son dos et qu'un courant d’air chaud passait sur sa nuque.

« Allons cours petite, si non le grand méchant loup va t’attraper ! »

La voix avait changée, glaciale et moqueuse, elle sentit un contact dans son dos, elle se retourna mais rien ! Et ce fut comme-ci elle venait de sortir de ce rêve étrange où l’on veut courir, mais que l’on ne le peut pas ! Et elle courut la petite, prenant le chemin inverse à toute vitesse, priant qu’un caillou ne la fasse tomber. Elle s’arrêta hors d’haleine, regardant partout comme un animal chassé par un carnassier implacable ! Un froissement dans les buissons, Rose est paralysée, mais ce n’est qu’une biche qui en sort. Son cœur bat la chamade, son souffle est court et elle n’arrive pas à reprendre un rythme respiratoire et cardiaque normale. Elle regarde la route et tourne la tête vers la biche…

La biche ?Il n’y a plus de biche ! Elle est partie, rien d’anormale, mais alors qu’elle est ce bruit ? On dirait un animale, seulement les bruis sont si lourds et pourtant si rapide, comme si un loup courait mais qu’il avait la corpulence d’un ours, c’est impossible ! Un…un cheval peut il faire ces genres de bruits ? Mais oui c’est ça il tire sans doute une calèche, où quelque chose comme-ça oui ça ne peut être que ça ! Mais et cette homme…enfin cette voix, qu’était-ce alors ?

Plus calme, Rose se retourna pour rentrer chez elle, seulement elle ne vit pas la route,une grande tache grise-sombre et des crocs blancs et humides ! Rose cria, tomba au sol et ne bougea plus…

Bruits de draps froissés, petits gémissements à l’allure de grognements et la respiration étouffée, voilà à quoi j’ai toujours droit quand j’émerge de ma torpeur, j’ai envie de paresser, de pouvoir rêver encore un peu à une vie de château, où je pourrai dormir autant qu’il me plait dans les bras de mon roi…Oui tout cela est très beau, mais c’est sans compter sur le faite que mon père n’est pas riche, que le seigneur Raphaël avait les femmes qu’il voulait d’un simple claquement de doigt …

Le coq du village pousse son cris, mon père râle comme toujours et je peux entendre le père de Rose s’emporter une fois de plus sur comme il le dit si bien « Maudit coq à la noix, si je t’attrape tu finiras dans mon estomac, tu serviras enfin à quelque chose ! »

Oui c’est toujours ainsi mes réveils et je ne sais pas si je serais prête à changer de vie, après tout ma vie serait elle plus rose par mis les grands tableaux et les paillettes d’or ?…En parlant de rose, où est Rose ? Habituellement elle passe la tête par la fenêtre pour me saluer ! Bah elle doit sans doute dormire encore, je l’ai vue hier avec son petit ami, elle a du prolonger la soirée encore un peu…

-« Rose ? Rose ? »

Tiens voilà la mère de mon amie qui l’appelle…

« ROSE ?!? »

Je sursaute, pourquoi tant d’énervement dans sa voix ? Des bruits de pas précipités proviennent de la cour commune à nos 2 maisons. La porte d’entré est ouverte à la volée et on toque à ma porte.

« Sabine ? Est-ce que Rose est avec toi ?
-Non pourquoi me demandez vous cela ?
Elle….Elle n’est pas rentrée cette nuit ! »

J’entends dans sa voix une panique mal cachée et je dois avoué que moi même j’étais inquiète, cela ne ressemble pas Rose de faire ce genre d’escapade, même pour un homme, aussi amoureuse soit elle ! Non il…il a dû arriver quelque chose de grave ! Sans même nous le dire, nous nous étions tous préparés pour partir à sa recherche, allant en premier lieux chez son petit amie et il nous répondu, que la dernière fois qu’il l’avait vu c’était hier, quand il avait rompus. Ce gredin ne sait pas la chance qu’il a, si le père de Rose ne savait pas se contrôler, je suis sûr qu’il aurait reçu une rossée mémorable !

Très vite ce fut tout le village qui chercha Rose et quand il s’averra qu’il n’y avait plus que la forêt comme lieux de fouilles, nous prirent les chiens. Et s'en suivit une longue battue, quand nous la trouvâmes. Elle était là allongée sur le sol. Sa mère en pleur à côté, pendant que son père hurlait à l’injustice. J’ai failli tourné de l’œil en voyant son corps! Mon cœur se serrait de plus en plus, et l’angoisse et la peur de la mort m’envahissait. Elle qui était une jeune fille magnifique, elle qui était plein d’entrain avait la gorge sectionnée de façon grossière, comme si un prédateur l’avait mordu directement à la gorge, pourtant le trait n’avait rien à voir avec une morsure. Elle portait les lambeaux de sa robe, lambeaux qui ne couvraient que son intimité et pour cause son ventre était ouvert, de cette façon toute aussi grossière, mais pire, il n’y restait presque plus rien ! La poitrine était laminée, le sang avait eu le temps de durcir au sol et c’est dans un bruit épouvantable, que son corps fut arraché au sol.

Je faillit à nouveau défaillire, mais un homme m’avait rattrapé juste à temps ; non ce n’est pas possible ! Le sieur Raphaël était déjà là ! comment avait il pu être prévenu aussi vite ? Et par qui ? J’avais beau regardé, tout le village était présent !

« Pauvre enfant »

Tous prirent alors conscience de sa présence, l’homme s’avança vers ses parents et leur assura que ce crime ne serait pas impuni. Il se tourna vers les hommes du village, Raphaël était grand, élancé, son visage est constitué de traits fins, je me souvins que par moment je croyais voir son portrait tellement ses traits sont dessiné avec précision ! Ses yeux sont d’un doré fondu, ils sont envoûtants cela est indéniable. Ses cils plus foncé mettant en valeur ses yeux, leur donnant plus d’attraction ainsi qu’une légère poche sous chaque œil accentuant encore l’effet doré de ses yeux tout comme ses sourcilles noires et longs accompagnent chaque mimiques et expressions de son visage avec une touche masculine rassurante. Ses lèvres sont des plus attirantes, possédants une couleur plus mordorées que ses yeux.

Je...je ne sais pourquoi mais j’ai l’impression de me retrouvé devant un ange, tellement il est beau, même dans ce moment si dramatique, son charisme, arrive à m’ensorceler, il a une beauté d’un autre monde, à la fois bestiale et angélique. Et il arrive à provoqué un sentiment égale avec les hommes, chacun son fière de vivre dans la même contrée que lui et c’est donc logique que quand il finit son discours appelant à la battue, que tous crièrent vengeance, mais pour chasser quel animal ? Un ours ? Un loup ? Le médecin juste derrière le seigneur nous rappela qu’il fallait d’abord mettre à jour ce qui l’avait attaqué ! C’est là, que le compteur apparu à nouveau, surgissant de nulle part.

« Il existe peu d’animaux dans cette forêt capable de faire ce genre de blessures. J’ai beaucoup voyager et sachez le, il n’y a qu’une espèce capable d’un telle massacre, il a déjà frappé en France, on le nomme la bête du Gévaudan! D’autre le ou plus tôt les nommes lupins et enfin loup-garou ! »

Beaucoup le dévisagèrent, comment cette homme pouvait il parler de compte alors qu’il avait en face de lui un cadavre bien réel ? Je regarda ce compteur étrange, était il fou ? La rage montait en moi, comme mes larmes, mais ce fut le seigneur Raphaël qui réagit le premier, c’est étrange, mais dans ces yeux, je vis une lueur tout autre que c’elle de la bienveillance, l’espace d’un instant, je vis la mort ! Oui j’en suis sûr, j’en fus même glacée jusqu’aux os ! Ce ne sont que les dires d’un compteur, à force il a dû tomber dans la croyance à ses propres histoires, je ne vois pas pourquoi il se met dans un état pareille.

« Dites moi mon brave, le poème que vous nous avez récitez hier est bien similaire à la mort de cette jeune fille, la tristesse du cœur, la forêt et la mort »

Tous se turent et regardèrent alors le compteur avec froideur et je dois avouer que moi aussi, Raphaël venait de marqué un point ! Tous ce qu’il a raconté dans son poème est tristement similaire à la mort de Rose ! Aurait il orchestré tout ceci ? Mais dans qu ‘elle bute ?

« -En effet mon seigneur, mais c’est un vieux poème et je doute avoir la force suffisante pour malmener de la sorte une jeune femme en pleine forme, alors que moi je suis vieux et avec une canne »,

Le compteur nous souri et reparti. Et tout le monde fit de même, Pauvre Rose tu n’a pas eu beaucoup de chance,





Voilà 1 semaine que Rose est morte et malheureusement les attaques elles ne se sont pas arrêtées ! Toutes des femmes, toutes ont subit le même sort, sauf une qui à su s’échapper miraculeusement, elle s’en est sortie avec le dos lacérés et une grosse entaille au ventre, Tous ce qu’elle à put nous dire, c’est qu’elle a vu des yeux semblables aux loups et que ce qui l’a attaqué était une espèce inconnue, mais très rapide et imposante, une sorte de loup en plus grand, mais ce n’était pas vraiment un loup, une grosse masse sombre de touffes de poil.

Dans le village, malgré nous on commence à parler de la bête du Gévaudan, bien entendu nous trouvons cela absurde, mais c’est la seule trace que nous avons d’elle, pourtant cette bête a été tuée et on a pus faire un tracé de son corps. Notre seigneur a fait renforcé les patrouilles pour chercher la bête, pourtant jusqu’à présent elles n’ont trouvées que les corps des victimes,
La tension monte de plus en plus chez nous et je commence à craindre la nuit, je ne m’éloigne jamais de la maison, trop peur d’une attaque.

Et dehors j’y suis en ce moment même, je coupe du bois pour la cheminée, la nuit est là elle aussi, j’ai à mes côtés notre chien de berger, une bête robuste, suffisante pour éloigné les loups des troupeaux, c’est idiot mais l’avoir avec moi me rassure. Allez il ne reste plus qu’une…

Je relève la tête, mon corps tremble sans que je sache pourquoi ! Mon chien, est lui sur ses pattes, le dos voûté et les crocs dehors ! Il,,,il y a quelque chose derrière le buisson et la peur monte en moi, je ne comprend pas pourquoi, il…Il n’y a rien de dangereux, aucun animal sauvage n’ose s’aventurer dans le village, trop d’humain, trop de lumière, il ne peut s’agir que d’un lapin, ou un autre rongeur, oui c’est ça, ça ne peut qu’être ça !

Le buisson continue d’émettre se bruit étrange, puis plus rien, Balto mon chien ne grogne plus, je me tourne vers lui, il est toujours là, mais il…sa queue est rabattue en bas et il tremble, à nouveau un bruit, je n’ai pas le temps de bouger, Balto sauta dans mon dos et je l’entendis glapire et un autre son bien plus horrible! Terrorisée, je m’enfuis dans la maison, attrapant la hache et ferma la porte, Je m’affaissa contre la porte en larmes. Derrière, je pouvais entendre, mon chien grogné puis hurler de douleur à nouveau et ce bruit horrible, celui de la mort, de la chaire qui s’ouvre, du râle que pousse le mourant et le son lourd des pas de la bête ! Mon père accouru, il ne me demanda rien, il tenait dans sa main sa carabine, il s’assura juste que je n’étais pas blessée et pointa l’arme sur la porte, je me cacha derrière lui, tenant fermement la hache. Quoi que soit cette chose, elle ne pourra entrer chez nous, le vacarme qu’elle à fait va forcément attirer nos voisins, c’est la seule chance de notre vie, la communauté.

Je sursaute, la porte est presque sortie de ses gongs ! Quelque chose de lourds tombe sur le sol et la porte crisse face à la charge de l’animal, mais elle tien bon ! La terreur est ancrée au plus profond de moi, cette bête nous aura, elle en a les moyens ! Elle va tous nous tués, nous attrapant les uns après l’autre ! Mon père ne tremble pas d’un pouce, comme-ci il n’avait pas peur, son regard est déterminé, moi je n’aurais même pas la force de combattre une misérable mouche !

Et maintenant le silence, lourd et pesant, désagréable et morbide, est elle partie ? Cherche t’elle un nouvel angle d’attaque ?

vous en pensez quoi(je n'ai pas fini)

J'aime bien aussi, mais ça serait plus agréable à lire si certaines de tes phrases étaient moins longues. Pense à te relire, aussi, j'ai noté quand même plusieurs fautes d'orthographe, mais rien de catastrophique.

Pas mal, pas mal...



Moi j'ai relevé des fautes de syntaxe et ca c'est pas beau... C'est
dommage vu que ca casse le rythme de lecture. (l'orthographe ca me
passe au dessus de la tete)

oui je vais me relire j'ai jusqu'au 27 janvier de toute manière^^

Et merci pour les compliments