Mica Avdei

Nom : Avdei
Prénom : Mikhäil
Surnom : Mike, Mica
Sexe : Masculin
Race : Humain
Caste : Rebelle
Fonction : Humain rebelle
Age réel : 25 ans

Description physique : Mike a un physique particulier, très androgyne, il possède comme ses trois soeurs, toutes les particularités physiques de sa mère. Le jeune homme âgé de 25 ans mesure dans les 1m75, taille pas très grande mais raisonnable. Un visage angélique au teint de porcelaine arbore un air presque candide dans les situations diverses. Un nez fin et relevé, des lèvres rosées et sucrées qui donnent envie d'y goûter. Et surtout ce beau regard vert, tellement brillant que l'on croirait que les plaines froides de Russie s'y serait réfugié pour ne plus jamais craindre le mauvais temps. Ce regard est accentué par des paupières fines et cernées de cils aussi sombres que la nuit. Ce sont d'ailleurs ses yeux verts qui le différencient d'un albinos quelqueconque. De ce fait, sa face est bordée d'opulent cheveux aussi purs que la neige vierge et qui descendent jusqu'au bas de ses oreilles. Toujours coiffé, il arrive souvent que sa chevelure vole pendant un certain temps dans les vents froid de Russie sans qu'il s'en retrouve décoiffé pour autant. Avant il avait les cheveux longs noués en catogan jusque dans le bas de son dos mais les derniers évènements de sa vie on fait qu'il a rejeté violament son physique et qu'il a coupé sauvagement ses cheveux aux ciseaux, d'où l'effet de mèches éparses ressenti dans sa coiffure et qui heureusement va encore à peu près .
Son corps est fin, la peau toujours aussi pale et nacrée à tel point que l'on se demande si elle n'est pas diaphane, il émane de lui une certaine lumière évanescente. Lumière accentuée par son air liliale et gracile peu commun. Ce qui est renforcé par le fait qu'il ressemble beaucoup à une belle demoiselle. Ces efforts pour le cacher n'ont pas réellement servis, quand il était vivant il employait toutes ses forces pour que tout le monde reconnaisse qu'il est un homme mais depuis sa mort spirituelle, il se laisse aller et son coté féminin ressort au grand jour sans qu'il ne s'en émeuve plus que ça. Ses épaules sont finement musclées, continuées par de longs bras et des mains gracieuses pourvues de doigts habiles. Son torse, sans pilosité, laisse apparaître un tatouage de dragon en cercle de couleur pale pour ne pas trop ressortir avec le teint de sa peau. Pour finir, il a de belles fesses arrondies suivies de jambes musclées mais cachées sous les vêtements qu'il porte.

Et enfin, en dernier détail, on peux parler de sa voix assez grave et sensuelle sans le moindre accent. Pas une once de particularité russe ce qui est assez étrange, il a une capacité de moduler sa voix de façon étrange et peu reproduire toutes les sortes d'accents différents. Dans ce cas, il fait l'accent français, enfin l'absense d'accent français ^^°.

Style vestimentaire : Donc du côté des vêtements, il a un style vestimentaire très varié, allant de la chemise noire à sa veste bleue négligemment entrouverte pour montrer le devant de son torse ainsi que jean ou de pantalon de toutes sortes et de toutes couleurs. Pourtant sa tenue la plus courante est un jean noir troué avec de grosses bottines noires ouverte sur le devant et dans lesquelles s'entasse négligemment le jean, tenue complétée par un t-shirt ou une chemise de couleur blanche.

Objet fétiche : Du coté des accessoires, il porte bon nombre de bijou de toutes sorte, une croix égyptienne à l'oreille gauche, un collier double de cuir noir, un anneau en haut de l'oreille droite et des bagues à ne plus savoir qu'en faire. Il a tendance à en faire cadeau à toutes les personnes qui passent, il ne tiens pas réellement à ce qu'il porte.

Description Mentale : Alors que le physique de Mike le rapproche d'un ange, son mental est bien autre. Sans être pour autant un démon, le Russe n'aime pas qu'on lui marche sur les pieds, hurle quand quelque chose ne lui plaît pas, pique des crises de jalousie et s'énerve facilement. Pourtant au départ il n'était pas du tout comme ça. Enfant très agréable, serviable et gentil il est devenu un adolescent révolté, méfiant et mélancolique. Il ne déteste pas les gens qui l'entoure mais les épreuves qu'il a traversé, même si elles n'en étaient pas vraiment, on suffit à faire de sa nature naïve, une nature blessée par les gestes et les paroles des autres. Il évite en général le contact, de toute façon son physique se charge de tout pour lui. Il faut dire qu'il semble tellement particulier et si beau que les gens se rendent à sa rencontre assez rapidement, ne serait ce que pour le connaître et lui demander si il est un garçon ou une fille. Dans ce cas, il suffit qu'il donne un peu de la voix, pour qu'ils se rendent compte qu'il s'agit bien d'un homme.
Son côté androgyne le gène très peu, du moins dans le passé ça le gênait très peu, il fallait même dire qu'il en jouait, portant des robes ou autres attributs féminins divers mais désormais il essai de porter des vêtements masculins pour qu'on ne le prenne plus pour une demoiselle. Car, à la différence de certaine personne qui se maquille exprès ou s'habillent de façon à ressembler au sexe opposé et qui en réalité ne sont pas du tout androgyne, Mike lui l'est naturellement et c'est quand il ne fait pas d'effort de vêtements que l'on se pose la question sur son sexe.

Ensuite, c'est quelqu'un de fiable, dont il est pourtant dur de gagner la confiance mais qui une fois acquise se révèle être un précieux ami près à tout pour vous aider. Il n'est pas très intelligent, enfin une intelligence normale mais il est passionné par les choses dans lesquelles il s'investit, que ce soit en amour ou en amitié. De plus, il ne hais pas vraiment les gens qui sont ses ennemis, même si beaucoup de personne ont tendance à ne pas l'aimer, lui se contente de les ignorer. Il n'y a pas pires mots que ceux qui ne viennent pas, l'indifférence est une arme tranchante.

Pour en revenir à ses amours, le jeune homme est bisexuel. Pour lui il n'y a pas de différence entre les hommes et les femmes, il aime ce qui est beau et intéressant, peu importe son sexe. Il pense que l'amour est une chose bien au dessus de telles idées, fille ou garçon, il aime pareil. Par contre, il ne pardonne que très peu aux personnes qui ont plusieurs amant(es) en même temps, selon lui il faut se consacrer uniquement à une seule personne. Des considérations qui peuvent paraîtrent vieillottes mais il s'y conforme. Dans une relation avec lui on peut donc lui faire entièrement confiance pour ne pas vous tromper. De toute façon si un jour ça n'allait plus, il le dirait franchement, avec tact bien sûr, mais il le dirait.

C'est aussi quelqu'un de naturellement très curieux, même si il essai de ne pas le faire remarquer, il ne peut s'empêcher de s'intéresser à tout ce qui se passe autour ou à ce que autrui fait. En dernier détail, il serait intéressant de noter qu'il dépense sans compter, n'ayant pas vraiment pris compte de la valeur de l'argent, il dépense comme il veut et quand il veut. parlez lui d'économie, il vous riras au nez et sans ira acheter n'importe quoi pour appuyer ses pensées.

Son arrivée sur cette Terre a été un changement radical néanmoins pour lui, même si il garde son caractère révolté, il a beaucoup changé et s'est très bien accomodé de vivre de peu.
Il déteste sincèrement les vampires et pour lui un bon vampire est un vampire définitivement mort.

Equipement : Deux desert eagle, un collier qui appartenait à son ancienne vampire qu'il a dans sa poche. Quelques fioles contenant un produit explosif et qu'il peut lancer pour faire reculer l'ennemi.

Style de combat : Mike utilise davantage des armes à feu. Il possède deux desert eagle qui pendant à sa ceinture. Il a du mal en combat rapproché, ce qui sous entend le fait qu'il ne se laisse que très rarement approche et ne sort jamais sans ses deux armes. Le prendre par surprise et s'en approcher près serait pour lui un combat perdu d'avance.
Particularité : Albinos et androgyne
Talents : C'est un multilinguiste, il parle 6 langues, l'Anglais, le Russe, l'Allemand, l'Espagnol, le Français et le Japonais. Il a aussi une voix de cristal qui fait de lui un très bon chanteur aux accents purs.

Histoire : C'était une journée comme les autres dans la froide Russie, la neige recouvrait la terre souffrante sous les pas de ses habitants. On aurait dit que la ville était plongée dans une profonde léthargie dont elle ne se réveillerait que quand le printemps lointain pointerait le bout de son nez.
La scène prend lieu dans un hôtel miteux de banlieue, une chambre pourrie, des odeurs insupportables et des gémissements plaintifs qui s'échappent d'à travers une porte de bois sombre notée 12.
Une femme couchée à même une table au centre de la pièce, elle soupire, elle laisse sortir quelques plaintes qui ne dépassent pas le stade du murmure. Accoudée sur son piédestal d'écharde, elle suinte par tous les pores, bascule en arrière, se redresse.
Dans un coin de la pièce, un homme assis sur une chaise, seul autre élément de la pièce, observe la scène d'un oeil placide. Doucement, il sort un paquet de cigarette de la poche arrière de son jean sale et en sort une cigarette. Le bout rougeoie alors qu'il tire une bouffé et l'exhale ensuite dans un nuage grisâtre.
La femme ne fait pas attention aux gestes de l'homme que l'on dit être son mari, trop concentrée sur son travail douloureux.
L'homme se lève soudainement, lassé de la vison de cette femme figée dans le désespoir de ne pas réussir à mettre bas. Il jette un vague regard sur les triplées qui se serrent dans un coin de la pièce, muettes de stress et sort en se disant que sa femme y laissera sûrement la vie d'ici quelques minutes.

Pourtant Milana ne semble pas décidé à s'éteindre ce soir. De longues larmes coulent le long de ses joues crasseuses, elle entend son sang goutter doucement de la table pour venir cristalliser sur le sol froid. Elle a mal, mais elle a aussi tellement peur, peut de mourir ce soir, peur de crier et de mettre son mari en colère, peur de laisser ses trois autres enfants seules sans la moindre défense, elle a peur que son corps reste là pourrir sans que personne ne l'enterre. Non, elle ne peut pas partir ce soir. Elle lâche les bords de la table et dans un geste qu'elle n'aurait jamais osé faire, elle se contorsionne et saisis délicatement la tête du bébé à moitié sortie. Elle tire de toutes ses forces, elle est pleure en même temps. Elle craint tellement de le tuer, elle ne veut pas le perdre mais en cet instant elle doit sauver sa vie pour assurer celle de ses enfants déjà vivants.
Les épaules passes, puis tout le corps et un immense cri retenti dans la salle. Brisant le silence installé depuis le début de l'accouchement.

Les triplées s'approchent, discrètes, curieuses, elles viennent voir celui qui serra leur nouveau frère. Serré contre le sein de sa mère, tellement au chaud, il suce son pouce et s'endort pour la première fois. Milana soupire doucement, et regardant ses filles, elle prononce doucement :

« Anna, Ekaterina, Faina voici Mica »

Les jeunes filles acquissent doucement juste avant que la porte claque brusquement et que le mari, rouge de colère n'entre dans la pièce. Milana n'a que le temps de laisser échapper un hurlement sauvage.

1989 - Taudis Avdei

Milana esquissa un sourire diaphane alors que Patrikeï la serrait dans ses bras, à sa main se tenait Ekaterina, dans les bras elle avait Mikhäil qui fixait son père avec deux yeux ronds. Il fallait dire qu'en tenue de soldat il devenait impressionnant cet ivrogne. Rasé de près, les yeux brillant d'une lucidité nouvelle il posa un baiser dur sur les lèvres rosées de sa femme. Le sourire qu'elle avait fait, il l'avait pris pour une sorte d'au revoir agréable, la femme en était belle de cacher sa peine. Après tout on peu tout cacher derrière un sourire, même l'envie de mourir. Mais en réalitée ce sourire là était une joie insoutenable, de voir ce tortionnaire inavoué quitter la demeure familiale. Adieu les coups, les douleurs au ventre, les bleus qu'elle cachait sous des voiles mités et surtout elle disait au revoir à cette peur de retrouver ces enfants blessés un soir. Mica avait 1 ans, les triplés en avaient 3, et cette incapacité jeunette à se défendre face aux adultes.
Patrikeï endossa sa chemise et posa son baluchon sur son épaule. Après un salut de la main droite, à la manière des soldats, qui sonnait faux. Il tourna les talons et s'en alla d'une démarche raide et assurée.
Seule, sur le seuil de la porte, la neige jouant avec sa tunique bleus, Milana tenait la main de son jeune fils et le faisait saluer lentement. Après avoir déposé un chaste baisé sur le sommet de son crane, elle murmura plus pour elle même :

« Dis au revoir à papa Mica, oui.. au revoir. »

L'enfançon émit un gargouillis charmant sans se douter que la silhouette qui disparaissait au loin dans le brouillard neigeux était celle de son père et que c'était la dernière fois qu'il le voyait ..vivant.

1993

Les choses avaient bien changé en 4 ans, Mike avait grandis et arborait, comme Milana l'avait prévu, toutes les caractéristiques de sa mère. Des cheveux tellement blonds qu'ils en paraissaient blanc encadrait un visage à la peau diaphane. Beau comme un angelot, il attisait la convoitise des bourgeoises russes qui se promenaient dans les rues en tenant leur enfants déjà pourris avant même leur 5 ans. Oui, les enfants avaient grandis, les triplées, elles, avaient 7 ans et tout avaient cette candeur, cette innocence bafouée et ce courage propres aux enfants élevés dans des conditions précaires.
Quelques mois plus tôt, Milana avait reçu un courrier officiel comme quoi son mari s'était suicidé. Rendu coupable d'un crime contre la nation russe, il avait été emprisonné dans une geôle de fortune en attendant d'être exécute. Pris de panique, il s'était ouvert les veines, choisissant une mort plus douce que la pendaison.
Il apparu plus tard que Patrikeï, saoul comme un cochon avait tiré à bout portant sur un officier supérieur et l'avait tué. Il n'y avait pas eu d'enterrement, Milana laissant le corps à l'armée pour qu'elle puisse exécuter la sentence même après la suicide. Ce qu'il était resté du corps n'avait pas été digne d'être enterré et les restes avaient été abandonné d'une une plaine glacée en attendant de se décomposer.
Pour en revenir à nos moutons, la mère maintenant veuve et ses quatre enfants habitaient dans une maison de cartons et de boites de conserve récupérées. Autant dire qu'il faisait froid, très froid et que la faim se faisait sentir. Est-il agréable de commencer sa vie comme ça ? De toute évidence non, et Milana le savait très bien. Résolue à offrir quelques choses d'autres à ses enfants, elle travailla encore plus et plus ardemment.
Ce qui fit son effet, sans qu'elle le sache, elle intéressa rapidement un bourgeois extrêmement riche. Il lui proposa qu'elle vienne servir de femme de ménage dans sa demeure, il était près à lui louer une chambre sous les combles, au chaud et de la nourriture contre 50% de son salaire. La russe accepta tout de suite et à peine deux jours plus tard toutes la petite famille emménageait dans la demeure du baron Topüolos.
La chambre qui était mise à leur disposition n'était certainement pas une des plus belles mais au moins, la vie qui leur était offerte maintenant ressemblait à une vie de château à coté de que qu'ils avait vécu avant.
De plus n'ayant plus la nourriture et le loyer à payer séparément, elle pouvait dépenser tout l'argent qu'elle gagnait.
La mère se servit de cette aubaine pour faire de ses enfants les plus beaux que l'on ai vu. Échappant totalement à la condition pauvre dont il était issus, les enfants et surtout Ekaterina devinrent plus bourgeois que jamais .

2003 - Château Topüolos

« Mica ! »
« Allez Anna, dépêche toi un peu. »

Les deux adolescents couraient sur les chemins boueux qui menaient a la demeure du baron russe. Ils revenaient tout deux de l'école que le riche homme leur avait payé. C'était pas une école payante, mais dès leur naissance, leur mère s'était résolue à ce qu'ils n'aillent jamais dans une école, faute d'argent pour acheter les cahiers, les stylos et tout le bazar qui allait avec. Quand Mike avait atteint ses 12 ans, le baron, contre 20% du salaire de Milana, avait accepté de leur payer les études.
Le manoir était là, grand, imposant, toutes ses gouttières ruisselaient de neige fondue qui mourrait doucement au soleil. Les rayons d'Hélios venaient se perdre et jouer dans les cheveux des deux enfants qui courraient en riant à pleine gorge. Tout du moins surtout le jeune homme qui jouait du peu d'endurance de sa soeur Anna, la plus intelligente mais aussi la plus distante des trois. Elle tenait avec peine son lourd sac sur le coté de son flanc et glissait à chaque pas sur la terre devenue souple avec le dégel. Pris d'une certaine pitié, Mikhäil revint sur ses pas et il arracha son sac et ses affaires d'école.

« Je te le porte ! Tu auras plus de chance de gagner comme ça ! »

Anna n'aima que très peu la plaisanterie et se mit à courir sans demander son reste. Ne réagissant pas tout de suite, l'androgyne s'élança à sa suite, bien encombré qu'il était par les deux sacs. Un pas de travers et ce qui devait arriver ..arriva. Il s'étala de tout son long sur le sol et les sacs roulèrent à quelques mètres de lui avant de s'arrêter dans un bruit spongieux. Alertée par la chute, Anna revint sur ses pas et découvrit son frère riant aux éclats, peu honteux de cette situation et elle lui tendis une main fine et pale pour l'aider à se relever.

« Et bien plus d'être plus une soeur qu'un frère, monsieur est maladroits. »

Mikhäil grimaça devant la remarque et répliqua son retour :

« Je ne suis pas maladroit, c'est ton sac, tu as mis quoi dedans ? Une enclume pour ton cour de forgeron. »

Anna lâcha sa main et il se vautra de nouveau dans la boue. Posant les mains sur les hanches, elle tapa du pied sur le sol.

« Non, moi j'ai remmené le dictionnaire qu'on nous avait demandé pour aujourd'hui ! Et je n'ai pas reçu de corvée ! »

En effet, ce matin là, Mikhäil avait omis d'emporter un gros volume relié en cuir qui servait de dictionnaire de français et avait reçu une corvée. Il allait devoir aider les cantinières pendant une semaine. Peu réjouissant et même si il trouvait cette punition injuste, il l'exécuterais. Pourquoi injuste ? Quel est l'intérêt de ramener un livre dont on connais déjà tout le contenu? Car si il n'était pas doué dans les matières en général, le jeune homme excellait dans les langues diverses, premier de sa classe dans les contrôles, il avait basé toute sa scolarité sur ce don et caressait le projet de devenir traducteur.
Elle lui tendis de nouveau la main et ils rentrerent à la demeure, cette fois de façon plus prudente.

L'entrée était froide et austère, le sol bien ciré reflétait l'image des deux enfants et bientôt Anna quitta la compagnie de son frère pour aller étudier. La boue dégoulinait des vêtements de Mikhäil et le jeune homme ne trouva pas mieux que de rester sur place pour ne pas répandre la terre sur le sol si beau. Peine perdue. Une porte s'ouvrit et Faina entra dans la pièce. Elle était la plus douce et la plus belle des trois triplés, refusant l'éducation, elle était entrée au service du baron comme femme de ménage. En découvrant l'aspect de son frère, elle passa une main devant sa bouche.

« File, si Monsieur te vois ça va mal aller. »

Mikhäil s'exécuta sans demander son reste et fila dans sa chambre en haut. Quelques semaines avant, le baron avait fait don d'une chambre privée au jeune garçon sans que celui si sache pourquoi. Malheureusement, il le saurait bien assez tôt.
la nuit était tombée brusquement, se déshabillant Mike s'était couché sur sa paillasse et s'était endormie en rêvant à la France et à tout les pays qu'il voulait visiter. Ce ne fut que vers 3 heures du matin que la lumière d'une lampe torche se glissa sous la porte de sa chambre et le réveilla à moitié. Quelques bruits étouffés puis la cliche de la porte qui tourne sur elle même. La lumière s'éteignit et à la lumière de la lune qui perçait par un vasistas, Mike découvrit le baron. Un sourire jusqu'aux oreilles, il éteignis le cigare qu'il tenait à la bouche. Doucement, il se rapprocha de l'adolescent en enlevant sa veste et alla s'asseoir sur le lit. Là devant le regard stupéfait du jeune homme, il passa sa main rêche sur le torse juvénile et marmonna dans sa barbe.

« Laisse toi faire. »

Mikhäil comprit en quelques secondes. Une main vint se plaque sur sa bouche, le faisant se cogner au mur derrière lui. À moitié étourdi, il tenta en vain de se débattre alors que le baron lui arrachait ses vêtements. L'attrapant par une épaule, il le coucha violemment sur le lit, faisant voler la pauvre couverture. Et il enleva à son tour son pantalon.
Blessé, de toute cette nuit, Mikhaël ne pu laisser sortir que quelques larmes.

Deux heures plus tard, alors que le cigare posé à même le sol avait finit entièrement de se consumer, le baron se retira, sans un mot de plus.

Une semaine plus tard
Tout avait repris son cour normal, à la différence près que Mikhäel s'était mu dans un mutisme. Ne parlant que très peu, il sursautais au moindre contact avec les autres et ne restait plus seul ou que ce soit. Il avait surtout peur de recroiser le baron.
Pourtant, il avait décidé de tout dire. Et c'était sur un repas de famille qu'il avait jeté son dévolu. Toute la petite famille mangeait autour d'une petite table de bois, un bien maigre repas il fallait le dire mais qui était suffisant. Mikhäel toussa et commença sa phrase par un « j'ai quelque chose à vous dire ». Anna, Milana et Faina posèrent leur couverts, prêtes à écouter, conscientes qu'il avait expliquer son attitude de la dernière semaine. Bon, il fallait le dire ..

« Il y a une semaine, Monsieur est venu me voir dans ma chambre et il .. il a voulu avoir des relations avec moi . »

Milana plongea son visage dans ses mains, Faina passa la main devant sa bouche et Anna releva la tête.

« Il a voulu ou ..il a eu ? »

« Il a eu . »

« FOUTAISES ! »

Ekaterina s'était violemment relevé, elle qui était resté silencieuse au début. La troisième triplé, la reine de coeur qui hurlait qu'on lui coupa la tête, prête à tout pour sa réussite et qui jouait avec les gens comme avec ses poupées.

« Comment peux-tu me faire ça à moi ? Tu ne te rends pas compte de tout ce que je fais pour toi ? Et pour la famille ! Estime toi heureux ! Maintenant tu va te la fermer et tu va faire ce qu'on te dit ! »

Folle de rage, les cheveux en bataille, elle fit basculer la table, entraînant Mikhäil dans sa chute. Elle refit son chignon et posa un unique regard sur son frère, avec tout le mépris qu'on pouvait y lire, elle dit seulement.

« Tu ne vaux rien .. »

Et elle s'en alla. Mikhaïl sentit sa gorge se nouer et il éclata en sanglot au milieu des débris d'assiettes et de nourriture.

Quelques temps plus tard ..

« Mikhäil ! »
« Va chier ! Et ne t'avise même plus de poser tes sales pattes sur moi, vieille peau ! »

Il repoussa sa mère et sortit de la salle en claquant la porte. S'engageant dans les escaliers, les évènements de ses dernières années lui revinrent en tête. Oui, il avait encore reçu la visite du baron et il la recevait encore maintenant. Mais ce qui l'avait le plus blessé avait été les réactions de sa famille. Anna lui avait expliqué qu'elle avait besoin des subventions du baron pour continuer ses études, Milana lui avait dit qu'elle ne voulait pas perdre son boulot, Faina avait quitté la maison précipita ment et Ekaterina, elle continuait à le vendre pour s'assurer les faveurs du riche russe. C'était à ce moment là qu'il avait réalisé qu'il était tout seul. Trop jeune, il ne pouvait même pas s'en aller avant un an. Un an..pourrait-il tenir ? Un an de plus, ça faisait déjà 2 ans que cette histoire avait débuté et il avait déjà tellement changé qu'il n'en était pas reconnaissable. Ses beaux cheveux longs avaient été coupé avec le ciseaux de couture de sa mère, il avait maigris, ses pommettes devenues saillantes se dessinait sur son visage terne, les yeux ne reflétant plus qu'une haine et un mépris pour les autres. Rejetant son physique féminin que le baron avait tant apprécié, il avait espéré que tout cela cesse mais au contraire ça avait été pire. Bien pire et chaque journée qui passait le détruisait, à petit feu, à chaque instant. Une idée lui traversa l'esprit et une fois en bas, il prit la direction des cuisines.

Arrivé au bout du rouleau, il n'en pouvait plus et il prit la dernière décision de sa vie. Son anniversaire approchait et avec ça ses 17 ans. Pour simple cadeau il demanda une bouteille de Vodka.
La soirée avait passé tristement, il n'avait demandé personne auprès de lui. Enfermé dans sa chambre, il avait siroté la bouteille pendant des heures, tout doucement au début, brûlé par l'alcool puis de plus en plus rapidement. Quelques verres et il se sentait déjà saoul mais il se força à finir la bouteille et après quelques pas dans sa chambre, il s'écroula amorphe, reprenant son souffle.
C'est là qu'il l'entendis, Le baron tellement cruel qu'il ne méritait pas d'être nommé, entra dans la pièce sans un bruit. À travers le voile éthylique, Mike aperçu le gros homme enlever sa chemise et se pencher sur lui.
Ce fut a ce moment qu'il se redressa de toutes ses forces et la lame brilla quelques instants dans les reflets de la lune.

Au même instant, Milana se demandait où elle avait pu mettre son couteau à viande..

Mikhäil frappa, encore et encore avec la rage de ceux qui ont été abusés pendant trop longtemps. Le poumon, la lame toucha un os de l'épaule et le brisa. Au total, il administra près de 30 coups de couteau au russe qui s'effondra sur le sol de la chambre qui se teintait doucement de sang. Couvert de sang, il se précipita au dehors et tomba nez à nez avec Ekaterina qui ouvrit la bouche comme un poisson qu'on sort de l'eau.

« Qu'essssst ce que tu as faiiit ?! »

Pas le temps de répondre, il bouscula sa soeur et s'engagea dans l'escalier en courant les larmes lui brouillant la vue, il venait de tuer un homme. Il sortit en toute hâte du château et s'enfuit dans la tempête de neige qui hurlait au dehors.

De loin, il vit la lumière de sa chambre s'allumer et un cri qu'il entendit malgré le vent. Il fallait qu'il court, le plus vite et le plus loin possible mais il avait froid, il était à moitié saoul et ne savait pas trop où il allait. Bientôt la rumeur des serviteurs du château courant derrière lui firent peur. Non, ils n'avaient sûrement pas des intentions pacifistes. Mais il n'en pouvait plus, Il tomba à genoux dans la neige, les bras croisés sur le devant de son torse pour garder un peu de chaleur, il se tourna vers les hommes qui l'avait encerclé.

« S'il vous plaît. .. »

La suite de sa phrase mourut dans sa gorge alors qu'un vieux résident du manoir s'avançait, armé d'un pistolet rudimentaire. Mikhaïl baissa les yeux. Un grand bruit résonna d'à travers la tempête et la neige se teinta de rouge.

Autre lieu, autre temps

Il avait 17 ans et sa disparition passerait inaperçue. Il avait sentit la neige sur son corps, ses membres raidient par le froid mordant et la rumeur, les paroles des serviteurs qui s'en allaient. Et la douleur, toujours la douleur, le froid et les larmes qui teintaient ses yeux. L'alcool qui brouillait ses sens, il avait tellement mal, le ventre déchiré par un simple morçeau de fer. Et il était resté tellement longtemps, 6 heures, 6 heures tellement longue, là dans le noir, seul. Touché par une unjustice, il avait perdu le droit de mourir rapidement et son agonie lente et silencieuse se prolongeait loin dans la tempète qui recouvrait doucement son corps meurtris.

Quelles peuvent être nos pensées quand on se sent mourir mais que la dame de noir rechigne à venir nous chercher ? A quoi peut-on prier ? Peut-on imaginer un instant s'en sortir malgré tout ? Malgré les blessures, malgré l'hypotermie ? Ou attent-on simplement la main châritable, la main qui va venir nous tuer ? Celle qui nous délivrera de nos souffrances. Peut-on en vouloir à celui qui va nous tuer ?
Mike repensait sans cesse à ce petit chat une fois au château, ce petit chat qui avait été tapé par une voiture et qui avait eu la force de se traîner jusque dans le château. Et ce petit chat que Mika avait trouvé, il avait le bassin brisé, les pattes détruites, 32°C seulement. Et ce regard, et ce miaulement déchirant. Les larmes aux yeux, Mika avait été chercher des barbituriques dans la pharmacie et il avait tué ce petit chat qui ne s'en sortirait pas.
Bonjour petit chat, je suis désolé, tu as attendu si longtemps qu'on te trouve, me voila. Je suis humain, j'ai tout les pouvoirs mais je suis désolé je vais devoir te tuer. Au revoir petit chat.

Mais y avait-il un être supérieur à l'humain ? Un être qui viendrait le tuer, qui viendrait supprimer ses souffrances, celle qui ôserait tuer un humain pour faire stopper toute cette douleur ? Rien, juste le sifflement du vent et enfin le noir.

Ambrelune

Il ouvrit les yeux dans une salle de riche facture, les rideaux étaient d'une beauté sans nom. C'est la seule qu'il pu voir tant son corps lui semblait lourd, l'impression d'être piégé dans sa propre chair et ce poid opressant sur sa poitrine. Des larmes coulèrent le long de ses yeux, il n'étaient pas dupe. La paralysie lui courait le long de la colonne vertébrale.
Puis un glissement soyeux et le visage d'une jeune femme apparue dans son champ de vision. Elle avait le sourire des anges, des yeux rougeoyants comme la braise et des vêtements riches comme le baron. Elle glissa une main dans les cheveux blancs de Mica et murmura d'une voix douce.

« Bonjour mon cher. Bonjour. Je suis venue te sauver, bois, bois ce que je te donne et tu vivras de nouveau. »

Elle porta son délicat poignet à sa bouche et y mordit fébrilement. Aussitôt une goutte d'un sang purpurin tacha le lit et elle approcha ses veines effritées des lèvres de Mica qui y but. Le goût du sang, cette sensation de fer qui faisait echo avec l'odeur de la poudre et la balle, charque gorgée lui donnait un haut le coeur; lui donnait envie de mourir mais plus cette sensation s'appaisait plus il se sentait revivre. Le sang de cette ensorleuse au cheveux de sirène le regénérait. Il se revela sur les coudes pour découvrir le reste de la chambre, passa une main sur le gros bandage tâché qui lui recouvrait le ventre. Souriante, la jeune femme s'assit sur le lit et lui expliqua tout. Pendant des heures elle lui parle, de tout, des vampires, de comment elle l'avait trouvé dans la neige alors qu'elle allait vers le château après une invitation. Elle oublia volontairement de lui dire qu'elle avait assassiné tout les serviteurs du château, toute la famille Avdei et que les lieux avaient été remplis par une tempète au goût carmin.

Mica devint alors l'esclave de cette vieille vampire. Au début, il était content de cette situation, il se considérait comme un serviteur mais quand les choix de la vampire commencèrent à prendre le pas sur les siens, il n'aima plus du tout la situation. Rapidement, elle modifia son physique pour renforce l'endrogeïna de Mica, le faisant ressembler de plus en plus a une femme, l'amaigrissant exprès même. Et cette situation allait durer car même si il devenait de plus en plus infect, elle l'aimait de plus en plus. D'un amour tordu mais cette vampire était vraiment pleine d'affection envers Mica. Et toujours, elle suffisait a ces besoins mais elle était vampire et l'humanité était bien loin derrière elle et ses actes étaient parfois blessant, destructeurs.

Un soir elle rentra, tibutant, du sang coulent le long de ses lèvres qui arboraient une couleur bleutée de mort. Elle s'affala sur le sol et appella faiblement Mica qui était dans la pièce. Son corps était secoué de trremblement, torturée par des spasmes, elle vomit une terrible flaque de sang sur le fameux tapis de la chambre. Couchée par terre, les cheveux collés par la sueur, comme un animal traqué. Elle regardait Mica sans un mot, les yeux grands ouverts, un sourire terrible aux lèvres. Un poison long et insidieux la rongeait. Pas un geste de sa part, elle le regardait juste, le regard brillant d'affection pour la dernière personne qu'elle souhaitait voir dans sa très longue existence. Mica eut l'impression de revoir ce chaton face à lui, cet animal blessé. Et après un murmure de pardon, il assassina la vampire. Elle s'éteignait un sourire aux lèvres.

Quand il sortit, c'était la debandade, les vampires courraient dans tout les sens, affolés, l'odeur de la poudre encore. La première chose que fit Mica fut de se couper les cheveux pour ne pas être confondu avec un de ses êtres immortels puis il alla voir.

Pas de soucis, sachant que cette fiche a été écrite en une heure à peine hier soir entre 23 heures et minuit, il y a sûrement quelques erreurs [et certaine que je vois et que tu n'as pas relevé, niark, je ne dirais pas lesquelles, la flemme de corriger] Je plaisante, ne relève pas toutes les fautes sinon nous ne sommes pas sortis de l'auberge.

Alors d'abords les desert eagle, j'ai vu que certains vampires en avaient au palais. Il ne les possède pas encore et comme je sais que ma fiche sera verrouillée une fois validée, j'ai anticipé l'obtention de ces armes. On dira que par exemple il a été fouiller dans une chambre et en a trouvé, je le ferais en jeu de toute manière.
Et puis bah ça sonne mieux que Uzis je trouve non ? XD

Merci pour le compliment en passant, je n'ai pas non plus l'éloge facile =] et je comprend bien les remarques.
Ma fiche est bâclée, j'ai déjà fait bien plus beau, bien plus long, bien plus tordu. Mais là il me fallait une jolie histoire tristounette =]

Premièrement, en Russie il y a des très pauvres comme des très riches et il y effectivement ce genre de baron qui n'en ont que le titre. Il possède une très grosse demeure mais y vit seulement avec sa famille proche. Ma tentative de faire passer le château comme très vide n'a pas été remarquée ? Je ne fais en aucun mention de noble à la cour, il n'y a que les Avdei [et encore il manque une soeur], quelques amis du baron et sa dizaine de serviteur. Ce soir là, la vampire a peut-être tué 15/20 personnes en tout. Pas davantage.

Ensuite, hum une vampire ne peut pas être vraiment amoureuse d'un humain qu'elle chérit plus que tout. Admettons de toute manière que cette nosferatus n'était pas nette pour tranformer ainsi un homme en femme. Par contre pour la faute, là oui j'admet c'est moche XD

Pour le chaton, je te cite le texte :

Citation :

Mike repensait sans cesse à ce petit chat une fois au château, ce petit chat qui avait été tapé par une voiture et qui avait eu la force de se traîner jusque dans le château. Et ce petit chat que Mika avait trouvé, il avait le bassin brisé, les pattes détruites, 32°C seulement. Et ce regard, et ce miaulement déchirant. Les larmes aux yeux, Mika avait été chercher des barbituriques dans la pharmacie et il avait tué ce petit chat qui ne s'en sortirait pas.

Il y a une situation parallèle entre la mort de la vampire et celle du chaton [ou petit chat].

Ne confonds-tu pas androgyne et hermaphrodite ? Mon dictionnaire me dit ça :

Wikipedia a écrit:

Un androgyne est un être humain dont l'apparence ne permet pas de décider à quel sexe il appartient. Quand une personne est physiquement porteuse des deux sexes on parle plutôt d'hermaphrodisme.

Néanmoins tu as raison de ressasser tes cours de philo, je lis actuellement Gorgias de Platon et c'est très intéressant. Beaucoup trop de gens manquent de philosophie à mon avis =]

Mica n'as pas perdu tout son sang, la bonne raison en est que dans la neige, le sang se crystalise. C'est l'hypothermie et son évanouissement dans la neige qui l'a empéché de se vider de son sang. La vampire l'a trouvé dans cet état, l'a empéché de mourir en le ramenant au château du baron et en lui administrant quelques soins et a sûrement du tuer tout le monde parceque les serviteurs ont tenté de terminer leur travail sur Mica. Après une fois au Palais des jumeaux, donc de retour chez "elle" avec un humain trop blessé pour servir, elle lui a donné de son sang pour le guérir. C'est le principe simplifié d'une goule.

Aborer n'existe pas. Arborer veut dire afficher mais dans un sens plus noble. Abhorrer veut dire détester. Aborder, veut dire atteindre. Après là je dois t'avouer que je ne sais plus si j'ai marqué aborDer à la place arborer

Citation :

du sang coulent le long de ses lèvres qui arboraient une couleur bleutée de mort.

Bah non c'est bien ce que j'ai voulu marquer :/

Woila sinon j'ai corrigé le reste

Je ne risque pas de corriger toute tes fautes, je suis un vrai m**** en orthographe genre abhorrer ou j'ai oublie le h et le deuxieme r ^^

Tu as bien de la chance de faire ca en une heure, je mettrai environs... 6 fois plus de temps, et ce serais moins bien vu qu'apres deux heures je suis fini... \

Pas de probleme pour les eagles, c'etait une remarque en l'air... moi on m'a offert des colts (et a l'origine c'etait des eagles, mais y en a trop dans le chateau ^^ un de ces 4 mes colts vont s'enrailler ou me sauter au visage, mais je prend le risque)

Dsl pour le chateau vide, j'ai lu ton texte en quelques minutes je l'avoue... comme pour le petit chat, j'etait pas attentif.

La vampre amoureuse ca me fait tiquer quand meme, mais j'ai deja laisse passer pire donc, ok.

Question purement personnel... comment tu fais pour tuer un chat avec des barbituriques...?

Pour l'androgyne, je sais bien, mais je t'assure que (selon aristophane hein moi qu'en sais je?) Les etre humains etaient a l'origine distingues en trois categories dont une spherique avec une visage feminin, un masculin qui regarde dans le sens oppose deux sexes quatre bras et quatre jambes et ils roulent sur eux meme^^
Je pensais que les etres hermaphrodites etaient ceux qui pouvais passer d'un sexe a l'autre... je ne sais pas et je ne peux pas te dire ce que dis mon dico vu que je ne capte rien ou presque de ce qui est marque XD

Pour le abhorrer, je t'assure que tu avais marque aboraient ^^ manquait le D mais pour etre franc je m'en balance...

l'histoire du sang c'est une autre paire de manche... je ne sais pas ce que ca fait un humain qui boit du sang vampire, bon je valide et je laisse la patronne verrouiller comme ca si ca lui va pas tu peux eciter.

(Alors soeurette, ca te va comme nouveau surnom patronne? Moi je trouve ca tout indique, je te vois bien avec un chignon serre un chtit tailleur des lunettes et accessoirement... une cravache^^)

Ehhh voui je suis d'accord les gens manque de philosophie, mais en meme temps, la philo n'est pas toujours un bien. Y en a qui crevent pour faire appliquer leurs idees... enfin moi je suis juste en apprentissage, donc j,en sais trop rien.

Parrait qu'une fois qu'on est lance on apprend toute notre vie, mais faudrait bien plus qu'une vie pour lire tout ce qu'il est necessaire de savoir et de toute facon faudrai bien plus que l'humanite pour tout comprendre^^

Ah joubliais encore (pu**** d'allemand^^)

Fiche validée

ps:OUAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIII dsl jme laisse emporter éééé´´´´´ reste a trouver comment faire les autres ^^

En réalité, le serum d'euthanasie qu'utilisent de nos jours les vétérinaires sur les animaux est composé de barbituriques divers et variés. Après l'histoire ne dit pas comment il lui a administré.

Pour ma part je pense qu'il vaut mieux être trop philosophe que pas assez. Il est préférable de mourir pour ses idées que de mourir vainement =]

Bravo pour ton qwerty qui fait les accents =] Ca va révolutionner NY. Merci pour la validation et on verra ce qu'en dit Thétis.

Bienvenue ! Ben heu, ta fiche est super (j'avoue ne pas avoir tout lu je passe vite fait ! XD), mais moi ça me convient et puis mon frère a déjà fait tout le boulot. ^.^