A peine arriver, déjà perdus.

Je me trouvais là, assis contre un mur dans cette ruelle sordide. Mon destin avait rencontré celui d’une catin et j’avais passé un petit moment avec elle avant de la tuer. Mon retour en cette ville, ce faisait banalement. Tant pis, l’entrée en grandes pompes ne sera pour cette fois.
Ce mur devait me plaire car je restais un bon moment appuyé contre lui.

« Et si je bougeais ? »

Tient… j’exprimais mes pensés à hautes voix maintenant. La fatigue peut être, cela faisait un bon moment que je n’avais pas pris un repos bien mérité. Une fuite de prison n’était jamais de tout repos, mais cela restait amusant.
Je tournais la tête et regardait ma valise miteuse que j’avais piqué au hasard d’une rue pour ranger quelques affaires, tel mon spas 12 ou autres affaires du genre. Du simple habille à cette arme de mort. Mon spas 12… J’étais content de me l’être procuré celui-là, il me défendait bien en cas de besoin, et, pour la « chasse », il pouvait être marrants.

« Aller on se bouge »

Je me levais, attrapais ma valise et… Ne bougeait plus. Oui bon j’étais déjà venu dans cette ville, mais je n’avais pas souvenir de l’endroit ou je me trouvait, ce qui était le comble. Je devais trouver un endroit ou loger et un endroit qui « me protégerait » un minimum. Je n’avais pas envie de réveiller face aux jumeaux ni face à d’autre joyeux lurons du genre, surtout que j’étais du genre à m’attirer tous les ennuis de ce pauvre monde. Je partis dans une direction, avant de faire demi-tour plus loin, et ainsi de suite repassant encore et encore devant ce mur que j’allais finir par apprivoiser.

« … »

Je finis donc par m’arrêter et par regarder ce mur… Attendant tout simplement, pensant que je devais avoir l’air bien fin a regarder ce mur en face.

Cassandra, après avoir repérer l’intérieur du château, avait décidé de découvrir l’extérieur, mais pas uniquement les jardins, la ville entière ! De plus, idée stupide, pendant la nuit, là où elle est presque totalement sure de croiser des vampires, mais qu’importait à présent ?
Malheureusement, il y avait une chose çà laquelle elle n’avait pas prêté d’attention : le chemin. Elle n’avait pris aucun point de repère visuel et avait le sens d’orientation d’une carotte. Elle décida donc de continuer son errance. Elle ne croisa que peu de monde.

Malgré son habitude du froid, elle n’était pas assez chaudement vêtue pour se sentir totalement à l’aise. En effet, elle n’avait que la robe que son maître lui… avait donné ? Ne lui avait pas laissé le choix de mettre serai plus juste. Ainsi, elle ressentait le froid, assez pour frissonner. Son expédition avait durait plus longtemps que prévue.

Quand elle commençait à sentir un temps soit peu la fatigue, elle s’arrêta un instant. Il faisait sombre et sa vision n’était pas habituer à une telle obscurité. Il lui fallut donc un certain temps pour apercevoir une forme humaine entrain de fixer un mur. Une forme humaine certes, mais était-ce un humain ? Rien n’était moins sur. Elle hésitait un moment, demander son chemin ou pas ? Après avoir pesé le pour et le contre, elle décida de s’approcher et de risquer le tout pour le tout. Après tout, c’était peut être un humain lui aussi.

Pour l’instant, elle ne voyait la personne que de dos. Elle s’approcha donc de la silhouette d’un pas hésitant et demanda d’un ton neutre mais laissant paraître discrètement une pointe d’inquiétude.

« Excusez-moi, Je me suis perdue, pourriez-vous m’aider ? »

Elle décida de ne pas révéler sa destination. Elle aviserait plus tard.

1 min ? 1h ? depuis combien de temps, j’étais-là-moi? … Enfin bon bref passons. Une chose était sûre, je regardais ce mur depuis un bon moment, et une autre chose était sure, c’est que je fus sortie de mes pensées par une personne dont le doute transparaissait dans la voix. Je me retournais donc et exposait ma face pâle à une humaine qui comme moi semblait perdue.

« J’allais te retourner la question. »

Un sourire déforma mon visage en une expression amusée, et avant de reprendre la parole je la jaugeais un peu. Une silhouette fine, une chevelure grisâtre… Mais quelque chose retint mon attention, ce qui me détourna de mon observation. Elle sentait le noble. Cette information me fit sourire de plus belle, une servante du château ou d’un de ces joyeux lurons du château… Cela pouvait être intéressant. Mais un sujet plus important me préoccupait… Ou aller.

« Je crois que nous sommes tous les deux perdus … Un comble pour quelqu’un ayant déjà habité ici»

Enfin étais-je vraiment perdus… Depuis le début, je n’avais fait que passer et repasser devant ce mur, sur des coups de tête, des sauts d’humeur, et des demi-tours interminables.
Un soupir plus tard je posais ma valise et m’assaillais dessus.

« Tu ne sais vraiment pas ? »

Un dernier espoir ? No plus une grosse flemme de chercher tout seul.

Tandis que l’homme se retourner, Cassandra nourrissait encore un petit espoir de ne pas être totalement perdue. Vu la pâleur de cette personne, c’était sûrement un vampire, mais après tout, des humains si pâle existait non ? Elle essayait plutôt de se rassurer, en réalité elle n’y voyait pas grand chose. Vraisemblablement, il était aussi perdu, mais alors pourquoi fixer un mur ? La jeune humaine trouva cette personne bizarre.

Il y eu un silence pendant lequel ils s’observèrent mutuellement. Son interlocuteur reprit alors la parole. Il aurait vécu ici par le passé ? Elle en été à présent sur, c’était un vampire. Un humain qui parvint à sortir de cette ville serait déjà un exploit, mais y revenir serai totalement stupide, il s’agissait donc sans aucun doute d’un fils de la nuit, perdu tout comme elle. Peut importer. Il espérait encore que la jeune fille se souvienne du chemin, mais il en fut rien.

Cassandra soupira et dit d’un ton impulsif :

« C’est magnifique !! Voilà qu’on se retrouve perdu au milieu d’une ville de fou !! »

Ses pensées venaient de se mêler à ses paroles. En utilisant l’élocution ‘on’, même elle ignorait si elle parlait de elle au pluriel ou si elle incluait le vampire. Elle tourna la tête afin de voir combien de chemins s’offraient à elle, enfin à eux, enfin… bref, combien de chemins étaient envisageables. Voyons, 1, celui par lequel elle est arrivée, 2 un à gauche et 3, un à droite. En théorie faire le même chemin dans l’autre sens devrait la ramener au château, mais elle serait incapable de se souvenir du chemin qu’elle avait empruntée.

Je partis en fou rire. L’expression « ville de fou » résumait bien le lieu. Il fallut un certain temps pour me calmer et je me relevais, essuyant mes yeux humidifiés par ce rire. Il était dur de ne pas repartir en un nouveau fou rire, car j’imaginais bien ce qu’elle devait penser de moi, entre la fixation du mur et la crise. En bref, mon grand sourire dévoilant mes deux canine était toujours là.

« Voyons… Par là. »

Me lançant à l’aveuglette je partis dans la direction opposée à l’arrivée d e l’esclave. Autant chercher, et, avec un peu de chance le chemin devrait arriver. Je me tournais vers elle, si elle aussi était perdue autant y aller a deux. Et les informations qu’elle pouvait dévoiler sur le château pouvait toujours être intéressante, bien que j’en sache déjà beaucoup. Et ouis une petite faim arrive si vite, mais, mordre un esclave du château pouvait devenir embêtant, surtout si le maître était attaché a l’esclave concerné, et me coltinné tout le château sur le dos ne m’excitais pas forcément.

« Bah tu viens ? »

Je m’étais retourné et la regardais, l’attendant aussi, n’ayant pas grand-chose à faire en plus de tout ceci. Puis sans pouvoir m’en empêcher je fis un signe d’adieu au mur qui m’avait « accompagné ».

« Au revoir toi. »

Puis je revins sur l’esclave qui ne bougeait toujours pas.

Le vampire partit dans un fou rire décontenancé. Cassandra resta un moment à l’observer entrain de rire. Qu’avait-elle dit ou fait de si drôle ? Tandis qu’il rirait à gorge déployée, qui dévoilé de grandes canines blanches peu rassurantes, Elle s’efforcer de réfléchir, mais ses souvenir était troublés par ses pensées.

*Il va pas me mordre hein ? Il a l’air dingue mais pas très méchant… je suis ridicule d’essayer de me rassuré ainsi*

Il se calma enfin et sembla chercher aussi un chemin. Savait-il au moins où il voulait aller ? Un grand doute naquit dans l’esprit de l’humaine. Il ne pouvait pas être un noble avec une valise si miteuse. Elle remis cette question à plus tard quand le vampire l’interpella. Elle se tourna vers lui tandis qu’il disait au revoir à quoi ? Elle regarda autour d’elle et vis à quoi il parlait… un mur ? Il disait au revoir à un mur ? Le même mur qu’il observait quand elle était arrivée. Elle dit d’un ton presque compatissant et légèrement moqueur :

« Tu le reverras ton très cher mur. »

Etait-elle définitivement suicidaire ou trop confiante ?
Elle s’approcha du fils de la nuit tout en regardant les chemins possibles. Elle déclara alors avec un peu de résignation dans la voix :

« Il faut bien aller quelque part. »

« Je l’aimais bien ce mur »

J’eu un bref ricanement puis je repris ma route aux côtés de l’esclave.Mon pas était lourd a cause de mes bottes lestées et contrastait avec ma carrure mince et moyenne. De plus je ne marchais pas droit comme à ma grande habitude, ce qui encore une fois devait me donne rune de ces allures… Enfin bon, au moins j’avançais.

« Dis. Tu ne connaîtrais pas un bon endroit pour dormir ? J’avoue que, sur ce point, je suis vraiment paumé. »

J’étais même plus que paumé à ce niveau. Ma première venue ici s’était terminée dans le bordel le plus totale, ce qui n’avait pas arrangé les choses. Notre route continuait et ne semblait pas s’arranger, ce qui ne m’arrangeait pas, moi qui avais faim, soif et envie de dormir. De plus le jour ne devait pas tarder a pointé son sale nez dans le coin. Tout ce qui pus sortir a ce moment de ma bouche, fut un soupir à couper au couteau.

« Tiens, pour rester dans les questions. Tu est bien esclave au château ? »

Si on devait marcher ensemble autant partir dans une discussion pouvant apporter sons lot d’informations intéressantes. Et puis il n’y avait pas grand-chose à faire dans ces rues miteuses. Même pas un bar rendez-vous compte. Rien que ça me cassait déjà bien l’ambiance. Même pas un peu d’animation. Tout ce que l’on pouvait voir dans cette rue était un vampire n marchant pas droit, une esclave paumée et un cadavre de prostitué caché d’une manière désinvolte. Cadavre souvenir de mon premier repas en ces lieux. J’aurais dus l’encadrer

Ils marchèrent donc un certain bout de temps, Cassandra était dans ses pensées et ne prêtait pas la moindre attention à ce qui l’entourait. On aurait dit que cette ville s’étendait considérablement, mais en réalité, ils tournaient en rond. Si elle avait été plus attentive, elle aurait remarqué qu’ils étaient passé trois fois devant un cadavre… En fait il est mieux qu’elle n’ait pas remarquer le cadavre pour le moment.

Elle fût tiré de sa rêverie par la voix du vampire qui, tout comme elle, était totalement perdu dans les méandres d’Ambrelune.

« J’en ai pas la moindre idée. »

Répondit-elle avec un grand ennui dans la voix.
Comment pourrait-elle savoir où ce trouve un endroit sur ou dormir alors que c’était la toute première fois qu’elle sortait du château. Enfin, elle était passé ici après l’accident. Ce même accident qui lui a pourrit la vie. Ce souvenir amer la mis de mauvaise humeur. Bien sur, le vampire choisit ce moment pour lui rappeler qu’elle était esclave au château.

« On s’en fout. »

Elle avait une voix très catégorique et bien significative de sa mauvaise humeur. Elle s’arrêta et le regarda… méchamment ?

« Est-ce que ça change quelque chose au fait que je sois perdue ? »

[ désolé pour le message pas très long, mais je suis malade et j'ai peur de vomir sur mon clavier]

Thanahtos marchait dans les ruelles sans but apparant, il erait dans la ville, ne sachant pas où aller ni quoi faire il se perdit dans les rue car il ne connaissait pas cet endroit, mais ayant l'habitude des endroit sombre et lugubre comme celui ci, il n'avait aucunement peur et eprouvait même une pointe de joie a l'idée de s'être perdu,qui sait il ferrat peut être quelque rencontres interessantes.Au detour d'une ruelles sombre il tombat nez à nez avec deux inconnus, ou plutôt un inconu et une inconnue.L'homme était apparement pas si hummain que ça compte tenu de la longueur de ses canines qu'il laissait apparaitre, la jeunne femme devait être hummaine, Thanathos le senti, il adorait cette odeur, l'odeur d'une proie, mais bizarement aujourd'hui il n'avait pas cette soif insasciable qu'il avait les autres jours, il étai plutôt d'humeur calme et detendue, il ne voulait pas s'attirez d'ennuis des son premier jours en ville, il regardat les inconnu et fit une légère reverence avant de prendre la parole:

-Bonsoir brave gens, je me nome Thanathos, humble personne perdue dans cette immense ville...J'éspère que vous me serais gré de bien vouloir m'indiquer le chemin a suivre pour sortir de ce labyrinthe.

[desoler pour ce tout petit post mais la je suis en cours donc jpeut pas faire mieux]

Je ne savais plus quoi faire, voilas la énième fois que nous passions devant ce mur. Partir en fou rire était la seule idée qui me venait a l’esprit. Mis bon, au moins le cadavre était toujours la, et le faim me tiraillait toujours, c’était déjà sa de gagner. Avant de retourner voir mon cadavre je fit une halte face au mur.

« Bon, je sais que tu m’aimes bien, mais de la à me suivre tout le temps, je n’imaginais pas. »

Un peu plus et j’allais l’embrasser. Après un bref soupir, je revins vers l’esclave qui m’avait presque crier dessus, et a qui je n’avais pas encore répondus quelque chose. Coincé avec une humaine nerveuse, la c’était le comble de mes problèmes.

« Non, sa ne change rien, c’est par simple curiosité ma chère. »

Puis après un ricanement vint leur dû repas. Ce cadavre qui me faisait de l’œil n’allait pas attendre longtemps. Mais mes retrouvailles post-mortem n’allaient pas ce faire tout de suite, un rigolo me faisant une révérence venait de me poser un question. Je ne l’avais pas vu venir lui.

« Voyer vous, on se pose la même question »

J’eus un rire cour puis enfin, et il était tant, je retrouvais mon cadavre que je traînais vers le groupe que nous formions.

« Mais heureusement, il y a de quoi survivre »

En disant cela j’exposait ce frais cadavres. Amante d’un court moment.

Encore ce mur et encore ce taré qui discute avec. Il lui répondit tandis qu’un autre homme arrivé. Il parla, se présenta, Cassandra comprit la moitié des mots mais saisit l’essentiel : Il s’appelle Thanatos, il est aussi perdu. Pourquoi employé autant de mots pour dire ça ? Etait-ce un vampire ou un humain ? A vrai dire elle s’en foutait totalement.

Elle allait lui dire qu’ils étaient aussi perdus, mais le vampire la devança. Il dit aussi qu’il y avait de quoi survivre, conclusions : Ledit Thanatos était bel et bien un vampire. C’est à ce moment qu’elle aperçut le cadavre. Au moins ce n’est pas elle qui sera tué… vive la solidarité.

« Et bien bon appétit »

Dit-elle de façon ironique et légèrement dégoûtée.
Combien de temps était-il passé depuis qu’elle était arrivée ici ? Elle n’en avait pas la moindre idée. Peut-être une heure, peut être plus.

« Maintenant on est trois, tous aussi perdus les uns que les autres. »

Cette déclaration était plus une pensée à voix hautes qu’autre chose. Elle croisa les bras afin de se réchauffer un minimum, même si c’était totalement inutile.

Thanatos jetta un coup d'oeil au cadavre encore frais que trainait le vampire deriere lui apres un bref soupir et lançat

-D'habitude je préfère la chair encore frémissante mais s'il ny a rien d'autre a se mettre sous la dent...

Puis il regardat la jeunne humain que avait l'air de grelotter, d'un geste fin et rapide il otâ son grand manteau de cuir noir et le tendit a la jeune fille

-Une jeunne demoiselle ne devrais jamais avoir a soufrir du frois, du moin pas devant moi.

Puis il réfléchit un instant a leur situation, trois individu perdus au millieu d'une ville aussi grande qu'une capitale et qui plus est en pleine nuit.Puis il regardat a nouveau le cadavre.

-Et puis apres tout je peut bien me retenir une journée de plus...

J’avais fini de traîner mon cadavre et m’étais assis en face de mes deux compagnons d’infortune. Le nouveau venu sentait le noble et n’avait pas les manières habituelles des nobles de la ville. Bon je sais c’est le détail qui tue, mais ici c’est toujours bizarre. Enfin bon bref, mon cadavre m’importait plus et après un délicat arrachage de bras, je commençais mon repas.

« Vous êtes noble non ? »

La grande question qui me titillait l’esprit, ainsi que tant d’autres, mais s’il faut les poser autant que je le fasse dans l’ordre. La question ainsi posée, j’attendais une réponse. A part ça mon cadavre avait vraiment un goût de défraîchit, dommage, elle que j’avais tué pourtant peut de temps avant, sa y est je devenais donc compliqué sur le goût moi. J’avais sûrement une moue attristée, mais je finis mon morceau et le laissais tomber. Ma faim ainsi attisée pour le moment j’étais près pour la suite, si celle-là se réveillait plus mouvementé. Avait elle raison de l’être ? je en ne sais pas.

« Vous le sentez en tout cas. Enfin si vous l’êtes c’est dommage que vous soyer perdus, j’aurais cru le noble plus enclin à retrouver leur chemin. »

Je regardais le dénommé Thanatos, les nobles m’étaient jamais « agréables », petite excentricité personnelle je suppose.

« M’enfin, je me présente tout de même, Alexander, Gitan si je suppose bien »

Supposé à partir de quoi ? et bien plein de chose voyons, mon aversion des nobles, mon refus de noblesse, le fait que je ne vis pas au château, etc… Il y a tant de raisons aussi simples les une que les autres. Simples mais suffisantes apparemment.

« Et voici une compagne d’infortune qui, je crois bien, travaille au château. Mais je la laisse se présenter d’elle-même »

Elle fût légèrement étonnée quand le vampire lui donna son manteau. Elle n’allait pas faire de manière, elle le prit et l’enfila. Elle connaissait le froid et ses dangers, bien qu’elle y soit légèrement moins sensible que les gens venant de pays avec des climats tempérés, malgré cela, elle préférait l’éviter le plus possible.

Tandis que les deux fils de la nuit dialoguer, elle alla inspecter les chemins qui s’offraient à eux. Elle ne savait pas quelles rues ils avaient déjà emprunté. Pendant qu’elle réfléchissait, elle laissait une oreille traîner afin d’écouter leur conversation, peut être apprendra t’elle des choses intéressante.

Tandis qu’elle c’était résignée à chercher un chemin, elle cru entendre que le gitan ce présentait et que c’était, en toute logique, son tour de se présenter. Elle se tourna vers eux et dit simplement :

« Je m’appelle Elena. »

Mythomanie, quand tu nous tiens. C’était la deuxième fois qu’elle sortait ce prénom depuis qu’elle était arrivée, s’était sûrement à cause de cette fille disparus dont il parlait dans les journaux… c’était quand elle était en Russie, il y a 3 ans. Cette pensée la rendit un peu nostalgique et un léger sourire triste apparut sur son visage. Elle chassa cette pensée de son esprit et s’avança vers les deux hommes.

« Et que faisons-nous à présent. »

Elle s’impressionna elle-même de réussir à dire une phrase correctement construite en cette langue. On ne peut pas dire que ce soit grâce à la lecture, il lui fois deux minutes pour lire quelques mots. Décidément elle ne se fera jamais à cet alphabet.